🩙 Tiens Voilà L Facteur Bourvil Paroles

Jetiens pas bien le coup quand tu me regardes. Grand fou avec ses yeux-lĂ  . Moi j’ai des complexes plein les jambes. Et des ex oubliĂ©s. Des rĂȘves de midinette Ă  vendre. Elans de tendresse dĂ©modĂ©s . Peut-ĂȘtre parce que je suis la plus belle. Ou bien la plus apprĂȘtĂ©e. Que j’ai cachĂ© sous mes aisselles. Un petit bouquet de pensĂ©es Peut-ĂȘtre parce que je rigole toute

Avec son Ă©ternel pĂ©pin Ă  la main, Pin Ă  la main, pin Ă  la main, Avec sa toque et son renard en lapin, Avec son tricot et son chien Kiki Avec ses nerfs et son fragile intestin, Avec son rĂ©gime et son pain, Ta mĂšre est lĂ  ! Vraiment c'est pas un' sinĂ©cure La suite des paroles ci-dessous Ta mĂšre est lĂ  ! Juste au moment oĂč on n'l'attend pas Ta mĂšre est lĂ  ! C'est pas possible, elle se figure, Que toi et moi, On dĂ©pĂ©rit quand elle n'est pas lĂ . Avec son air de n'pas vouloir se mĂȘler, De dĂ©mĂȘler nos dĂ©mĂȘlĂ©s, Avec un oeil et une oreille en faction, Avec ses reflexion maison, zin, zin, Avec ses idĂ©es qu'elle dĂ©fend sur un ton, Qui monte plus vite que sa tension, La suite des paroles ci-dessous Ta mĂšre est lĂ  ! Y a pas d'erreur, c'est un' nature, Ta mĂšre est lĂ  ! Aussi pĂ©nible qu'une fin de mois, Ne me dis pas, Que j'peux pas la voir en peinture, J'aim'rai mieux ça, Car son portrait, j'l'accroch'rais pas lĂ . Ta mĂšre est lĂ  ! Allons ne fais pas cette figure, Tu le sais bien, J'en dis beaucoup mais j'en pense pas moins. Ta mĂšre est lĂ  ! ça va t'Ă©tonner mais j't'assure Que mine de rien, Ta mĂšre au fond moi je l'aime bien de loin ! Les internautes qui ont aimĂ© "Ta mĂšre est lĂ " aiment aussi

Tiens voilĂ  l'facteur Son p'tit air est affranchi Comme ses lettres et ses colis Tiens! voilĂ  l'facteur Il apporte le journal Et son bonjour matinal L'Ă©tĂ© quand il fait beau, il vous dit il TIENS VOILA LA COLONIALE C’était un wagon de pines Qui revenait d’Indochine Y en avait des longues, des fines Qui pendaient par la portiĂšre Tiens voilĂ  la Coloniale! Tiens voilĂ  les coloniaux! Y en avait des longues des fines Qui pendaient par la portiĂšre Une bonne dame de charitĂ© En pris trois douzaines de paires Une bonne dame de charitĂ© En pris trois douzaines de paires Les posa sur la cheminĂ©e Pour se les carrer dans l’ derriĂšre Les posa sur la cheminĂ©e Pour se les carrer dans l’ derriĂšre La p’tite bonne qu’avait tout vu S’en est servi la premiĂšre La p’tite bonne qu’avait tout vu S’en est servi la premiĂšre Elle s’en est tellement foutue Qu’elle s’en pĂ©ta la charniĂšre Elle s’en est tellement foutue Qu’elle s’en pĂ©ta la charniĂšre Si bien que du con au cul Ce n’est plus qu’une vaste orniĂšre Si bien que du con au cul Ce n’est plus qu’une vaste orniĂšre Tu crois la prendre par-devant Va te faire foutre c’est par-derriĂšre Tu crois la prendre par-devant Va te faire foutre c’est par-derriĂšre Tu veux lui faire un enfant V’la tout le foutre qui tombe par terre Tu veux lui faire un enfant V’la tout le foutre qui tombe par terre Et tu dis en l’écrasant D’un mouvement de colĂšre Et tu dis en l’écrasant D’un mouvement de colĂšre Non tu ne connaĂźtras pas Le foutu con de ta mĂšre Non tu ne connaĂźtras pas Le foutu con de ta mĂšre Tu ne feras pas non plus Un militaire de carriĂšre Retour Chants Troupes De Marine Surla terre qui m'a vu naĂźtre un jour. Sur la terre qui connaĂźt mes amours. Sur la terre de mon pĂšre de ma mĂšre. La suite des paroles ci-dessous. J'ai dans ma poche rien qu'un grain de blĂ©, Je mettrai mes galoches, j'irai le semer. Dans la terre de mon pĂšre de ma mĂšre. Dans la terre qui m'a vu naĂźtre un jour.
ï»żLe jeune facteur est mort Il n'avait que dix-sept ans Tout est fini pour lui maintenant L'amour ne peut plus voyager Il a perdu son messager C'est lui qui venait chaque jour Les bras chargĂ©s de tous mes mots d'amour C'est lui qui portait dans ses mains La fleur d'amour cueillie dans ton jardin Il est parti dans le ciel bleu Comme un oiseau enfin libre et heureux Et quand son Ăąme me l'a quittĂ© Un rossignol quelque part a chantĂ© Je t'aime autant que je t'aimais Mais je ne peux le dire dĂ©sormais Il a emportĂ© avec lui Les derniers mots que je t'avais Ă©crit Il n'ira plus sur les chemins Fleuris de rose et de jasmin Qui mĂšnent jusqu'Ă  ta maison On on on on on L'amour ne peut plus voyager Il a perdu son messager Et mon coeur est comme en prison On on on on on Il est parti l'adolescent Qui t'apportait mes joies et mes tourments L'hiver a tuĂ© le printemps Tout est fini pour nous deux maintenant.
