🦧 Quel Est Le Pays Le Plus Malhonnête Au Monde

Lopposante Aung San Suu Kyi, dont le parti est grand favori des législatives du 8 novembre, a accusé mercredi certains de ses opposants de Sentant la victoire lui glisser entre les doigts, Donald Trump s’est présenté devant les Américains, jeudi soir, pour fustiger le système électoral des États-Unis, accuser les démocrates de tenter de lui voler l’élection » et prévenir qu’il en contesterait les résultats jusqu’à la Cour suprême. Joe Biden, de son côté, venait d’appeler le pays à rester calme. Cinq États ont continué d’éplucher leurs milliers de bulletins de vote, deux jours après le jour du scrutin. Au fil des heures, jeudi, le scénario d’une victoire de Joe Biden est devenu de plus en plus probable. Le président a donc pris la parole pour la première fois, depuis la soirée électorale, pour lancer une enfilade d’allégations non fondées. Son allocution d’une quinzaine de minutes a même cessé d’être diffusée par certains réseaux américains. D’autres l’ont accompagnée d’un bandeau précisant que Donald Trump était en train de propager de fausses informations. Notre objectif est de défendre l’intégrité de l’élection. Nous ne permettrons pas que la corruption vole une élection si importante, ou toute élection. Et nous ne permettrons pas que quiconque muselle nos électeurs et fabrique des résultats », a scandé le président des États-Unis, depuis la Maison-Blanche. Ils essaient de truquer une élection et nous ne pouvons pas le permettre. » Donald Trump a plaidé que des bulletins de vote par anticipation acheminés aux bureaux de vote après le scrutin de mardi étaient illégalement comptabilisés — ce que les États ont tous démenti. Il a allégué que les observateurs électoraux républicains étaient tenus à l’écart des bureaux de dépouillement — ce qui a également été démenti par un de ces observateurs républicains en Pennsylvanie interviewé par Fox News. Le président a en outre avancé que des bulletins avaient été dupliqués ou ajoutés en plein dépouillement — des allégations que personne n’a rapportées sur le terrain. Un système corrompu », a-t-il accusé. Il s’agit du discours le plus malhonnête qu’il ait jamais livré », a résumé le journaliste responsable de la vérification des faits à CNN, Daniel Dale. Le ton revanchard du président était d’autant plus frappant que quelques minutes plus tôt, son rival démocrate Joe Biden venait d’inviter les Américains à être patients. La démocratie est parfois un peu compliquée. Parfois, elle nécessite un peu de patience. Mais cette patience a été récompensée depuis plus de 240 ans avec un système de gouvernance qui fait l’envie du monde entier », a lancé M. Biden au Delaware. Je demande à tout le monde de rester calme. Le processus fonctionne. Le dépouillement est en train d’être terminé. Et nous saurons très bientôt [l’identité du prochain président]. » Mais Donald Trump a promis, avant même qu’on ne connaisse l’issue du vote, qu’il se battrait jusqu’en Cour suprême pour en contester les résultats. Nous croyons qu’il y aura beaucoup de litiges, parce que nous avons tellement de preuves. Cela va peut-être finir devant le plus haut tribunal du pays […] parce que nous ne pouvons pas permettre qu’une élection soit volée comme cela. » Certains élus républicains ont rapidement déploré la sortie de leur président sur Twitter. Si vous avez des inquiétudes légitimes concernant de la fraude, présentez des PREUVES et allez en cour. CESSEZ de propager de la désinformation démentie », a réagi le représentant au Congrès Adam Kinzinger. La campagne Trump s’est justement tournée vers les tribunaux pour faire suspendre le dépouillement des votes au Nevada, en Géorgie, en Pennsylvanie et au Michigan. La poursuite au Nevada a été annoncée publiquement par des représentants de l’équipe Trump jeudi, mais ces derniers ont refusé de fournir des preuves aux journalistes sur le terrain. Les allégations ont aussitôt été contredites par le responsable électoral du comté visé. Quant aux poursuites en Géorgie, en Pennsylvanie et au Michigan, elles ont toutes été rejetées. En Géorgie, les républicains plaidaient que 50 votes reçus après le jour du scrutin — ce qui les aurait rendus invalides — avaient été comptabilisés. La cour juge qu’il n’y a aucune preuve », a tranché le magistrat. L’allégation de la campagne Trump était la même en Pennsylvanie, où les républicains ont également perdu. Au Michigan, la campagne plaidait que ses observateurs électoraux n’avaient pas pu surveiller le dépouillement. La poursuite a été écartée. Le président a également brandi ces allégations sur Twitter et allégué une fois de plus la fraude électorale » — ce qui lui a valu de voir ses gazouillis flanqués d’un avertissement du réseau social prévenant qu’une partie du contenu était trompeuse. Son fils, Donald Trump Jr., a renchéri sur Twitter que la meilleure chose pour l’avenir de l’Amérique serait que [Donald Trump] parte en guerre complète contre cette élection pour démasquer toute la fraude, la tricherie ». Un gazouillis qui a lui aussi été signalé par Twitter. Les courses se resserrent Plus de 48 heures après la fermeture des bureaux de vote, les courses demeuraient si serrées dans cinq États clés qu’il était toujours impossible d’en prédire le gagnant. C’est extrêmement serré en Pennsylvanie. Il n’y a aucun doute. Et cela veut dire qu’il va falloir prendre plus de temps pour voir qui aura vraiment gagné », a fait valoir la secrétaire d’État de la Pennsylvanie, Kathy Boockvar. Alors que Donald Trump y détenait une avance de quelque 380 000 voix mardi, celle-ci avait fondu à un peu moins de 22 400 voix jeudi soir. Idem en Géorgie, où l’écart est passé de 18 000 voix d’avance pour Donald Trump jeudi matin à moins de 1800 jeudi soir. Au Nevada, c’est l’avance de Joe Biden qui demeurait serrée, tout comme en Arizona. Le candidat démocrate pourrait gagner l’élection présidentielle s’il remporte l’État de Pennsylvanie, ou s’il conserve le Nevada et l’Arizona et qu’il décroche la Géorgie. Donald Trump, en revanche, doit absolument remporter la Pennsylvanie, la Géorgie et la Caroline du Nord — où il est demeuré le meneur. Mais il faudrait aussi qu’il reprenne l’Arizona ou le Nevada des mains des démocrates s’il veut demeurer président. Ce reportage a été financé grâce au soutien du Fonds de journalisme international Transat — Le Devoir. À voir en vidéo Quelest le pays le plus malhonnête au monde ? Jump to. Sections of this page. Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Sign Up. See more of Lweb.Tv Maroc on Facebook. Log In. or. Create new account. See more of Lweb.Tv Maroc on Facebook. Log In. Forgot account? or. Create new account . Not now. Réservé aux abonnés Publié le 22/11/2021 à 2050, Mis à jour le 23/11/2021 à 1023 Laurent Alexandre et Nicolas Bouzou. Clairefond TRIBUNE - Pour écarter tout risque de reconfinement et sauver la reprise économique, il est légitime d’imposer la vaccination obligatoire de la population la plus exposée et d’en donner une définition large, argumentent Laurent Alexandre, chirurgien urologue, et Nicolas Bouzou, économiste. Laurent Alexandre est cofondateur du site Doctissimo, président de DNAVision. Dernier ouvrage paru Jouissez jeunesse!» Lattès, 2020.Nicolas Bouzou est fondateur du cabinet de conseil Asterès. A notamment publié Homo sanitas» XO Éditions, 2021.La totalité de la France métropolitaine a franchi le seuil d’alerte de 50 cas de Covid-19 pour habitants. Grâce au fort taux de vaccination, cela ne se traduit pas par une augmentation massive des hospitalisations, mais la cinquième vague est bien lire aussiCinquième vague la France est-elle encore une bonne élève» en Europe?Nous sommes entourés de virus - il y en a 10 milliards dans chaque litre d’eau de mer - mais nous savons les combattre de mieux en mieux. Les chercheurs ont séquencé le génome du Covid-19 sept jours après les premiers cas, ont créé un vaccin en dix mois et mis au point les premiers antiviraux en vingt mois. C’est un exploit, quand on sait qu’il a fallu plusieurs années pour identifier le virus du sida et qu’il s’est écoulé 600 ans entre la grande peste de 1348, qui a tué 40 % des Européens… Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 82% à liberté c’est aussi d’aller à la fin d’un à lire votre article pour 0,99€ le premier mois Déjà abonné ? Connectez-vous Quelest le pays le plus pauvre du monde? said: Posté à 17h09 le 27 Aug 14 Membre inscrit le 16/09/2012 Messages : 1513 Localisation : En 2014, c'est le Malawi qui est le pays le plus pauvre du monde. Mais ce qui étonnant ce que dans la liste, ce sont toujours des pays qui ont des sous sols riches qui sont classés comme les pays les plus pauvres du
Publié le 21/10/2015 à 1526, Mis à jour le 21/10/2015 à 1528 L'opposante Aung San Suu Kyi, dont le parti est grand favori des législatives du 8 novembre, a accusé mercredi certains de ses opposants de mener une campagne "malhonnête", alors que le gouvernement sortant promet des élections libres."Lors de notre campagne à travers le pays pour les élections de 2015, nous avons appris que certaines personnes et partis politiques ne respectaient pas les règles ou utilisaient des méthode de campagne malhonnêtes", a lancé Suu Kyi devant des milliers de partisans, lors d'un meeting électoral à Tachileik, en Etat Shan, dans l'est de la n'a cependant pas accusé nommément le parti au pouvoir, l'USDP, composé d'anciens apparatchiks militaires convertis aux réformes depuis l'autodissolution de la junte en 2011. Depuis le début de la campagne, la Ligue nationale pour la démocratie LND de Suu Kyi et l'USDP se sont mutuellement accusés de recourir à des méthodes de campagne malhonnêtes, sans jamais les LIRE AUSSI » Un cessez-le-feu imparfait signé en Birmanie

Depuisplus d'un siècle, le monde de Narnia, peuplé de nains et de géants, est plongé dans l'hiver suite à une malédiction de la Sorcière blanche. Le lion Aslan tente en vain de s'opposer à cette force du mal et les enfants vont l'aider dans son combat. Ils finiront rois et reines du Monde de Narnia . • Par Andrew Adamson, Walt

Un groupe d’économistes, de neuroscientifiques et de statisticiens ont rédigé un rapport qui énumère l’ensemble des pays les plus heureux et les plus tristes. Ils sont parvenus à la conclusion que la Suisse vient en tête de liste des pays les plus heureux du monde. Une économie prospère, un des meilleurs systèmes d’éducation, de santé, sa réputation pour la neutralité, sans oublier son chocolat, on pourrait dire que cette confédération a de quoi être heureuse ! La Suisse est suivie par l’Islande, le Danemark, la Norvège, le Canada, la Finlande, les Pays-Bas et la Suède. Ce classement se base sur quatre grands facteurs qui font qu’un pays est heureux Le maintien de l’émotion positive. Surmonter l’émotion négative. Un comportement social positif et de la générosité. L’attention, le respect et la politesse. Voici la liste des 20 pays les plus heureux 1. La Suisse. 2. L’Islande. 3. Le Danemark. 4. La Norvège. 5. Le Canada. 6. La Finlande. 7. Les Pays-Bas. 8. La Suède. 9. La Nouvelle Zélande. 10. L’Australie. 11. Israël. 12. Le Costa Rica. 13. L’Autriche. 14. Le Mexique. 15. Les États-Unis. 16. Le Brésil. 17. Le Luxembourg. 18. L’Irlande. 19. La Belgique. 20. Les Émirats Arabes Unis. Certains pays européens ne figurent pas dans le top 20 des pays les plus heureux. Ainsi le Royaume-Uni vient en 21ème position, l’Allemagne 26ème position et la France en 29ème position. Le rapport se base également sur l’âge, le sexe et la région. Selon le professeur Richard Layard, co-auteur de l’étude Il est important d’adopter une attitude positive dès l’enfance, car cela aura de l’influence sur la vie adulte. Par conséquent, notre premier investissement est de faire que nos enfants adoptent une attitude positive pour qu’ils puissent devenir indépendants, productifs et heureux. Cela va les aider à donner une meilleure contribution sociale et économique ». Toutefois, tous les pays ne sont pas adeptes d’une attitude positive. Voici la liste des pays les plus tristes du monde 1. Le Togo. 2. Le Burundi. 3. La Syrie. 4. Le Bénin. 5. Le Rwanda. 6. L’Afghanistan. 7. Le Burkina Faso. 8. La Côte d’Ivoire. 9. La Guinée. 10. Le Tchad. 11. La République Centrafricaine. 12. Le Madagascar. 13. La Tanzanie 14. Le Cambodge. 15. Le Niger. 16. Le Gabon. 17. Le Sénégal. 18. L’Ouganda. 19. Les Comores. 20. Le Congo-Brazzaville.

Pasbesoin des GJ pour savoir, depuis le temps et dans tous les domaines, que Macron est une crapule. Les GJ ne sont qu’un symptôme, une éruption, pas toujours défendable évidemment, mais

Alors que les pays du G7 avaient signé un compromis sur le commerce, le président américain a décidé de se retirer en raison de propos du Premier ministre canadien qu’il qualifie de très malhonnête». Le G7 au Canada a tourné au fiasco samedi d’un tweet rageur, Donald Trump a retiré son soutien au communiqué commun obtenu dans la douleur, rejetant la faute sur des propos du Premier ministre canadien Justin Trudeau qu’il a qualifié de très malhonnête». Après La Malbaie au Québec, le prochain sommet du G7 aura lieu à Biarritz, dans le sud-ouest de la France, à la fin de l’été 2019», a annoncé samedi le président français Emmanuel Macron à l’issue du G7 du Canada. Ce sera au tour de la France de présider le G7, à partir du 1er janvier. Je souhaitais mettre à l’honneur une ville de province. Et c’est une ville qui m’est chère dans une région qui me l’est tout autant», a précisé M. Macron, qui s’est rendu plusieurs fois en vacances dans cette station balnéaire. Plutôt que le mois de juin traditionnellement choisi, le président français a évoqué la fin de l’été. Dans l’un de ses revirements spectaculaires, le président américain a tweeté depuis Air Force One, qui l’emmène vers Singapour En raison des fausses déclarations de Justin à sa conférence de presse, et du fait que le Canada impose des taxes massives sur nos agriculteurs, travailleurs et entreprises américains, j’ai demandé à nos représentants américains de retirer le soutien au communiqué, tandis que nous envisageons des tarifs sur les automobiles qui inondent le marché américain!». Donald Trump avait quitté le sommet depuis plusieurs heures, pour rejoindre Singapour où il doit rencontrer mardi Kim Jong Un. Nous nous concentrons sur tout ce que nous avons accompli ici au sommet G7», a répondu le cabinet de Justin Trudeau dans un communiqué. Le premier ministre n’a rien dit qu’il n’avait pas déjà dit auparavant, autant publiquement qu’en conversations privées avec le Président.» Sauver la face Concluant deux jours de débats laborieux à La Malbaie Québec, est du Canada, Justin Trudeau avait réutilisé le terme d’insultants» pour qualifier les taxes tout juste imposées par les Etats-Unis sur l’acier et l’aluminium importés, lors de sa conférence de presse finale. Et il avait promis d’y répliquer sans sourciller». Le tweet de Donald Trump fait voler en éclats la tentative du groupe des sept Etats-Unis, Canada, Italie, Royaume-Uni, France, Allemagne, Japon de sauver la face en publiant une déclaration commune sur le commerce. Ce texte pourfend le protectionnisme», et s’engage à moderniser» l’Organisation mondiale du commerce. Dans une scène un peu absurde, les équipes du G7 ont commencé à le distribuer au centre de presse installé à Québec alors même que la signature américaine était devenue caduque. Que pesaient de toute façon ces quelques lignes difficilement négociées face à un Donald Trump prêt à toutes les confrontations pour réduire le déficit des échanges américains? Quitte à déclencher une guerre commerciale ouverte, comme le montre sa menace réitérée de taxer les importations de voiture. Les Etats-Unis sont le premier marché étranger pour les marques européennes de voitures. L’Allemagne est particulièrement inquiète les automobiles représentent en valeur le quart de ce que le pays exporte vers les Etats-Unis. La part de marché des marques allemandes pour le segment des voitures haut de gamme dépasse 40%, selon la fédération automobile allemande VDA. Les droits de douanes actuels sont effectivement différents entre l’UE et les Etats-Unis. L’Europe taxe les importations de voitures hors-UE, donc américaines, de 10%. Aux Etats-Unis, les Audi, Volkswagen et autres voitures étrangères sont frappées d’une taxe de 2,5%. Pas étonnant que l’Allemagne nous vende trois fois plus de voitures que nous en exportons vers elle», a écrit le conseiller pour les questions commerciales de Donald Trump, Peter Navarro, dans une tribune récente dans le New York Times. Donald Trump s’est souvent plaint, en privé, de voir trop de Mercedes à New York… mais pas assez de voitures américaines dans les rues européennes. S’ils répliquent, ce sera une erreur» Nous sommes la tirelire que le monde entier pille. Cela va cesser», avait déjà tempêté le milliardaire de 71 ans avant de quitter un sommet où il est passé en coup de vent. Donald Trump a d’ores et déjà mis en garde les partenaires tentés de répondre à ses taxes S’ils répliquent, ce sera une erreur», avait-il dit à La Malbaie avant de