6Le Paradis perdu. 7 Á dada. 8 Prends Mon Bouquet. 9 Toi Tu Es Ma Maison. 10 Le Petit Sapin. 11 Alors Qu'est Ce Qu'on Fait. 12 Ah C'que Tu Es Bete. 13 Le Petit Bal Perdu (c'Ă©tait Bien) 14 Tatane. BIENVENUE Coucou.. Merci Ă  tous de votre visite.. et de vos commentaires si pleins d'humour ...... Venez nous rejoindre !! et merci aux dessinateurs amis et si une image ou pps vous appartient, il sera retirĂ© sur simple demande de votre part Amis dessinateurs Archives Les archives perdues Articles RĂ©cents Categories Newsletter Abonnez-vous pour ĂȘtre averti des nouveaux articles publiĂ©s. Les Copains 29 aoĂ»t 2008 5 29 /08 /aoĂ»t /2008 2200 un petit clin d'oeil Ă  nos ami Pat et Bigou .....merci dĂ©dĂ© ParolesLe facteur de Santa-Cruz de Henri GenĂšs. Note 5.0 /5 basĂ©e sur 38 avis. Artiste: Henri GenĂšs 1868; Chanson: Le facteur de Santa-Cruz; Langue: Français; Corriger / Editer ces paroles Ajouter des paroles sur MusiKiwi Les paroles similaires. Les chansons similaires Tiens voilĂ  l'facteur de Bourvil. Dans chaque village, on connaĂźt l'facteur C'est un personnage
Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le samedi 23 octobre 2010 1424 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Plaisir d'amourMartini / Arr. A. GoraguerInterprĂšte Nana MouskouriPlaisir d'amour ne dure qu'un momentChagrin d'amour dure toute la m'as quittĂ©e pour la belle SylvieElle te quitte pour un autre d'amour ne dure qu'un momentChagrin d'amour dure toute la que cette eau coulera doucementVers ce ruisseau qui borde la prairieJe t'aimerai me rĂ©pĂ©tait SylvieL'eau coule encore elle a changĂ© d'amour ne dure qu'un momentChagrin d'amour dure toute la vie. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le samedi 23 octobre 2010 1430 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Pour les enfants du monde entierParoles et musique Yves DuteilInterprĂšte Yves Duteil Pour les enfants du monde entierQui n'ont plus rien Ă  espĂ©rerJe voudrais faire une priĂšreA tous les MaĂźtres de la TerreÀ chaque enfant qui disparaĂźtC'est l'Univers qui tire un traitSur un espoir pour l'avenirDe pouvoir nous appartenirJ'ai vu des enfants s'en allerSourire aux lĂšvres et coeur lĂ©gerVers la mort et le paradisQue des adultes avaient promisMais quand ils sautaient sur les minesC'Ă©tait Mozart qu'on assassineSi le bonheur est Ă  ce prixDe quel enfer s'est-il nourri?Et combien faudra-t-il payerDe silence et d'obscuritĂ©Pour effacer dans les mĂ©moiresLe souvenir de leur histoire ?Quel testament, quel Ă©vangileQuelle main aveugle ou imbĂ©cilePour condamner tant d'innocenceÀ tant de larmes et de soufrances? La peur, la haine et la violenceOnt mis le feu Ă  leur enfanceLeurs chemins se sont hĂ©rissĂ©sDe misĂšre et de barbelĂ©sPeut-on convaincre un dictateurD'Ă©couter battre un peu son coeur ?Peut-on souhaiter d'un prĂ©sidentQu'il pleure aussi de temps en temps ? Pour les enfants du monde entierQui n'ont de voix que pour pleurerJe voudrais faire une priĂšreA tous les MaĂźtres de la TerreDans vos sommeils de somnifĂšresOĂč vous dormez les yeux ouvertsLaissez souffler pour un instantLa magie de vos coeurs d'enfantsPuisque l'on sait de par le mondeFaire la paix pour quelques secondesAu nom du PĂšre et pour NoĂ«lQue la trĂȘve soit taise Ă  jamais les rancoeursEt qu'elle apaise au fond des coeursLa vengeance et la cruautĂ©Jusqu'au bout de l' n'ai pas l'ombre d'un pouvoirMais j'ai le coeur rempli d'espoirEt de chansons pour aujourd'huiQui sont des hymnes pour la vieEt des ghettos, des bidonvillesDu coeur du siĂšcle de l'exilDes voix s'Ă©lĂšvent un peu partoutQui font chanter les gens deboutVous pouvez fermer vos frontiĂšresBloquer vos ports et vos riviĂšresMais les chansons voyagent Ă  piedEn secret dans des coeurs fermĂ©sCe sont les mĂšres qui les apprennentA leurs enfants qui les reprennentElles finiront par Ă©claterSous le ciel de la les enfants du monde entier. bis ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le samedi 23 octobre 2010 1433 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Prendre un enfantParoles et Musique Yves DuteilInterprĂšte Yves Duteil Prendre un enfant par la mainPour l'emmener vers demainPour lui donner la confiance en son pasPrendre un enfant pour un roiPrendre un enfant dans ses brasEt pour la premiĂšre foisSĂ©cher ses larmes en Ă©touffant de joiePrendre un enfant dans ses un enfant par le coeurPour soulager ses malheursTout doucement, sans parler, sans pudeurPrendre un enfant sur son coeurPrendre un enfant dans ses brasMais pour la premiĂšre foisVerser des larmes en Ă©touffant sa joiePrendre un enfant contre soi.musique Prendre un enfant par la mainEt lui chanter des refrainsPour qu'il s'endorme Ă  la tombĂ©e du jourPrendre un enfant par l'amourPrendre un enfant comme il vientEt consoler ses chagrinsVivre sa vie des annĂ©es, puis soudainPrendre un enfant par la mainEn regardant tout au bout du cheminPrendre un enfant pour le sien. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le samedi 23 octobre 2010 1435 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Qu'est-ce qu'on attend pour ĂȘtre heureux ?A. Hornez - P. MisrakiInterprĂšte Ray Ventura 1937- 1 -Qu'est-ce qu'on attend pour ĂȘtre heureux ?Qu'est-ce qu'on attend pour faire la fĂȘte ?La route est prĂȘte, le ciel est bleuY'a des chansons dans le piano Ă  queueIl y a d' l'espoir dans tous les yeuxEt des sourires dans chaque fossetteLa joie nous guette c'est merveilleuxQu'est-ce qu'on attend pour ĂȘtre heureux ?- 2 -Qu'est-ce qu'on attend pour ĂȘtre heureux ?Qu'est-ce qu'on attend pour faire la fĂȘte ?Y a des noisettes tant qu'on en veutY a des raisins, des rouges, des blancs, des bleus,Les papillons s'en vont par deuxEt le mille-pattes met ses chaussettesLes alouettes s'font des aveuxQu'est-ce qu'on attend 3 pour ĂȘtre heureux ?