partir, alors même que l’Union européenne ou le Canada ont confirmé des tarifs douaniers de représailles, dès juillet. Le président français Emmanuel Macron a lui prévenu qu’il n’y avait pas de changement» en ce qui concerne les contre-mesures européennes annoncées sur le bourbon ou les motos américaines. Ces tarifs sont leur réponse aux droits de douanes américains sur le métal. Un 6+1» partiel Comme lors de précédents grands sommets, Washington avait par ailleurs fait bande à part au Canada sur le climat, ne s’associant pas à un passage qui redit le soutien des six à l’accord de Paris de fin 2015. Sur l’Iran, autre grande ligne de fracture, le groupe des sept s’engageait à empêcher Téhéran de développer l’arme nucléaire. Le G7 appelait aussi la Russie à cesser de saper les systèmes démocratiques» et à abandonner son soutien au régime syrien». Mais il n’y figurait nul mot de la proposition provocatrice de Donald Trump de réintégrer Moscou à ce club qui l’avait exclu après l’annexion de la Crimée en 2014. Dans l’immédiat, la Russie est de toute façon plutôt occupée à accorder ses violons avec la Chine et l’Iran, à l’occasion de la réunion annuelle de l’Organisation de coopération de Shanghai OCS. Malgré les sourires des dirigeants à la fin du sommet, le G7 a donc été dynamité par un Donald Trump qui goûte bien plus la confrontation bilatérale brutale que les longues négociations multilatérales. Jusqu’à provoquer le fiasco final de la rencontre. Le président américain était arrivé le dernier et reparti le premier du cossu Manoir Richelieu, surplombant le fleuve Saint-Laurent. Il a aussi séché une réunion sur le climat. Donald Trump n’a jamais caché qu’il donnait la priorité à sa rencontre de mardi avec M. Kim. C’est une occasion unique» d’arriver à un accord nucléaire avec Pyongyang qui ne se représentera jamais», a-t-il assuré. AFP

Genreun autre pays que le Brésil Même Google n'arrive pas à repondre ma question - Topic Quel est le pays le plus métissé au monde ? du 07 Comme il est de coutume, les Burkinabè, à l’instar des autres peuples du monde, se préparent à fêter le passage à l’année nouvelle. Qui dit fête, surtout de fin d’année, pense surtout à son habillement. On a alors recours aux couturiers pour la circonstance. Mais parmi ceux-là, il faut distinguer les honnêtes couturiers et les moins honnêtes. L’honnête couturier se fixe une date à partir de laquelle il ne prend plus de commande. Même débordé et sachant qu’il ne pourra pas honorer le rendez-vous, le couturier malhonnête continue de réceptionner les commandes même la veille» de la fête. Ce dernier devra revoir sa copie. Et nous, les clients, pourquoi attendre la veille » de la fête pour penser à son zangoli » ? Ne dit-on pas que les premiers sont toujours les mieux servis ? Issa SIGUIRE Lechef de l’Etat est fortement critiqué pour sa gestion de la crise du coronavirus, qui a fait plus de 530.000 morts au Brésil, le deuxième pays le
Je vous propose de partir à la découverte de 10 pays peu connus ou très peu visités et qui méritent largement le détour que ce soit parce qu’ils sont d’une façon ou une autre emblématique ou tout simplement car leurs richesses sont méconnues comme l’Ethiopie par exemple. J’ai découpé cette liste en deux parties de 5 pays. Il n’y a pas de classement à proprement dire. Pour la seconde partie c’est par ici 5 pays fascinants et merveilleux. Il s’agit d’un article très inspiré c’est surtout une traduction d’un article du même style en anglais Top 10 Unusual countries to visit Tadjkistan La vallée de Wakhan entre l'Afghanistan et le Tadjikistan par sugarmelon Je suis sur que pas mal d’entre vous connaissent ce pays seulement de nom. Il s’agit d’une des anciennes républiques de l’Union Soviétique en Asie Centrale entre la Chine et l’Ouzbékistan. La Route de la Soie traversait le pays qui est très montagneux, la région du Pamirs compte parmi les plus hautes montagnes du monde. Pour l’anecdote, Douchanbé, la capitale est sans doute la ville de naissance de Viktor Bout, le célèbre marchand d’armes qui a inspiré Lord of War avec Nicolas Cage. C’est un des pays les moins visités au monde avec seulement quelques milliers de visiteurs par an dont une bonne partie pour le business. Rien que pour cette raison, il peut être intéressant de faire un voyage en Asie centrale sans compter que les habitants ont également un sens très fort de l’hospitalité. Une place au Tadjikistan par Babasteve Le Pamirs au Tadjikistan par mmj Timor Oriental Récolte au Timor Oriental Le Timor Oriental est sans doute un des pays les moins connus du monde, c’est également un des plus récents avec son indépendance qui remonte à 2002. Ce pays est composé de la moitié est de l’île de Timor au nord de l’Australie et a été envahi par l’Indonésie bien que l’annexion ne fut jamais reconnue. Ce fut le siège d’une terrible guerre d’indépendance pendant plusieurs décennies avec des dizaines de milliers de morts et le pays se remet petit à petit de cette période. Il s’agit d’un pays très peu exploré avec une organisation encore très rurale et où le voyageur est en général très bien accueilli étant donné que le tourisme y est encore peu répandu. Le Timor Oriental par Sugu Un bâteau de pêcheur au large de l'île Autaro Sierra Leone Lunsa au Sierra Leone par Mustafa Ozturk Le pays tristement connu pour les diamants de sang avec le film du même nom est un petit pays coincé d’Afrique de l’Ouest qui compte de nombreuses richesses diamants, or, etc. sans compter que le site naturel de la capitale, Freetown, est un des plus larges ports naturels au monde ce qui amène de nombreux cargos dans la ville. Malheureusement tout cela ne profite pas à la population, le Sierra Leone est un des pays les plus pauvres du monde. Il s’agit d’un pays très tolérant avec une très forte cohabitation entre catholiques et musulmans. C’est là que l’adage qui veut que les gens pauvres soient les plus accueillants prend sa valeur. Un village au Sierra-Leone par Mustafa Ozturk Une mosquée au Sierra-Leone par Mustafa Ozturk Les îles Kiribati Un village des Kiribati par Jopology Ce petit archipel du Paifique est de plus en plus ou pas… sous les projecteurs des média occidentaux car c’est sans doute le premier pays qui va disparaître à cause du réchauffement climatique et de la montée des eaux. En effet l’immense majorité du pays est à moins de deux mètres de hauteur, il ne faut donc pas grand chose pour noyer ce petit pays. Les habitants luttent pour essayer de trouver des pays prêts à les héberger mais ce n’est pas toujours facile, c’est là qu’on voit que la solidarité a vraiment ses limites… Un voyage aux Kiribati peut être une expérience car d’une part une grande partie du pays est resté à l’état naturel et d’autre part car les habitants sont très amicaux. C’est là qu’on peut également comprendre à quel point le réchauffement climatique touche tout le monde sans différenciation d’ethnie, de peuple, etc. et qu’il va falloir s’entraider… Le désespoir des Kiribatiens par 350 dot org Le Kiribati par Rafael Coya Corée du Nord Un poster de propagande Il est impossible de finir la première partie de la liste sans évoquer la Corée du Nord qui est incontestablement le pays le plus fermé du monde. C’est sans doute le pays le plus militarisé du monde avec ses 9 millions de soldats. C’est le pays de la démesure où tout est contrôlé au millimètre près avec une discipline très stricte. On peut évoquer par exemple la cérémonie Arirang qui met en place des chorégraphies très synchronisées avec de nombreux acteurs. Il est possible de visiter certaines régions du pays mais sous très haute surveillance. Il est en effet obligatoire de passer par un tour-opérateur nord coréen qui ne manquera pas de vous faire passer par un processus administratif très complexe afin de savoir si vous avez le bon profil » pour visiter » le pays. Si vous arrivez à pouvoir aller en Corée du Nord, il ne faut pas vous leurrer, vous n’aurez sans doute pas la vision réelle de comment la population vit mais je pense que ça reste une très forte expérience du genre 1984 » le livre d’Orwell appliqué à la vie réelle avec la discipline, les secrets, le contrôle permanent, etc. Une cérémonie Arirang par Leef Smith Dans la campagne au nord de Pyongyang par Jensowagner J’espère que cette liste vous aura plus et vous aura fait rêver voire même incité à partir dans un de ces pays ! La suite pour dans plusieurs jours, n’hésitez pas à vous inscrire à la newsletter ou au flux RSS ! Et vous, avez-vous connu un pays que vous qualifieriez de très inhabituel ?
Cequi explique le mieux comment le malhonnête homme, et quelquefois même le sot, réussissent presque toujours mieux, dans le monde, que l’honnête homme et l’homme d’esprit, à faire leur chemin, c’est que le malhonnête homme et le sot ont moins de peine à se mettre au courant et au ton du monde, qui, en général, n’est que malhonnêteté et sottise ; au lieu que
Le Premier ministre britannique Boris Johnson embarquant dans un avion à l'aéroport de Stansted près de Londres, pour se rendre en Inde, le 20 avril 2022 Stansall Article Abonné "C'était étrange d'éprouver si peu de joie le jour venu, compte tenu des centaines de milliers de mots et des centaines d'heures que j'avais consacrés à faire campagne pour le départ de Boris Johnson. Cela tient pour partie au fait que son discours de démission était une nébuleuse de mensonges, de demi-vérités, de fourberies, de fausses allégations et de manipulations qui sont sa marque de fabrique depuis qu'il est devenu d'abord un personnage médiatique, puis politique, c'est-à-dire depuis des décennies. Il n'a même pas pu se résoudre à prononcer le mot "démissionner", ni à s'excuser pour les nombreux méfaits qui ont conduit son parti à se retourner contre lui. Il se "désole" simplement de quitter un emploi qu'il adorait. Mais mon incapacité à savourer cet instant était surtout liée au fait que, tandis qu'il se tenait debout à son pupitre, devant la célèbre porte du 10, Downing Street, toute la satisfaction que je pouvais éprouver à l'idée de le voir partir était éclipsée par l'écoeurement de savoir qu'il avait pu un jour accéder à ces fonctions. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Suffisamment d'encre a déjà coulé pour décrire les mensonges, les calomnies, les promesses fausses ou rompues, les histoires inventées de toutes pièces, les épouses trompées, les maîtresses et les enfants, les scandales financiers, les bévues à répétition et l'incompétence de Boris Johnson. Mais, au moins, bientôt - pas assez tôt cependant, puisqu'il continue de "squatter" Downing Street [jusqu'à la désignation de son successeur, NDLR] - il partira, et nous n'aurons plus à passer autant de temps à penser au personnage ou à parler de lui. De grandes questions demeurent néanmoins quant aux écosystèmes politique et médiatique qui lui ont permis de se hisser aussi haut. L'homme qui disait n'importe quoi Quiconque le connaissait ou avait travaillé avec lui savait que l'homme était un menteur. Quiconque avait eu personnellement affaire à lui savait qu'il était peu fiable et peu digne de confiance. Quiconque avait suivi sa carrière de journaliste, de député ou de maire de Londres savait qu'il était peu sérieux, cossard, indifférent à la fois aux tenants et aux aboutissants de la politique et à ses conséquences. Pour Johnson, la politique, comme le journalisme, était un jeu dont lui-même fixait les règles, avec pour objectif sa propre ascension, les intérêts du peuple et du pays arrivant loin derrière les siens. Tout le monde, y compris ceux et celles qui feignent la surprise en voyant son mandat de Premier ministre se terminer en Bérézina, savait tout cela. Les députés qui ont voté pour lui le savaient. Les ministres qui siégeaient comme de gentils toutous à la table du Cabinet, riant à ses plaisanteries, fermant les yeux sur ses défauts, répétant docilement les mensonges ou les excuses qu'ils avaient pour consigne de seriner quand il se trouvait ballotté de scandale en scandale, manoeuvrant pour étouffer chaque affaire, le savaient aussi. Mais ils ont préféré faire l'autruche. Parce que, dans le jeu politique, ils voyaient en lui un winner. Bien sûr, il est plus facile de gagner quand vous êtes prêt à dire littéralement n'importe quoi - la vérité comme le mensonge - qui soit susceptible de faire progresser votre cause, et que vous êtes issu d'une culture médiatique qui place la vérité et les faits au second plan derrière la force d'un sujet, et dans laquelle quantité de journaux cessent de demander des comptes aux puissants, préférant aider à devenir plus puissants ceux qui, parmi ces derniers, portent leur vision du monde. Le Daily Mail, le Daily Express, le Sun et le Daily Telegraph ont parfois donné l'impression d'être le service de presse de Johnson plutôt que des journaux cherchant à informer leurs lecteurs de l'état du pays. Ils portent une grande responsabilité dans le malaise politique actuel - à tel point que, sous Johnson, le Royaume-Uni a fini par se ridiculiser sur la scène internationale. Le "winner" devenu "loser"Au bout du compte, s'il est tombé en disgrâce, c'est pour la mauvaise foi dont il a fait preuve à plusieurs reprises au sujet d'un agresseur sexuel récidiviste qu'il avait nommé à un poste en vue. Mais, en vérité, il avait réchappé à bien pire par le passé. Ce n'est pas la découverte soudaine de l'existence de principes moraux qui a fait changer d'avis les ministres et les députés. C'est de s'être rendu compte, tout à coup, que Johnson n'était plus un winner. Qu'il était désormais méprisé par une bonne partie du pays. Qu'il était un loser. Et que, s'il restait, il risquait de porter préjudice au parti. Il restera dans les annales comme le Premier ministre le plus malhonnête, le plus corrompu, le plus incompétent, le plus déshonoré de notre histoire, celui qui a causé le plus de tort à notre Parlement, à notre Etat de droit, à nos médias dont la BBC, à notre diplomatie et à notre place dans le monde, et au processus de paix en Irlande du Nord. Le fait que Joe Biden ne se soit même pas résolu à citer son nom dans sa brève réaction à son discours de démission donne une idée de l'étendue des dégâts infligés à notre relation privilégiée avec les Etats-Unis. Pour ce qui est des alliances avec nos plus proches voisins d'outre-Manche - et notamment avec le président français, lassé de ses mensonges et de ses clowneries depuis belle lurette -, elles ont autant souffert que les pièces dans lesquelles Johnson avait organisé des fêtes clandestines pendant la crise sanitaire - au point d'ailleurs que, de tout le pays, c'est le 10, Downing Street qui aura écopé des plus fortes amendes pour non-respect du confinement ! "Un menteur et un charlatan"Et pourtant, même quand l'homme et ses singeries auront été relégués aux oubliettes depuis longtemps, il est probable que l'essentiel de son héritage - le Brexit - restera en vigueur. Le fait que Johnson soit aujourd'hui considéré par tous comme un menteur et un charlatan - qui avait fait usage des mêmes basses manoeuvres pour décrocher la victoire au référendum voilà six ans - ne semble pas avoir modifié l'opinion d'une bonne partie de l'échiquier politique, qui juge impossible de revenir sur le Brexit. C'est là la vraie tragédie et la raison pour laquelle je me sentais incapable de célébrer son départ. Car l'ironie de l'histoire, c'est que le locataire le moins sérieux et le plus inconsistant que Downing Street ait jamais vu est responsable de ce qui est sans doute le plus grave et le plus profond changement dans notre pays depuis la Seconde Guerre mondiale. Il est donc parti, sans doute pour donner à travers le monde, en échange d'une petite fortune, des conférences à des hommes d'affaires qui riront à ses bons mots, et pour écrire des mémoires aussi véridiques que des fake news sur le grand homme d'Etat qu'il fut. Il part couvert de honte et de disgrâce, et cela ne lui fera ni chaud ni froid, puisqu'il ne connaît pas la honte. Mais la désolante pièce maîtresse de son héritage restera, elle, et il faudra plus qu'un changement de Premier ministre pour y remédier ou pour réparer les dégâts infligés à notre politique par un sociopathe narcissique qui, malheureusement, a eu plus de mille jours devant lui pour semer la désolation dans le pays." Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux Faitintéressant, les quatre principaux pays "malhonnêtes" pour le tirage au sort étaient tous asiatiques - la Chine, le Japon, la Corée du Sud et l'Inde, respectivement. En ce qui concerne le quiz, ces résultats étaient beaucoup plus dispersés. Le Japon, en fait, a été classé le plus honnête dans la deuxième partie.