- 3 -Qu'est-ce qu'on attend pour ĂȘtre heureux ?Qu'est-ce qu'on attend pour perdre la tĂȘte ?L'Ă©cho rĂ©pĂšte nos chants joyeuxEt la radio chante un p'tit air radieuxLes parapluies restent chez euxLes canes s'en vont au bal musetteLevez la tĂȘte, les amoureuxQu'est-ce qu'on attend 3 pour ĂȘtre heureux ?musique ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le samedi 23 octobre 2010 1439 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 RiquitaParoles E. Dumont - Musique F. L. BenechInterprĂšte Robert Piquet RefrainRiquita jolie fleur de JavaViens danser viens donner des baisersTes grands yeux langoureux ensorcellentTon doux chant Ă©mouvant nous appelleRiquita joli rĂȘve d'amouron voudrait te garder pour 1 -À Java il Ă©tait nĂ© une poupĂ©eUne poupĂ©e si jolie qu'on eut ditUn bijou ou un joujouQu'on adore et qui rend fouUn Ă©tranger en passant la voyantLui dit Viens donc Ă  Paris, ma jolie !Les plaisirs et les dĂ©sirs te ferontReine ou 2 -Et tout Paris acclama RiquitaElle vit dans la folie de l'orgieUn regard de ses beaux yeuxFait d'un homme un malheureuxÀ tout l'monde elle se promet et jamaisSon coeur n'a pu se donner ni aimerElle rit quand vous pleurezElle pleure quand vous 3 - Non chantĂ© iciÉtranger, toi qui m'as dit qu'Ă  ParisJe trouverais le bonheur, moi j'en meursJ'ai gardĂ© la nostalgieDu ciel bleu de mon paysAh ! ce qu'ils m'ont fait souffrir vos plaisirsLaissez-moi, je veux partir ou mourirCette nuit un ange blondM'a chantĂ© cette chanson. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le samedi 23 octobre 2010 1442 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Roses blanches de CorfouM. Hadjidakis / F. GĂ©raldInterprĂšte Nana MouskouriRefrainRoses blanches de CorfouRoses blanches, roses blanchesChaque nuit je pense Ă  vousRoses blanches de 1 -Pourquoi faut-il que le bateau s'en ailleQuand le soleil se lĂšve encore dans le ciel bleu?Quand nous vivons le temps des fiançaillesPourquoi faut-il que vienne le temps des adieux?RefrainRoses blanches de CorfouRoses blanches, roses blanchesChaque nuit je pense Ă  vousRoses blanches de parfum est si douxQuand l'aurore vient d'Ă©cloreMais je suis bien loin de vousRoses blanches de pense Ă  vous... ter- 2 - Non chantĂ© iciJe reviendrai si tu as su m'attendreQuand le printemps nous donnera ses plus beaux joursAucun bateau ne pourra me reprendreJe resterai dans le pays de notre amour. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le lundi 25 octobre 2010 1429 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Plus personne, z'ĂȘtes oĂč???????Sombreros et mantillesChanty - T. VaissadeInterprĂšte Rina Ketty 1938RefrainJe revois les grands sombrerosEt les mantillesJ'entends les airs de fandangosEt sĂ©guedillesQue chantent les Séñioritas si brunesQuand luit sur la plaza la revois dans un boleroSous la charmilleDes Carmen et des FigaroDont les yeux brillentJe sens revivre dans mon coeurEn dĂ©pit des montagnesUn souvenir charmeurArdent comme une fleur d' 1 -J'ai vu toute l'AndalousieBerceau de poĂ©sie et d'amourJ'ai vu Ă  SĂ©ville, Ă  GrenadeDonner la sĂ©rĂ©nade sous les toursJ'ai quittĂ© le pays de la guitareMais son doux souvenir en mon Ăąme s'Ă©gareDans un songe souvent tandis que mon coeur batIl me semble entendre tout basUne chanson qui vient de 2 -La nuit se meurt avec mon rĂȘveLa vision trop brĂšve dĂ©jĂ  fuitÔ jour! verse dans ton auroreLe refrain que j'adore et tout le chemin qui me sĂ©pareDu pays andalou et des tendres guitaresJe veux vivre encore au rythme flamencoQui m'Ă©voque dans un Ă©choL'amour sous un ciel toujours plus beau. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le lundi 25 octobre 2010 1432 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Sur le plancher des vachesParoles R. Sarvil - Musique Alibert 1934 Refrainon est heureux comme des poissons dans l'eauSur le plancher des vacheson peut guincher dans tous les caboulotsSur le plancher des vachesLe vin, les femmes, on a tout çaMais oui Madame sur c'plancher-lĂ C'est presque un amiral le matelotSur le plancher des 1 -Quand du poste de vigieon crie terre ! Ă  bĂąbordLe marin l'Ăąme ravieSe croit dĂ©jĂ  au portIl n'a plus qu'une pensĂ©eTirer une bordĂ©eIl n'a plus que ses filetsJoyeux il chante alors- 2 -Laissant roulis et tangagesPour se remettre Ă  flotDu sous-marin l'Ă©quipageFait escale au bistrotIls trinquent la nuit entiĂšreSi bien que, peuchĂšre !MalgrĂ© qu'ils soient sur la terreIls sont encore sous l'eau ! soĂ»lauds ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le lundi 25 octobre 2010 1436 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Un monsieur attendaitInterprĂšte Georges UlmerParlĂ©Voici l'histoire Ă©mouvante d'un tout petit monsieurqui aimait tendrement une jeune fille de son villageRefrainUn monsieur attendait au CafĂ© du PalaisDevant un Dubonnet la femme qu'il aimaitLa pendule tournait et les mouches volaientEt toujours le monsieur 1 -Elle lui avait dit Je viendrai vers midiIl Ă©tait dĂ©jĂ  six heures et demieIl pensait... c'est bizarreComme les femmes sont en retardMais toujours patient et plein d' 2 -Lorsque sonna minuit il repartit chez luiEn s'disant c'est pas pour aujourd'huiMais ça m'Ă©tonnerait bienQu'elle ne vienne pas demainEt l' lend'main dĂšs huit heures du matin...- 3 -Puis les mois se passĂšrent; vint la crise et la guerreLe CafĂ© changea d'propriĂ©taireon refit les plafondsLes chaises, les guĂ©ridonsMais mĂȘme pendant les transformations...- 4 -Un soir l'Ăąme bien lasse il la vit dans une glaceElle Ă©tait juste au CafĂ© d'en faceElle s'Ă©tait tout bonnementTrompĂ©e d'Ă©tablissementEt v'la pourquoi pendant quarante ans...Dernier refrainUn monsieur attendait au CafĂ© du PalaisDevant un Dubonnet la femme qu'il aimaitMais le jour qu'il la vit elle avait un mariLe patron de l'autre bar... c'est la vie ! ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le lundi 25 octobre 2010 1438 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Y'a d'la joieParoles Charles TrenetMusique Charles Trenet et Michel EmerInterprĂšte Charles Trenet RefrainY'a d'la joie, bonjour, bonjour les hirondellesY'a d'la joie, dans le ciel par-dessus le toitY'a d'la joie et du soleil dans les ruellesY'a d'la joie, partout y'a d'la le jour, mon coeur bat, chavire et chancelleC'est l'amour qui vient avec je ne sais quoiC'est l'amour, bonjour bonjour les demoisellesY'a d'la joie, partout y'a d'la 1 -Le gris boulanger bat la pĂąte Ă  pleins brasIl fait du bon pain, du pain si fin que j'ai faimon voit le facteur qui s'envole lĂ -basComme un ange bleu portant ses lettres au Bon DieuMiracle sans nom, Ă  la station Javelon voit le mĂ©tro qui sort de son tunnelGrisĂ© de soleil, de chansons et de fleursIl court vers le bois, il court Ă  toute 2Y'a d'la joie, la tour Eiffel part en baladeComme une folle, elle saute la Seine Ă  pieds jointsPuis elle dit tant pis pour moi si j'suis maladeJ'm'embĂȘtais toute seule dans mon d'la joie, le percepteur met sa jaquettePlie boutique et dit d'un air trĂšs doux, trĂšs douxBien l'bonjour, pour aujourd'hui, finie la quĂȘteGardez tout, messieurs, gardez 2 -Mais voilĂ  qu'soudain je m'Ă©veille dans mon litDonc, j'avais rĂȘvĂ©, oui car le ciel est grisIl faut se lever, se laver, se vĂȘtirEt ne plus chanter si l'on n'a plus rien Ă  direMais je crois pourtant que ce rĂȘve a du bonCar il m'a permis de faire une chansonChanson de printemps, chansonnette d'amourChanson de vingt ans, chanson de d'la joie, bonjour, bonjour les hirondellesY'a d'la joie, dans le ciel par-dessus le toitY'a d'la joie et du soleil dans les ruellesY'a d'la joie, partout y'a d'la le jour, mon coeur bat, chavire et chancelleC'est l'amour qui vient avec je ne sais quoiC'est l'amour, bonjour les demoisellesY'a d'la joie, partout y'a d'la joie. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le lundi 25 octobre 2010 1446 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 À bicycletteInterprĂšte Bourvil 1947Je m'en allais chercher des oiesDu cĂŽtĂ© de Fouilly les oies Ă  bicycletteSoudain, qui vois-je devant moi?Une belle fille au frais minois Ă  bicycletteEn arrivant Ă  sa hauteurJ'y fais un sourire enchanteur Ă  bicycletteElle rit aussi, on parle alorsEt elle me dit dans nos transports Ă  bicyclette- Est-ce que vous ĂȘtes coureur?- Moi, j'ne suis pas coureur- Ah! c'que vous ĂȘtes menteur!- Moi, je suis balayeur- Avez-vous fait le tour? tour de France- Non mais j'ai fait des tours- Des dĂ©tours des contours- Et mĂȘme d'autres tours- Des tours de quoi? qu'elle m'dit- Des tours d'vĂ©lo pardi!- Vous ĂȘtes un blagueur- Ah! c'que vous ĂȘtes parlez d'un raisonnement. pff...Dans les champs chantaient les grillonsLe soleil dardait ses rayons de bicycletteElle voulait que je chante un brinMais Ă  cela j'ai mis un frein de bicyclettePrĂšs d'un tournant y avait un boisOĂč l'on se dirigea, ma foi, Ă  bicycletteMais comme elle roulait prĂšs de moiVoilĂ  qu'elle m'fait presqu'Ă  mi-voix, Ă  bicyclette- Ah! c'que vous ĂȘtes coureur!- Moi, j'ne suis pas coureur- Ah! c'que vous ĂȘtes menteur!- Moi, je suis balayeur- Vous savez faire la cour?- Oui, j'y rĂ©ponds, car pour- De c'qui est de faire la cour- Je la fais chaque jour- La cour Ă  qui? qu'elle m'dit- La cour d'la ferme, pardi!- Vous ĂȘtes un blagueur- Ah! c'que vous ĂȘtes coureur!ParlĂ©Vous parlez d'un fallait pas qu'elle soit intelligentepour toujours dire ça. Enfin...Dans l'bois, j'y disais Voyez doncSans boussole nous nous guidons de bicycletteMais elle rĂ©pĂ©tait, pleine d'ardeurQue j'Ă©tais un coureur coureur Ă  bicycletteJe l'Ă©tais pas, ça c'est couruMais alors, je le suis dev'nu Ă  bicycletteEt comme je courais vers le butVoilĂ  qu'elle m' fait comme au dĂ©but Ă  bicyclette- Ah! c'que vous ĂȘtes coureur!- Moi, j'ne suis pas coureur- Ah! c'que vous ĂȘtes menteur!- Moi je suis balayeur- J'y redis en courant- Car j'continuais d'courir- Vers l'but Ă  conquĂ©rir- Vous ĂȘtes au courant- Mais Ă  force de courir- Parcourir, discourir- L'vĂ©lo s'est dĂ©gonflĂ©- Et j'suis pas Rien ne sert de courirIl faut partir Ă  point...Comme l'a si bien dit la F.... La F..... la tortue. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le lundi 25 octobre 2010 1448 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Au lycĂ©e PapillonParoles GeorgiusMusique Robert JuelInterprĂšte Georgius 1936- 1 -ÉlĂšve LabĂ©lure? ... PrĂ©sent!Vous ĂȘtes premier en Histoire de FranceEh bien, parlez-moi de VercingĂ©torixQuelle fut sa vie, sa mort, sa naissance?RĂ©pondez-moi bien et vous aurez dix- Monsieur l'Inspecteur, je sais tout ça par coeurVercingĂ©torix nĂ© sous Louis-PhilippeBattit les Chinois un soir Ă  RoncevauxC'est lui qui lança la mode des slipsEt pour ça mourut sur un Ă©chafaud- Le sujet est neuf, bravo, vous aurez neuf!Refrainon n'est pas des imbĂ©cileson a mĂȘme de l'instructionAu lycĂ©e Pa-pa, au lycĂ©e Pa-pilAu lycĂ©e 2 -ÉlĂšve Peaudarent? ... PrĂ©sent!Vous connaissez bien l'histoire naturelleEh bien, dites-moi c'qu'est un ruminantEt puis citez-m'en et je vous rappelleQue je donne dix quand je suis content- Monsieur l'Inspecteur, je sais tout ça par coeurLes ruminants sont des colĂ©optĂšresTels que la langouste et le rat d'Ă©goutLe cheval de bois, le pou, la belle-mĂšreQui bave sur sa proie et puis qui avale tout!