27 Mai 2016 Jusqu’où ira Hillary Clinton pour accéder à la Maison-Blanche et que pourrait-on attendre de son éventuelle présidence? Nous avons posé la question à Diana Johnstone. Dans son récent ouvrage Hillary Clinton, la reine du chaos, elle analyse le lien entre les ambitions de la candidate sans scrupule et la machine qui sous-tend l’empire américain. Du coup d’Etat au Honduras à la guerre en Libye en passant par l’instrumentalisation de la cause féministe, Diana Johnstone nous dévoile la face cachée de la candidate démocrate et nous met en garde sur le Smart Power » cher à Clinton. Enfin, elle analyse pour nous le succès de Donald Trump et ce que son alternative représente vraiment. La course à la Maison-Blanche se fait au coude-à-coude. Hillary Clinton a-t-elle une chance de l’emporter ? Comment analysez-vous sa campagne jusqu’ici ? Elle a commencé sa campagne en grande favorite, mais ne cesse de baisser dans les sondages. Avec toute la machine du Parti démocrate à son service, un énorme trésor de guerre, et la certitude de gagner les premières primaires dans les Etats du Sud, Hillary Clinton avait une longueur d’avance qui rendait le rattrapage de son challenger imprévu Bernie Sanders quasi impossible. Pourtant, ce vieux sénateur peu connu, se qualifiant de socialiste démocratique » dans un pays où le socialisme est largement considéré comme l’œuvre du diable, a suscité un enthousiasme extraordinaire, notamment parmi les jeunes. Quoi qu’il arrive, la campagne inattendue de Bernie a réussi à attirer l’attention sur les liens quasi organiques entre les Clinton et Wall Street, liens occultés par les grands médias. Pour la première fois, ceux-ci ont été efficacement contrecarrés par Internet qui fourmille de vidéos dénonçant la cupidité, les mensonges, la bellicosité de Mme Clinton. Par ailleurs, Hillary Clinton court le risque d’ennuis graves à cause de son utilisation illicite de son propre serveur email en tant que secrétaire d’Etat. Au cours des primaires, sa popularité a baissé tellement que le Parti démocrate doit commencer à être effrayé de nommer une candidate trainant tant de casseroles. Les derniers sondages montrent que l’impopularité de Hillary Clinton commence à dépasser l’impopularité de Trump. Pour beaucoup d’électeurs, il sera difficile de choisir le moindre mal ». La campagne de Hillary Clinton aurait déjà coûté 89,6 millions de dollars. De quels personnages influents a-t-elle le soutien ? Peut-on deviner, à partir de là, quels intérêts Clinton pourrait défendre si elle devient présidente ? Celui qui se met le plus en avant est un milliardaire israélo-américain, Haim Saban, qui s’est vanté de donner autant d’argent qu’il faut » pour assurer l’élection de Hillary. En retour, elle promet de renforcer le soutien à Israël dans tous les domaines, de combattre le mouvement BDS et de poursuivre une politique vigoureuse contre les ennemis d’Israël au Moyen-Orient, notamment le régime d’Assad et l’Iran. Le soutien financier considérable qu’elle reçoit de l’Arabie saoudite va dans le même sens. D’autre part, les honoraires faramineux reçus de la part de Goldman Sachs et d’autres géants de la finance laissent peu de doute sur l’orientation de sa politique intérieure. En devenant la première femme présidente des Etats-Unis, pensez-vous que Hillary Clinton ferait avancer la cause féministe ? Le fait d’être femme est le seul élément concret qui permet à Hillary de prétendre que sa candidature soit progressiste. L’idée est que si elle brise le plafond de verre » en accédant à ce poste suprême, son exemple aidera d’autres femmes dans leur ambition d’avancer dans leurs carrières. Mais pour la masse des femmes qui travaillent pour de bas salaires, cela ne promet rien. Il faut placer cette prétention dans le contexte de la tactique de la gauche néolibéralisée de faire oublier son abandon des travailleurs, c’est-à-dire de la majorité, en faveur de l’avancement personnel des membres des minorités ou des femmes. Il s’agit de la politique identitaire » qui fait oublier la lutte des classes en se focalisant sur d’autres divisions sociétales. En d’autres termes, la politique identitaire signifie le déplacement du concept de l’égalité du domaine économique à celui de la subjectivité et des attitudes psychologiques. Dans votre livre, Hillary Clinton, la reine du Chaos, vous revenez sur la guerre du Kosovo. Hillary Clinton était la première Dame des Etats-Unis à l’époque. En quoi le bombardement de la Yougoslavie en 1999 a-t-il été un épisode marquant de son parcours politique ? Avec son amie Madeleine Albright, l’agressive ministre des Affaires étrangères de l’époque, Hillary poussait son mari Bill Clinton à bombarder la Yougoslavie en 1999. Cette guerre pour arracher le Kosovo à la Serbie fut le début des guerres supposées humanitaires » visant à changer des régimes qui ne plaisent pas à Washington. Depuis, Hillary s’est fait la championne des changements de régime », notamment en Libye et en Syrie. Dans mon livre, La Reine du Chaos, je souligne l’alliance perverse entre le complexe militaro-industriel américain et certaines femmes ambitieuses qui veulent montrer qu’elles peuvent faire tout ce que font les hommes, notamment la guerre. Un intérêt mutuel a réuni les militaristes qui veulent la guerre et des femmes qui veulent briser les plafonds de verre. Si les militaristes ont besoin de femmes pour rendre la guerre attrayante, certaines femmes très ambitieuses ont besoin de la guerre pour faire avancer leur carrière. Les personnalités les plus visiblement agressives et va-t’en guerre de l’administration Obama sont d’ailleurs des femmes Hillary, Susan Rice, Samantha Power, Victoria Nuland… C’est un signal au monde pas de tendresse de ce côté-ci ! On peut ajouter le Honduras au tableau de chasse de Hillary Clinton. Elle était fraîchement élue secrétaire d’Etat lorsqu’en 2009, l’armée a renversé le président Manuel Zelaya. Un avant-goût de la méthode Clinton ? Son rôle en facilitant le renversement par des militaires d’un président démocratiquement élu illustre à la fois ses méthodes et ses convictions. Ses méthodes sont hypocrites et rusées elle feint une désapprobation du procédé tout en trouvant les moyens de l’imposer, contre l’ensemble de l’opinion internationale. Ses convictions, c’est clair, l’amènent à soutenir les éléments les plus réactionnaires dans un pays qui est le prototype de la république bananière c’est le pays le plus dominé par le capital et par la présence militaire des Etats-Unis de toute l’Amérique latine, le plus pauvre après Haïti. Zelaya aspirait à améliorer le sort des pauvres et des indigènes. Il osait même proposer de convertir une base militaire américaine en aéroport civil. A la trappe ! Et depuis, les opposants – par exemple la courageuse Bertha Caceres – sont régulièrement assassinés. Cette méthode porte un nom, le Smart Power. Pouvez-vous nous expliquer ce que c’est ? Dans le discours washingtonien, on distingue depuis longtemps le hard power » militaire du soft power » économique, politique, idéologique, etc.. Hillary Clinton, qui se vante d’être très intelligente, a pris comme slogan le Smart Power », le pouvoir malin, habile, qui ne signifie qu’une combinaison des deux. Bref, elle compte utiliser tous les moyens pour préserver et avancer l’hégémonie mondiale des Etats-Unis. Si le Smart Power aspire à combiner la méthode douce et la manière forte, cette dernière semble avoir la préférence de Clinton malgré tout ! Oui, en tant que chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton a souvent montré une préférence pour la force contre l’utilisation de la diplomatie. On voit les mêmes tendances chez ses consœurs Madeleine Albright, Susan Rice ou Samantha Power. Surtout dans le cas de la Libye, Clinton a saboté les efforts de médiation des pays africains et même d’officiers supérieurs américains et du membre du Congrès Kucinich qui avaient pris contact avec les représentants de Gaddafi en quête d’un compromis pacifique. Elle s’opposait aussi aux négociations avec l’Iran. Et elle est prête à risquer la guerre avec la Russie pour chasser Assad, ce qui s’accorde avec son hostilité affichée envers Poutine. Les années Bush et la brutalité des néoconservateurs ont frappé les esprits, mais le Smart Power de Clinton semble tout aussi dangereux, non ? Tout à fait, cette femme est très dangereuse. Alors que les Etats-Unis s’apprêtent à renouveler leur arsenal nucléaire, alors qu’ils mènent une campagne de propagande haineuse antirusse qui dépasse celle de la guerre froide, alors qu’ils obligent leurs alliés européens à acheter une quantité énorme d’avions de guerre made in USA tout en poussant l’Otan à concentrer les forces militaires le long des frontières russes, la présidence de Mme Hillary Clinton représenterait un péril sans précédent pour le monde entier. Vous pointez dans votre ouvrage tout le poids du complexe militaro-industriel dans la politique étrangère des Etats-Unis. Finalement, la personne qui occupe le bureau ovale a-t-elle une marge de manœuvre ? La base matérielle de la politique guerrière des Etats-Unis, c’est ce complexe militaro-industriel MIC, né au début de la guerre froide, contre la dangerosité duquel le président Eisenhower lui-même a averti le public en 1961. Il a fini par dominer la vie économique et politique du pays. Les intellectuels organiques de ce complexe, logés dans les think tanks et les rédactions des grands journaux, ne cessent de découvrir, ou plutôt d’inventer, les menaces » et les missions humanitaires » pour justifier l’existence de ce monstre qui consomme les richesses du pays et menace le monde entier. Les présidents passent, le MIC reste. Depuis l’effondrement de l’Union soviétique, le Parti de la Guerre » se sent tout-puissant et devient plus agressif que jamais. Hillary Clinton a tout fait pour devenir leur candidate préférée. Comment construire dès lors une alternative à ce Parti de la Guerre ? C’est la grande question à laquelle je ne saurais répondre. Par ailleurs, il n’existe pas de formule pour de tels bouleversements, qui dépendent d’une diversité de facteurs, souvent imprévisibles. La candidature tellement décriée de Trump pourrait en être un, car le vieil isolationnisme de droite est certainement un des éléments qui pourrait contribuer à détourner Washington de son cours vers le désastre. Qu’on le veuille ou non, il faut reconnaître que la gauche » est trop impliquée dans la farce des guerres humanitaires » pour être la source du revirement. Il faut une prise de conscience qui dépasse les divisions de classes et d’étiquettes politiques. La situation est grave, et tout le monde est concerné. Trump se demande en effet pourquoi les Etats-Unis devraient jouer au gendarme dans le monde entier, plaide pour des relations plus constructives avec la Russie et interroge l’utilité de l’Otan. Il est même opposé au TTIP ! Mais son protectionnisme conservateur ne pourrait-il pas conduire à d’autres guerres de grande ampleur ? N’y a-t-il pas d’autre espoir ? Il est difficile de qualifier un personnage tel que Trump comme espoir », mais il faut le situer dans le contexte politique américain. En Europe, et notamment en France, on persiste à prendre le spectacle des élections présidentielles américaines comme une évidence de la nature démocratique » du pays. Mais tous ces spectacles, avec leurs conflits et leurs drames, tendent à obscurcir le fait central la dictature de deux partis, tous les deux dominés par le complexe militaro-industriel et son idéologie d’hégémonie mondiale. Ces deux partis sont protégés de concurrence sérieuse par les règles particulières à chacun des cinquante Etats qui rendent quasiment impossible la présence d’un candidat tiers. L’exploit de Trump est d’avoir réussi à envahir et d’accaparer l’un de ces deux partis, le Parti républicain, qui se trouvait dans un état de dégradation intellectuelle, politique et morale extrême. Il l’a accompli par une sorte de démagogie très américaine, perfectionnée pendant sa prestation en tant que vedette d’un programme de télé-réalité ». C’est une démagogie empruntée au show-business plutôt qu’au fascisme. On ravit l’auditoire en étant choquant. L’invasion du jeu électoral par cet amuseur de foules est très significative de la dépolitisation du pays – tout comme la réussite plus modeste de Bernie Sanders montre le désir d’une minorité éclairée progressiste de réintroduire le politique dans le spectacle. Le Parti démocrate, tout corrompu qu’il soit, garde vraisemblablement assez de vigueur pour marginaliser l’intrus. Il a une ligne politique claire, représentée par Hillary Clinton néolibéralisme et hégémonie mondiale sous couvert des droits de l’homme. Il fera tout pour bloquer Sanders. Mais on peut toujours espérer que le mouvement inspiré par sa candidature contribuera à un renouveau durable de la gauche. A court terme, il reste Trump, ancien démocrate plus ou moins, malhonnête comme l’est forcément un homme d’affaires qui a réussi dans l’industrie de la construction, égoïste, comédien, dont on ne sait pas trop à quoi s’attendre. Seulement, il peut difficilement être pire que Hillary, ne serait-ce que parce qu’il casse le jeu actuel qui mène directement à la confrontation avec la Russie. En tant que présidente, Hillary se trouverait bien chez elle à Washington entourée de néocons et d’interventionnistes de tout poil prêts à s’embarquer ensemble dans des guerres sans fin. Lui par contre se trouverait dans un Washington hostile et consterné. Ce serait une version originale du chaos créateur » cher aux interventionnistes. L’idée que le protectionnisme mène à la guerre » fait partie de la doctrine du libéralisme. En réalité, nous sommes déjà en pleine guerre, et un peu de retrait chez soi de la part des Américains pourrait calmer les choses. Que ce soit Trump ou Sanders, un certain protectionnisme » à l’égard des produits chinois serait nécessaire pour faire redémarrer l’industrie américaine et créer des postes de travail. Mais il est impossible aujourd’hui de pratiquer le protectionnisme » des années 1930. La peur du protectionnisme » mène à la politique néolibérale actuelle de l’Union européenne qui détruit toutes les protections des travailleurs. Au lieu de craindre Trump, l’Europe ferait mieux de le regarder comme un révélateur. Face à cette Amérique, les Européens doivent retrouver la vieille habitude de formuler leurs propres objectifs, au lieu de suivre aveuglément une direction politique américaine profondément hypocrite, belliqueuse et en pleine confusion. Le bon protectionnisme serait que les Européens apprennent à se protéger de leur grand frère transatlantique. Source Investig’Action Voir Diana Johnstone, Hillary Clinton. La reine du chaos, Editions Delga, 2015 Diana Johnstone analyse le lien entre les ambitions d’une politicienne sans scrupule, Hillary Clinton, et la machine qui sous-tend “l’empire américain” le complexe militaro-industriel, les médias, le lobby pro-israélien, et les intellectuels qui orientent le discours sur les droits de l’homme, le multiculturalisme ou les droits de minorités en faveur de la guerre perpétuelle. Passant en revue les conflits au Honduras, au Rwanda, en Libye, Bosnie, Kosovo, Irak, Syrie et Ukraine, Diana Johnstone illustre une caractéristique de l’empire américain qui diffère des empires passés une volonté de destruction d’ennemis potentiels plutôt que d’occupation et d’exploitation. En se faisant la porte-parole de “gauche” de l’offensive actuelle contre la Russie, avec le risque de guerre nucléaire qu’elle entraîne, Hillary Clinton renforce un des principaux dangers qui menacent l’humanité aujourd’hui.

Réponse malhonnête et inepte à la pandémie » « L'exemple le plus dévastateur est sa réponse malhonnête et inepte à la pandémie de Covid-19, Le meilleur indicateur pour évaluer quel est le pays le plus pauvre du monde est le produit intérieur brut PIB. Le PIB est un indicateur économique de la richesse produite par année dans un pays donné. Il représente la valeur ajoutée totale des biens et des services produits sur un territoire national. Il est utilisé pour mesurer la croissance économique d'un pays. Le rapport PIB par habitant est utilisé quant à lui pour mesurer le niveau de vie des voulez savoir quel pays a le taux de pauvreté le plus élevé au monde ? L'article toutCOMMENT sur Quel est le pays le plus pauvre du monde vous fournira une réponse claire ainsi que des explications. Index Quel est le pays le plus pauvre du monde ? Les pays les plus pauvres d'Amérique Les pays les plus pauvres d'Europe Les pays les plus pauvres d'Asie Les pays les plus pauvres du monde en 2019 Quel est le pays le plus pauvre du monde ? Contrairement aux États-Unis qui sont reconnus comme étant la première puissance mondiale, le Soudan du Sud est le pays le plus pauvre du monde. En effet, il détient le PIB par habitant le plus bas environ 224,75 dollars. Ceci est principalement dû à une guerre sanglante qui a commencé il y a un peu plus de 6 ans et dont les conséquences sont encore évidentes aujourd'hui. En outre, 60 % de la population souffre de famine extrême et plus de 5 millions de personnes n'ont pas accès à l'eau ce pays, les habitants souffrent d'un grand nombre de maladies causées par la malnutrition, le manque d'installations sanitaires et le manque d'eau. De plus, 70 % des enfants ne vont pas à l'école et les enseignants ne reçoivent pas de rémunération équitable par rapport aux services apportés. Dans ce pays, près de 20 000 enfants ont été recrutés dans les forces armées et dans les groupes paramilitaires en marge de la loi. D'autre part, l'UNICEF affirme que toutes les 12 minutes, un enfant meurt au Soudan du la suite de notre article Quel est le pays le plus pauvre du monde, nous vous présentons une liste avec les pays les plus pauvres du monde pour chaque continent. Les pays les plus pauvres d'Amérique Il existe un fort contraste entre les États-Unis qui sont la première puissance mondiale et le reste du contient. Plus de 250 millions de personnes souffrent de pauvreté en Amérique latine, dont 60 millions de pauvreté extrême. C'est un chiffre qui ne cesse d'augmenter depuis 2017. La République d'Haïti est à la tête des pays les plus pauvres d' Haïti, plus de la moitié de la population vit dans les zones rurales et travaille dans les champs; cependant, les sols ne sont pas très fertiles car la terre est érodée dans de nombreuses régions. La plupart des gens cultivent pour leur consommation personnelle. De plus, ces dernières années, cette île a été frappée par des ouragans et des tremblements de terre dévastateurs comme celui de 2010. Ce sont des phénomènes qui ont considérablement accru la pauvreté dans ce pays d'Amérique tout cela, Haïti exporte vers le reste du monde du café, du cacao, des huiles comestibles de différentes sortes, du sucre et des produits artisanaux, ainsi que des minéraux tels que la bauxite. Pour sa part, le secteur textile représente un peu plus de 70 % des exportations et 85 % du PIB de cette les 10 pays les plus pauvres d'Amérique en 2019 selon le PIB par habitant en dollars Haïti 893,97 $Nicaragua 2140 $Honduras 2870 $Venezuela 3100 $Bolivie 3940 $El Salvador 4190 $Guatemala 4700 $Belize 4890 $Guyane 4940 $Jamaïque 5480 $ La Moldavie, pays européen appartenant à l'ex Union soviétique situé entre l'Ukraine et la Roumanie est considérée comme le pays le plus pauvre d'Europe, avec un PIB par habitant de 2 000 dollars. Dans ce pays, la population active est sous-évaluée. Le métier d'ouvrier est très répandu en Moldavie. Beaucoup de personnes sont aussi à leur compte car c'est beaucoup plus intéressant pays a connu