- TrĂšs bien rĂ©pondu, je vous donne huit pas 3- Non chantĂ© iciÉlĂšve Isaac? ... PrĂ©sent!En arithmĂ©tique vous ĂȘtes admirableDites-moi ce qu'est la rĂšgle de troisD'ailleurs votre pĂšre fut-il pas comptableDes films Hollywood? donc rĂ©pondez-moi- Monsieur l'inspecteur, je sais tout ça par coeurLa rĂšgle de trois? C'est trois hommes d'affairesDeux grands producteurs de films... et puis c'estUn troisiĂšme qui est le commanditaireIl fournit l'argent et le r'voit jamais- Isaac, mon p'tit, vous aurez neuf et 4 -ÉlĂšve Trouffigne? ... PrĂ©sent!Vous connaissez bien la gĂ©ographieEh bien citez-moi les dĂ©partementsLes fleuves et les villes de la NormandieSes spĂ©cialitĂ©s et ses r'prĂ©sentants- Monsieur l'Inspecteur, je sais tout ça par coeurC'est en Normandie que coule la MoselleCapitale BĂ©ziers et chef-lieu Toulonon y fait l'caviar et la mortadelleEt c'est lĂ  qu'mourut Philibert Besson- Bravo mon ami, je vous donne neuf et 5 - Non chantĂ© iciÉlĂšve Legateux? ... PrĂ©sent!Vous ĂȘtes le meilleur en anatomieRĂ©pondez, j'vous prie, Ă  cette questionPour qu'un ĂȘtre humain puisse vivre sa vieQuels sont ses organes, quelles sont leurs fonctions?- Monsieur l'Inspecteur. je sais tout ça par coeurNous avons un crĂąne pour faire des crĂąneriesDu sang pour sentir, des dents pour danserNous avons des bras c'est pour les brass'riesDes reins pour rincer, un foie pour fouetter- Bien, c'est clair et net mais ça n'vaut pas plus d' 6ÉlĂšve Cancrelas? ... PrĂ©sent!Vous ĂȘtes le dernier, ça me rend moroseJ'vous vois dans la classe, tout lĂ -bas dans l'fondEn philosophie, savez-vous quĂš'que chose?RĂ©pondez-moi oui, rĂ©pondez-moi non- Monsieur l'Inspecteur. moi je n'sais rien par coeurOui je suis l'dernier, je passe pour un cuistreMais j'm'en fous, je suis prĂšs du radiateurEt puis comme plus tard, j'veux d'venir ministreMoins je s'rai calĂ©, plus j'aurai d'valeur- Je vous crie Bravo, mais je vous donne zĂ©ro. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le lundi 25 octobre 2010 1455 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Aujourd'hui peut-ĂȘtreParoles Paul Durand - Musique M. Scandi 1945 ?InterprĂšte Fernand Sardou - 1 -Devant ma maison y'a un pin terribleDont la grosse branche pourrait bien tomberSur mon pauvre toit quelle belle cibleCette branche-lĂ , je vais la peut-ĂȘtre ou alors demainCe sacrĂ© soleil me donne la flemmeJe la couperai... p'tĂȘt' aprĂšs demainEt si je peux pas la couper moi-mĂȘmeJe demanderai Ă  l'ami ToninQui la coupera aussi bien lui-mĂȘmeCe n'est pas qu'on soit fainĂ©ant par iciMais il fait si chaud dans notre 2 -J'ai de beaux lapins, des lapins superbesMais ils ont toujours envie de mangerIl faut tout le temps leur couper de l'herbeEt je devrais bien leur en peut-ĂȘtre ou alors demainCes sacrĂ©s lapins me donnent la flemmeJ'en ramasserai... p'tĂȘt' aprĂšs demainEt si je peux pas en couper moi-mĂȘmeBen... je lĂącherai tous mes beaux lapinsQui la couperont aussi bien eux-mĂȘmesCe n'est pas qu'on soit fainĂ©ant par iciMais la terre est basse dans notre 3 -Le soir de mes noces avec ThĂ©rĂšseQuand on s'est trouvĂ©s tout dĂ©shabillĂ©sEn sentant frĂ©mir son beau corps de braiseJe me suis pensĂ© je vais l'embrasser...Aujourd'hui peut-ĂȘtre ou alors demainMoi les Ă©motions, boudiou, ça me rend tout blĂȘmeJe demanderai... Ă  l'ami ToninQui pourra trĂšs bien l'embrasser lui-mĂȘmeMais soudain ça m'a pris au petit matinon est dĂ©chaĂźnĂ© chez nous quand on aimeEt des mois aprĂšs... j'avais trois petitsNous sommes les rois dans notre Midi. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le lundi 25 octobre 2010 1457 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Avoir un bon copainParoles J. Boyer - Musique 1931InterprĂšte Henri Garat - 1 -C'est le printemps, on a vingt ansLe coeur et le moteur battent gaiementDroit devant nous, sans savoir oĂčNous filons comme des fousCar aujourd'hui, tout nous souritDans une auto on est bien entre amisAussi chantons sur tous les tonsNotre plaisir d'ĂȘtre garçon !RefrainAvoir un bon copainVoilĂ  c'qu'il y a d'meilleur au mondeOui, car... un bon copainC'est plus fidĂšle qu'une blondeUnis main dans la mainÀ chaque secondeon rit de ses chagrinsQuand on possĂšde un bon 2 -Les doux aveux des amoureuxAvouons-le maintenant, c'est vieux jeuC'est plus charmant qu'des longs sermentsCe n'sont que des bonimentsLoin des baisers pour se griserSur une route il suffit de gazerLe grand amour ça dure un jourL'amitiĂ© dure un bon copainVoilĂ  c'qu'il y a d'meilleur au mondeOui, car... un bon copainC'est plus fidĂšle qu'une blondeUnis main dans la mainÀ chaque secondeon rit de ses chagrinsQuand on possĂšde un bon rit de ses chagrinsQuand on possĂšde un bon copain. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le lundi 25 octobre 2010 1459 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 C'est pour mon papaOberfeld - Pujol - PothierInterprĂšte Georges Milton- 1 -J'ai des parents qui ne sont pas du tout assortisPapa est petit et trĂšs mal bĂątiTandis que maman est grande, jolie et fait du sportMon pĂšre avec ma mĂšre a toujours tortElle commande Ă  chaque coup des robes de chez PatouMais elle habille papa au "dĂ©crochez-moi ça".RefrainL'habit qui n'va pas c'est pour mon papaLes plus beaux vĂȘtements c'est pour ma mamanLe livreur c'est tout l' temps pour ma mĂšreLes factures c'est tout l'temps pour mon pĂšreLes vieux pyjamas c'est pour mon papaLes dessous troublants c'est pour ma mamanSes chaussures sont coquettes mais les plus sales chaussettesAux trous grands comme ça, c'est pour mon 2 -C'est Ă  maman qu'les gens font toujours de beaux cadeauxPapa, ce nigaud, ne reçoit qu'la peauTous les ans, l'jour de sa fĂȘte, maman se fait offrirDes choses de prix qui font toujours plaisirElle a des objets d'art, des sacs en peau d'lĂ©zardMais papa chaque fois, faut voir ce qu'il 2Le pot d'bĂ©gonias c'est pour mon papaMais les gros diamants c'est pour ma mamanLe plus beau c'est tout l'temps pour ma mĂšreLe plus moche c'est tout l'temps pour mon pĂšreLe p'tit agenda c'est pour mon papaLes bonbons fondants c'est pour ma mamanElle invite tous les gens qui lui font des prĂ©sentsMais les frais du r'pas c'est pour mon 3 -Maman chaqu' matin fait sa p'tite ballade en autoPapa s'lĂšve plus tĂŽt et s'tape le mĂ©troMaman, au five o' clock boit l'thĂ© avec ses amiesElle n' revient pas avant huit heures et demiePapa ne rouspĂšte pas, c'est lui qui fait l'repasIl r'çoit les livraisons et balaie la 3Faire les oeufs sur l'plat c'est pour mon papaFaire du boniment c'est pour ma mamanLe tango c'est tout l'temps pour ma mĂšreLe balai c'est tout l'temps pour mon pĂšreFaire la soupe au chat c'est pour mon papaS'payer de l'agrĂ©ment c'est pour ma mamanQuand elle flirte un peu trop avec les gigolosFaire pisser Mirza, c'est pour mon papa. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le lundi 25 octobre 2010 1503 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 C'est si bonParoles AndrĂ© Hornez - Musique Henri BettiInterprĂšte Fernand Gignac Je ne sais pas s'il en est de plus blondeMais de plus belle il n'en est pas pour moiElle est vraiment toute la joie du mondeMa vie commence dĂšs que je la voisEt je fais Oh! et je fais Ah!C'est si bon de partir n'importe oĂčBras dessus, bras dessousEn chantant des chansonsC'est si bon de se dire des mots douxDes petits riens du toutMais qui en disent voyant notre mine ravieLes passants, dans la rue, nous si bon de guetter dans ses yeuxUn espoir merveilleuxQui donne le frissonC'est si bon ces petites sensationsÇa vaut mieux qu'un millionTellement tellement c'est bon.Musique Vous devinez quel bonheur est le nĂŽtreEt si je l'aime vous comprenez pourquoiElle m'enivre et je n'en veux plus d'autresCar elle est toutes les femmes Ă  la foisElle me fait Oh! elle me fait Ah!C'est si bon de pouvoir l'embrasserEt puis de recommencerÀ la moindre occasionC'est si bon de jouer du pianoTout le long de son dosTandis que nous inouĂŻ ce qu'elle a pour sĂ©duireSans parler de ce que je n'peux pas si bon quand j'la tiens dans mes brasDe me dire que tout çaC'est Ă  moi pour de bonC'est si bon et si nous nous aimonsCherchez pas la raison C'est parce que c'est si bon. 3 fois ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le lundi 25 octobre 2010 1529 Inscrit le 30/06/2006Messages 4 680 Bonjour Sylvie et sa chorale enchantĂ©e, Notre ArdĂ©choise "chanteuse" fidĂšle Aujourd'hui Saint CrĂ©pin, patron des cordonniers ...Le Petit cordonnier ... Francis Lemarque 1954 petit cordonnier qui voulait aller danserAvait fabriquĂ© de petits souliersUne belle est entrĂ©e qui voulait les acheterMais le cordonnier lui a dĂ©clarĂ© {x2}"Ils seront Ă  vous sans qu'ils vous coĂ»tent un souMais il vous faudra danser avec moi"{Refrain}Petit cordonnier t'es bĂȘte, bĂȘteQu'est-ce que t'as donc dans la tĂȘte, tĂȘte ?Crois-tu que mon cƓur s'achĂšte, chĂšteAvec une paire de souliers ?Mais la belle accepta, elle emporta sous son brasLes petits souliers pour aller danserL'cordonnier tout rĂ©joui a mis ses plus beaux habitsEt s'est pomponnĂ© pour la retrouver{x2}Mais hĂ©las quand il voulut la faire danserElle lui rit au nez d'un p'tit air futĂ©.{Au refrain}Mais Ă  peine la belle avait-elle fait trois pasQue ses p'tits souliers furent ensorcelĂ©sElle se mit Ă  tourner comme une toupie dĂ©rĂ©glĂ©eEt les musiciens n'y comprenaient rien{x2}Elle tourna, tourna jusqu'au petit matinEt toute Ă©puisĂ©e se mit Ă  pleurerPetit cordonnier arrĂȘte, rĂȘteTu me fais tourner la tĂȘte, tĂȘteTu ne dois pas ĂȘtre bĂȘte, bĂȘtePour m'avoir ensorcelĂ©ePetit cordonnier arrĂȘte, rĂȘteQue ta volontĂ© soit faite, faiteToute ma vie le cƓur en fĂȘte, fĂȘteDans tes bras je vais danserGentil petit cordonnierBon aprĂšs-midi, bisou Jacqueline CoĂ«t Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 28 octobre 2010 1845 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 bisou bisou bisou Bonjour Ă  vousC'est un mauvais garçonJ. Boyer - G. V. Parys 1936InterprĂšte Henri Garat- 1 -Nous les paumĂ©sNous ne sommes pas aimĂ©sDes bons bourgeoisQui nagent dans la joieIl faut avoirPour ĂȘtre Ă  leur goĂ»tUn beau faux colEt un chapeau mouÇa n'fait pas riche une casquetteÇa donne le genre malhonnĂȘteEt c'est pourquoiQuand un bourgeois nous voitIl dit en nous montrant du doigtRefrainC'est un mauvais garçonIl a des façonsPas trĂšs catholiqueson a peur de luiQuand on le rencontre la nuitC'est un mĂ©chant p'tit garsQui fait du dĂ©gĂątSitĂŽt qu'il s'expliqueÇa joue du poingD'la tĂȘte et du chaussonUn mauvais garçon. - 2 -Toutes les belles damesPleines de perles et de diamsEn nous croisantOnt des airs mĂ©prisantsOui mais.... demainPeut-ĂȘtre ce soirDans nos musettesElles viendront nous voirElles guinch'ront comme des fillesEn s'enroulant dans nos quillesEt nous lironsDans leurs yeux chavirĂ©sL'aveu qu'elles n'osent murmurerRefrainC'est un mauvais garçonIl a des façonsPas trĂšs catholiqueson a peur de luiQuand on le rencontre la nuit[C'est un mĂ©chant p'tit garsQui fait du dĂ©gĂątSitĂŽt qu'il s'expliqueMais y'a pas mieuxPour donner l'grand frissonQu'un mauvais garçon.] [bis] ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 28 octobre 2010 1848 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Ça vaut mieux que d'attraper la scarlatineHornez - MisrakiRay Ventura 1936RefrainÇa vaut mieux que d'attraper la scarlatineÇa vaut mieux que d'avaler d'la mort-aux-ratsÇa vaut mieux que de sucer d'la naphtalineÇa vaut mieux que d'faire le zouave au Pont d'l' 1 -Nous avons plutĂŽt tendanceÀ prendre la vie tristementEt dans bien des circonstanceson s'affole inutilementQuelle que soit notre malchanceDites-vous que ce n'est rienTout ça n'a pas d'importanceCar si l'on rĂ©flĂ©chit 2 -Dans l'mĂ©tro quand il y a fouleon n'sait pas oĂč s'accrocherEt