une forte émigration vers d'autres pays européens tels que l'Italie, l'Espagne et le Portugal. Sur les 3,5 millions de personnes vivant en Moldavie en 2017, près de la moitié sont parties à l'étranger. L'une des principales sources de revenus de ce pays est constituée des transferts d'argent aux familles par les personnes qui ont quitté le pays à la recherche d'une vie les pays les plus pauvres du monde, voici une liste des 10 pays les plus pauvres d'Europe, selon leur PIB par habitant en dollars. Il convient de noter que la plupart de ces pays constituaient l'ex Union soviétique La Moldavie avec un PIB de 2000 $.L'Ukraine avec un PIB de 3130 $.L'Arménie avec un PIB 4450 $.L'Azerbaïdjan avec un PIB de 4780 $.La Géorgie avec un PIB de 4810 $.L'Albanie avec un PIB de 5450 $.La Bosnie Herzégovine avec un PIB de 5920 $.La Macédoine avec un PIB de 6140 $.La Biélorussie avec un PIB de 6370 $.La Serbie avec un PIB de 7200 $. Les pays les plus pauvres d'Asie L'Asie est le plus grand continent du monde avec plus de 3,5 milliards d'habitants. Elle compte également un grand nombre de pays touchés par la pauvreté le Fonds monétaire international FMI, le pays le plus pauvre d'Asie est l'Afghanistan avec un PIB par habitant de 577,21 dollars. L'Afghanistan est un pays qui dépend principalement de l'agriculture, avec plus de 60% de la population travaillant dans la culture de dispose d'importantes réserves de gaz naturel et pourrait améliorer son économie grâce à ses réserves, mais cela est extrêmement difficile en raison des guerres constantes auxquelles le pays est confronté. L'autre activité économique en Afghanistan est l'industrie textile, un domaine qui a considérablement diminué ces dernières années pour des raisons politiques. L'Afghanistan est également l'un des pays les plus dangereux au selon le Fonds monétaire international, une liste des 10 pays les plus pauvres d'Asie en 2019 selon leur PIB/habitant Afghanistan 577,21 $Tajikistan 815,41 $Népal 1010 $Yémen 1080 $Kirghizistan 1310 $Myanmar Birmanie 1390 $Ouzbékistan 1560 $Cambodge 1600 $Bangladesh 1880 $Inde 2190 $ Les pays les plus pauvres du monde en 2019 Dans l'article toutCOMMENTsur Quel est le pays le plus pauvre du monde, nous vous présentons un classement avec les pays les plus pauvres du monde, c'est-à-dire ceux qui ont le PIB/habitant en dollars américain le plus bas au premier trimestre de 2019 Le Soudan du Sud 224,75 $Le Burundi 309,87 $Le Malawi 361,15 $La Sierra Leone 489,31 $La République Centrafricaine 489,55 $Le Mozambique 500,77 $Madagascar 500,95 $La République Démocratique du Congo 501,65 $Le Niger 503,31 $L'Afghanistan 577,21 $Le Liberia 651,85 $Le Togo 691,42 $L'Ouganda 746,59 $La Gambie 761,23 $Le Burkina Faso 767,70 $Le Soudan 795,27 $Le Tajikistan 815,41 $Le Rwanda 847,12 $Les Comores 853,98 $Le Guinea-Bissau 883,67 $Vous pourrez retrouver des informations sur le pays reconnu comme étant la puissance mondiale dans notre article Quel est le pays le plus riche du monde. Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables à Quel est le pays le plus pauvre du monde, nous vous recommandons de consulter la catégorie Formation. MoleHotel: L'hôtel le plus malhonnête du pays! - consultez 249 avis de voyageurs, 321 photos, les meilleures offres et comparez les prix pour Mole Hotel sur Tripadvisor. Passer au contenu principal. Avis. Voyages Alertes Connectez-vous. Messages. Tout afficher. Connectez-vous pour obtenir des informations sur vos voyages et envoyer des messages à d'autres Malgré une atmosphère nationale très sombre, 37 % des gens aux États-Unis déclarent vivre dans le meilleur pays de la planète, rapporte The Guardian. Publié le 09 mai 2019 à 15h11 “Plus de 40 % des Américains n’apprécient pas du tout’ le président, 70 % jugent leurs élus malhonnêtes’ et 64 % pensent que les États-Unis sont divisés entre les gens ordinaires et les élites corrompues qui les exploitent’. Et pourtant, ils ont beau avoir le sentiment qu’il y a quelque chose de pourri dans leur pays, les Américains ont cette particularité de garder une foi inébranlable dans leur mythe national.” Comme le souligne le journal britannique The Guardian, les résultats de l’étude YouGov-Cambridge Globalism Project peuvent surprendre. Car les Américains sont en proportion les plus nombreux à déclarer qu’ils vivent dans “le meilleur pays du monde”. “L’exceptionnalisme américain est bien vivant”, constate le quotidien, partenaire de cette nouvelle étude annuelle, conduite dans 23 grands pays auprès de plus de 25 000 personnes. Seuls 6 % des Français affirment que leur pays est le meilleur du monde – à peine plus qu’en Allemagne, le pays où ce chiffre est le plus bas, à 5 %. Les Australiens et les Canadiens sont bien plus enclins à penser vivre dans le meilleur pays du monde, comme le disent respectivement 29 % et 28 % des interrogés. En Chine aussi, la proportion monte à 29 %. Ce sont bien toutefois les États-Unis qui ont le record en la matière 37 % des interrogés déclarent que leur pays est le meilleur. Source de l’article The Guardian LondresL’indépendance et la qualité caractérisent ce titre né en 1821, qui compte dans ses rangs certains des chroniqueurs les plus respectés du pays. The Guardian est le journal de référence de l’intelligentsia, des enseignants et des syndicalistes. Orienté au centre gauche, il se montre très critique vis-à-vis du gouvernement conservateur. Contrairement aux autres quotidiens de référence britanniques, le journal a fait le choix d’un site en accès libre, qu’il partage avec son édition dominicale, The Observer. Les deux titres de presse sont passés au format tabloïd en 2018. Cette décision s’inscrivait dans une logique de réduction des coûts, alors que The Guardian perdait de l’argent sans cesse depuis vingt ans. Une stratégie payante en mai 2019, la directrice de la rédaction, Katharine Viner, a annoncé que le journal était bénéficiaire, une première depuis 1998. Lire la suite Nos services Taiwanest le premier producteur de semi-conducteurs au monde si la chine s'empare du pays ils pourront contrôler la production et les prix de l'électronique dans le monde entier, les USA vont tout faire pour empêcher que ça arrive. Répondre Citer. Le président américain Donald Trump a fait volte-face ce week-end contre ses alliés d'Europe et du Canada, qu'il a menacés de droits de douanes alourdis, après un sommet du G7 qui s'est fini en fiasco. Des tensions qui tranchent avec "l'unité" affichée lors d'un sommet en Chine réunissant notamment les chefs d'Etat chinois, russe et iranien sur fond de tensions commerciales et diplomatiques avec les suite après la publicité Samedi, Donald Trump a brusquement retiré samedi son soutien au communiqué final du sommet de deux jours à La Malbaie Québec, est du Canada, malgré le compromis qui avait été forgé de haute lutte sur les questions commerciales. Sa délégation et lui-même avaient pourtant donné leur aval à ce document en 28 points péniblement négocié par le "Groupe des sept" Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, France, Allemagne, Italie, Japon. "Les Canadiens sont polis mais..." Donald Trump a justifié ce camouflet infligé aux vieux alliés des Etats-Unis par des propos de Justin Trudeau, l'hôte du sommet, lors de sa conférence de presse de clôture. Le Premier ministre du Canada, pays frappé comme l'Europe et le reste du monde de nouveaux droits de douanes américains sur l'acier et l'aluminium, a redit à cette occasion que ces taxes étaient "insultantes", au regard de l'histoire entre les deux pays. Comme l'Union européenne, il a confirmé des représailles pour suite après la publicité "Les Canadiens sont polis et raisonnables, mais nous ne nous laisserons pas bousculer", a déclaré le Premier ministre, qui avait auparavant loué le consensus trouvé par les sept sur une série de sujets. Un texte qui ne résolvait pas le conflit en cours, mais qui était salué par tous comme un pas vers la désescalade et le dialogue. Trudeau est "malhonnête et faible" Quelques heures plus tard, piqué au vif par ces paroles, le milliardaire a tweeté, depuis Air Force One, qu'il avait ordonné à ses représentants de retirer le sceau américain du communiqué final. Il a aussi traité Justin Trudeau de personne "malhonnête et faible"... alors qu'il avait dit la veille que la relation bilatérale n'avait jamais été aussi bonne dans l'histoire des deux pays. PM Justin Trudeau of Canada acted so meek and mild during our G7 meetings only to give a news conference after I left saying that, “US Tariffs were kind of insulting” and he “will not be pushed around.” Very dishonest & weak. Our Tariffs are in response to his of 270% on dairy!La suite après la publicité — Donald J. Trump realDonaldTrump 9 juin 2018 Based on Justin’s false statements at his news conference, and the fact that Canada is charging massive Tariffs to our farmers, workers and companies, I have instructed our Reps not to endorse the Communique as we look at Tariffs on automobiles flooding the Market! — Donald J. Trump realDonaldTrump 9 juin 2018 Surtout, Donald Trump a renouvelé sa menace de tarifs sur les voitures européennes et étrangères importées aux Etats-Unis. Un secteur qui pèse bien plus les deux métaux jusqu'à présent frappés. Les Etats-Unis sont le premier marché étranger pour les marques européennes de voitures. L'Allemagne est particulièrement inquiète les automobiles représentent en valeur le quart de ce que le pays exporte vers les suite après la publicité Les dirigeants du G7 avaient quitté La Malbaie lorsque Donald Trump a décidé de déchirer l'accord final du sommet. Dans un premier temps, aucun n'a fait de commentaire. Le cabinet de Justin Trudeau s'est contenté de rappeler que le Premier ministre n'avait fait que répéter, durant sa conférence de presse, des propos déjà prononcés auparavant.
Celundi 22 août, devant les cadres de son parti Union pour la Nation Congolaise (UNC), Vital Kamerhe a annoncé sa visite prochaine dans l’Est du pays dans le but d’apporter publiquement sa contribution aux victimes des conflits armés qui opposent les Forces armées de la RDC (Fardc) aux différents groupes armés.
Avec une fortune de 127,9 milliards de dollars, l'entrepreneur américain Elon Musk est désormais la deuxième personne la plus riche au monde, devant le fondateur de Microsoft Bill Gates, selon le dernier classement des milliardaires établi par Bloomberg. Elon Musk, le tumultueux patron du constructeur de véhicules électriques Tesla, est passé devant Bill Gates pour devenir le deuxième homme le plus riche au monde, selon le classement des milliardaires de l'agence Bloomberg. La fortune de l'entrepreneur de 49 ans né en Afrique du Sud s'est étoffée de 7,24 milliards de dollars sur la seule journée de lundi, grimpant à 128 milliards de dollars. L'ultra-médiatique dirigeant, qui est également co-fondateur de la société spatiale SpaceX, était déjà passé en quelques semaines devant Mark Zuckerberg, le dirigeant de Facebook, et Bernard Arnault, le patron du groupe de luxe LVMH. Sur le podium des multi-milliardaires, il n'est plus que derrière Jeff Bezos, le fondateur du géant du commerce en ligne Amazon, dont la fortune est estimée à 182 milliards de dollars. Les riches, encore plus riches Bill Gates complète le trio de tête avec une fortune évaluée à 127,7 milliards de dollars. L'ancien co-fondateur de Microsoft a vu sa fortune fondre parce qu'il en consacre une bonne partie à la fondation Bill et Melinda Bloomberg, les plus riches ont vu leur fortune cumulée croître de milliards de dollars depuis janvier, en hausse de 23%, alors que la pandémie de coronavirus a provoqué le ralentissement de l'économie mondiale et entraîné des cortèges de licenciements et une vague de faillites d'entreprises aux Etats-Unis. L'ascension fulgurante de M. Musk dans le classement des grosses fortunes est lié à l'envolée du titre de Tesla à Wall Street, qui a pris plus de 500% depuis le début de l'année et y vaut désormais 495 milliards de dollars. Ce qui a permis à M. Musk, qui possède environ 18% de la société, de gagner 100 milliards sur la même période. Le groupe est d'une part devenu rentable, parvenant à gagner de l'argent pendant cinq trimestres consécutifs. Un engouement de nombreux investisseurs pour Tesla Son action a par ailleurs été dopée ces dernières semaines par l'élection à la présidence des Etats-Unis de Joe Biden, qui a promis de favoriser le développement des véhicules électriques dans le pays, et par l'annonce de la prochaine entrée du groupe dans le prestigieux indice S&P 500. En faire partie permettra à l'action Tesla d'être systématiquement incluse dans de nombreux produits financiers qui suivent mécaniquement ses fluctuations, les ETF, ce qui devrait lui donner encore plus d'ampleur. Tesla profite de façon générale de l'engouement de nombreux investisseurs pour ce qu'ils considèrent être le futur de l'automobile. Même s'ils écoulent bien plus de véhicules, les fabricants plus traditionnels de voitures General Motors et Ford ne valent en Bourse que 64 milliards et 35 milliards de dollars respectivement. COVID 19 Belgique où en est l'épidémie ce mardi 24 novembre?
LesMarocains Selon une étude publiée dans le magazine Nature, les Marocains sont le peuple le plus malhonnête de la planète. Un seul pays, également africain, égale le
Qu’ont en commun la Syrie, le Yémen, la Somalie et les Etats-Unis ? Outre l’interdiction de voyager dans ce dernier, ils sont parmi les 10 pays les plus dangereux au monde pour les femmes. Un triste palmarès ! C’est une enquête de la Fondation Thomson Reuter qui les a répertoriés, pour savoir, parmi les 193 Etats membres des Nations Unies, qu’elles étaient les plus dangereuses pour les femmes et les pires pour les soins de santé, les ressources économiques, les pratiques traditionnelles, les abus sexuels et la traite des êtres humains. Alors qu’en est-il ? 1. L’Inde L’Inde a été classé pays le plus dangereux au monde pour les femmes. Violences et harcèlements sexuels, traite des êtres humains, travail forcé, esclavage sexuel, servitude domestique sont toujours monnaie courante. Cette année, le pays s’est également classé au premier rang des attaques liées aux traditions culturelles, notamment celles à l’acide, les mutilations génitales féminines et le mariage des enfants. 2. L’Afghanistan L’Afghanistan a les pires soins de santé au monde pour les femmes. C’est également le pire pour la violence non sexuelle. Pas glorieux ! 3. Syrie Ce n’est pas vraiment une surprise ! Après sept ans de guerre civile, le pays est touché par une forte violence qu’elle soit sexuelle cela inclut le viol comme arme de guerre, liée au conflit ou domestique. 4. Somalie L’accès aux soins de santé pour les femmes y est difficile ainsi qu’aux ressources économiques. Les violences sexuelles sont présentes ainsi que la lapidation, le mariage des enfants et les attaques à l’acide. 5. Arabie Saoudite Dans le pays, la violence sexuelle y est faible. Mais la discrimination y est très forte. Les droits fondamentaux des femmes sont limités discrimination dans l’emploi, dans la capacité à gagner sa vie et dans le manque d’accès à l’éducation. Mais réjouissons-nous, elles peuvent désormais conduire ! 6. Pakistan Des discriminations et des traditions culturelles qui comprennent l’incapacité des femmes à gagner leur vie, la maltraitance physique et la malnutrition comme forme de punition. Les crimes d’honneur y sont toujours d’actualité. 7. République Démocratique du Congo En termes de violence sexuelle, le pays se place juste derrière l’Inde. Cela inclut le viol comme arme de guerre, le manque d’accès à la justice et la coercition dans le sexe comme une forme de corruption. 8. Yémen Il s’agit d’un des pays les plus pauvres du monde arabe, encore sous le coup d’une crise humanitaire, la plus urgente du monde, avec 22 millions de personnes ayant besoin d’une aide vitale. L’accès aux soins et aux ressources économiques y est compliqué et les violences non sexuelles sont courantes. 9. Nigeria C’est le quatrième plus mauvais élève en matière de traites des personnes servitude domestique, travail forcé et esclavage sexuel. En effet, les militaires sont accusés, par des groupes des droits de l’homme, de torture, de viols et de tuer des civils. 10. Etats-Unis Surprise ! C’est le seul pays occidental du classement et pas des moindres ! Le pays a le troisième pire bilan en matière de violence sexuelle. En effet, avec MeeToo et Time’s Up le harcèlement sexuel et la violence a été mise en lumière ainsi que le manque d’accès à la justice dans ces affaires. Le pays a été également pointé du doigt concernant la violence non sexuelle qui inclut les abus domestiques, physiques et mentaux.
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