tandis que le train rouleon ne fait que trĂ©bucherL'autre jour quelqu'un s'exclame- Mais vous m'attrapez les seins !J'lui ai rĂ©pondu - MadameY a pas d'quoi faire ce 3 -on a la triste habitudeDe couper la queue des chiensDes gens plein d'sollicitudeTrouvent que cela n'fait pas bienCette p'tite queue que l'on mutileDit quelqu'un, c'est pas joli,Mais d'une façon subtileBlumenthal dit Ă  LĂ©vy- 4 - Non chantĂ© iciUn vieil ami d'AngoulĂšmeM'avait invitĂ© chez luiSa maison est du quinziĂšmeC'est vieux mais c'est trĂšs gentilAdmirant ses jolies chosesJe lui demandai soudain- OĂč sont donc les water choses ?Il me dit chez le voisin. - 5 -Chez une vieille douairiĂšreDe soixante ans bien sonnĂ©sDes bandits masquĂ©s entrĂšrentEt voulurent la violenterLe mari criait - ArriĂšre !Je prĂ©fĂšre que l'on me tueMais brusquement la douairiĂšreLui dit Ă  voix ... - Mais voyons Gaston !- 6 - Non chantĂ© iciL'autre jour un vieux satyreDevait ĂȘtre guillotinĂ©Pour avoir, c'est triste Ă  direViolĂ© un garçon boucherAvant qu'on lui coupe la tĂȘteLe bourreau sans s'affolerLui offrit une cigaretteEt lui dit pour l'consoler...- 7 -Comme on parlait de suppliceDans un salon trĂšs cotĂ©Quelqu'un dit - Aux Iles MauriceJ'ai vu des gens empalĂ©sChacun dit - C'est sanguinaireMais un jeune homme raviS'Ă©criait - et prout ma chĂšreSi vous voulez mon avis...- 8 -Un soir au concert ColonneÉclata un grand scandaleIl y avait un tromboneQui ne semblait pas normalLe chef dit d'une voix rageuse- Eh! Nous jouons TannhauserEt vous, vous jouez Sambre et MeuseL'autre dit Qu'est-ce ça peut vous faire ?Dernier refrainÇa vaut mieux que d'attraper la scarlatineÇa vaut mieux que d'avaler le Pont d'l'AlmaÇa vaut mieux que du vinaigre dans les sardinesÇa vaut mieux que d'faire le zouave chez Ventura. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 28 octobre 2010 1851 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Caroline, CarolineParoles V. Telly et BenechMusique Vincent ScottoInterprĂšte Bourvil 1950 - 1 -VoilĂ  huit heures qui sonnentC'est dimanche mon cocoDĂ©jĂ  l'soleil rayonneÀ travers les rideauxJ'ai touchĂ© ma quinzaineSi tu le veux tantĂŽtNous irons Ă  VincennesDĂźner au bord de l'eauVite en bas du litPasse-moi mes habitsEt j'tons du jus dans 1Caroline CarolineMets tes p'tits souliers vernisTa robe blanche des dimanchesEt ton grand chapeau fleuriCaroline CarolineT'arrĂȘte pas comme ça en ch'minMarche plus vite ma petiteTu vas nous faire rater l' 2 -Installons-nous ma chĂšreSur le bord du talusMets un journal par terreon va manger lĂ -d'ssusPourquoi qu' tu fais la tĂȘte?Tu n'as qu'Ă  faire comme moiQuand on n'a pas d'fourchetteon mange avec les doigtsT'as fini dĂ©jĂ , ah! quel estomac!OĂč qu't'as donc fourrĂ© tout ça!Refrain 2Caroline, Carolineon a tout d'mĂȘme bien dĂźnĂ©Plus personne, viens mignonneC'est l'moment d'aller s'prom'nerCaroline CarolineLes p'tits oiseaux font cui cuiSur la mousse fraĂźche et douceMoi je l'ferais bien aussi. - 3 - Non chantĂ© iciMais lĂ -bas y'a la fĂȘteJ'entends l'accordĂ©onPrĂ©pare tes gambetteson va faire un bostonJ'cĂšde Ă  tous tes capricesJ'te paie un mirlitonUn cochon d'pain d'Ă©picesOĂč c'qu'il y a mon nomTu le mangerasQuand j'serai pas làÇa t'fera penser Ă  3Caroline CarolineRelĂšve ta jupe en dansantAie d'l'allure, va en mesureon s'croirait chez l'PrĂ©sidentCaroline CarolineQu'est-ce qu'ils ont Ă  nous r'garder?Tu m'fais honte, allons r'monteTon pantalon qu'est 4 -C'est pas d'chance ma pouletteVoilĂ  qu'il tombe de l'eauMets ta jupe sur ta tĂȘtePour garer ton chapeauMoi j'te suis par derriĂšreTa ch'mise dĂ©passe un peuMais grĂące Ă  ta banniĂšreJ'te perdrai pas des yeuxNous v'lĂ  arrivĂ©s, c'qu'on est Ă©reintĂ©sC'est pas trop tĂŽt d'se r' 4Caroline CarolineAh! c'qu'on est bien dans son litTu soupires, tu veux rireÇa c'est pas pour aujourd'huiCaroline CarolineUn p'tit baiser sur ta mainPas d'tapage si t'es sageT'auras l'reste dimanche prochain. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 28 octobre 2010 1853 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Cerisier rose et pommier blancParoles Jacques Larue - Musique LouiguyInterprĂšte AndrĂ© Claveau 1950 RefrainQuand nous jouions Ă  la marelleCerisier rose et pommier blancJ'ai cru mourir d'amour pour elleEn l'embrassantAvec ses airs de demoiselleCerisier rose et pommier blancElle avait attirĂ© vers elleMon coeur d' branche d'un cerisierDe son jardin caressaitLa branche d'un vieux pommierQui dans le mien fleurissaitDe voir leurs fleurs enlacĂ©esComme un bouquet de printempsNous vint alors la pensĂ©eD'en faire c'est ainsi qu'aux fleurs nouvellesCerisier rose et pommier blancOnt fait un soir la courte Ă©chelleÀ nos quinze non, ne dites pas qu'Ă  son ĂągeVous n'Ă©tiez pas si volageNon, non, quand deux lĂšvres vous attirentJ'en sais peu qui peuvent dire nous jouions Ă  la marelleCerisier rose et pommier blancJ'ai cru mourir d'amour pour elleEn l'embrassantMais un beau jour les demoisellesFrimousse rose et voile blancSe font conduire Ă  la chapellePar leur quel bonheur pour chacun !Le cerisier tout fleuriEt le pommier n'en font qu'unNous sommes femme et mariDe voir les fruits de l'Ă©tĂ©NaĂźtre des fleurs du printempsL'amour nous a chuchotĂ©D'en faire cette histoire est Ă©ternellePour en savoir le dĂ©nouementApprenez-en la ritournelleTout simplementEt dans trois ans trois bĂ©bĂ©s rosesFaisant la ronde gentimentVous chanteront cerisier roseEt pommier blanc. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 28 octobre 2010 1857 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Clopin-clopantParoles Pierre DudanMusique B. CoquatrixInterprĂšte Pierre Dudan 1947 - 1 -Je suis nĂ© avec des yeux d'angeEt des fossettes au creux des jouesJ'ai perdu mes joues et mes langesEt j'ai cassĂ© tous mes joujouxJe m'suis regardĂ© dans une glaceEt j'ai vu que j'avais rĂȘvĂ©Je m'suis dit faudra bien qu' j'm'y fasseTout finira par je m'en vais clopin-clopantDans le soleil et dans le ventDe temps en temps le coeur chancelleY'a des souv'nirs qui s'amoncellentEt je m'en vais clopin-clopantEn promenant mon coeur d'enfantComme s'envole une hirondelleLa vie s'enfuit Ă  tire-d'aileEt ça fait mal aux coeurs d'enfantsQui s'en vont seuls, 2 -Tout l'bonheur qu'on a vu naĂźtreTes lĂšvres douces, parfum de mielNos deux fronts contre la fenĂȘtreNos regards perdus dans le cielLe train noir hurlant dans la gareLe monstrueux dĂ©sert des ruesTes mots d'adieu, tes mots bizarresDepuis six mois, tu n'Ă©cris plus... ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut RCCh381 Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 28 octobre 2010 1930 Inscrit le 12/04/2007Messages 8 254 Eric CHARDENLe monde est gris, le monde est bleuLe monde est gris le monde est bleuEt la tristesse brĂ»le mes yeuxMon cƓur est gris mon cƓur est bleuJe ne pourrais pas ĂȘtre heureuxCar je n'ai pas trouvĂ© quelqu'unQui me dise je t'aimeNon je n'ai pas trouvĂ© quelqu'unQui me dise je t'aimeLe monde est gris le monde est bleuEt la tendresse berce mes yeuxMon cƓur est gris mon cƓur est bleuL'amour me quitte peu Ă  peuCar je n'ai pas trouvĂ© quelqu'unQui me dise je t'aimeNon je n'ai pas trouvĂ© quelqu'unQui me dise je t'aimeLe monde est gris le monde est bleuLa neige tombe sur mes yeuxMon cƓur est gris mon cƓur est bleuC'est donc si dur de vivre Ă  deuxCar je n'ai pas trouvĂ© quelqu'unQui me dise je t'aimeNon je n'ai pas trouvĂ© quelqu'unQui me dise je t'aimeNon je n'ai pas trouvĂ© quelqu'unQui me dise je t'aimela parole s'envole, mais les Ă©crits restenten la mĂ©moire de nos AncĂȘtresMes patronymesCHRETIEN - MARCHAND - VOSSOT - GUTTINGER - Rotzler - Ducloux - Charpiat - Lolo - Accremann - Bernard - Flory - Laibe - Grisey - Bouqueneur - RICHE - Catte - Kremer - BERTRAND - DORCY - PETIT - Finquel - AUBRY - ABRY - HERZOG - HANTZ - WEBER - Naegelen - Baschung - Fourvel Retour en haut RCCh381 Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 28 octobre 2010 1934 Inscrit le 12/04/2007Messages 8 254 LĂ©o FERRERAvec le tempsAvec le temps...Avec le temps, va, tout s'en vaon oublie le visage et l'on oublie la voixLe cƓur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'allerChercher plus loin, faut laisser faire et c'est trĂšs bienAvec le temps...Avec le temps, va, tout s'en vaL'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluieL'autre qu'on devinait au dĂ©tour d'un regardEntre les mots, entre les lignes et sous le fardD'un serment maquillĂ© qui s'en va faire sa nuitAvec le temps tout s'Ă©vanouitAvec le temps...Avec le temps, va, tout s'en vaMĂȘme les plus chouettes souv'nirs ça t'as une de ces gueulesA la gal'rie j'farfouille dans les rayons d'la mortLe samedi soir quand la tendresse s'en va toute seuleAvec le temps...Avec le temps, va, tout s'en vaL'autre Ă  qui l'on croyait pour un rhume, pour un rienL'autre Ă  qui l'on donnait du vent et des bijouxPour qui l'on eĂ»t vendu son Ăąme pour quelques sousDevant quoi l'on s'traĂźnait comme traĂźnent les chiensAvec le temps, va, tout va bienAvec le temps...Avec le temps, va, tout s'en vaon oublie les passions et l'on oublie les voixQui vous disaient tout bas les mots des pauvres gensNe rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froidAvec le temps...Avec le temps, va, tout s'en vaEt l'on se sent blanchi comme un cheval fourbuEt l'on se sent glacĂ© dans un lit de hasardEt l'on se sent tout seul peut-ĂȘtre mais peinardEt l'on se sent flouĂ© par les annĂ©es perduesAlors vraiment... avec le temps... on n'aime plusla parole s'envole, mais les Ă©crits restenten la mĂ©moire de nos AncĂȘtresMes patronymesCHRETIEN - MARCHAND - VOSSOT - GUTTINGER - Rotzler - Ducloux - Charpiat - Lolo - Accremann - Bernard - Flory - Laibe - Grisey - Bouqueneur - RICHE - Catte - Kremer - BERTRAND - DORCY - PETIT - Finquel - AUBRY - ABRY - HERZOG - HANTZ - WEBER - Naegelen - Baschung - Fourvel Retour en haut RCCh381 Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 28 octobre 2010 1939 Inscrit le 12/04/2007Messages 8 254 Jeane MANSONAvant de nous dire adieuFaisons l'amour avant de nous dire adieuAvant de nous dire adieuFaisons l'amour puisque c'est fini nous deuxPuisque c'est fini nous deuxFaisons l'amour comme si c'Ă©tait la premiĂšre foisEncore une fois toi et moi puisque l'amour s'en vaFaisons l'amour avant de nous dire adieuAvant de nous dire adieuFaisons l'amour puisque c'est fini nous deuxPuisque c'est fini nous deuxFaisons l'amour comme si c'Ă©tait la premiĂšre foisEncore une fois toi et moi puisque l'amour s'en vaJe peux tout te pardonnerEt faire semblant d'oublierJe veux bien fermer les yeuxEt faire tout ce que tu veuxJe veux bien te partagerEt ne veux te supplierMais reste encoreJe me ferai si petiteQue tu ne me verras pasEt je me ferai si tendreQue demain tu m'aimerasJe serai toute d'amourEt je serai toute Ă  toiMais reste encoreFaisons l'amour avant de nous dire adieuFaisons l'amour puisque c'est fini nous deuxFaisons l'amour comme si c'Ă©tait la premiĂšre foisEncore une fois toi et moi puisque l'amour s'en vaFaisons l'amour avant de nous dire adieuAvant de nous dire adieuFaisons l'amour puisque c'est fini nous deuxPuisque c'est fini nous deuxFaisons l'amour comme si c'Ă©tait la premiĂšre foisEncore une fois toi et moi puisque l'amour s'en vaAdieula parole s'envole, mais les Ă©crits restenten la mĂ©moire de nos AncĂȘtresMes patronymesCHRETIEN - MARCHAND - VOSSOT - GUTTINGER - Rotzler - Ducloux - Charpiat - Lolo - Accremann - Bernard - Flory - Laibe - Grisey - Bouqueneur - RICHE - Catte - Kremer - BERTRAND - DORCY - PETIT - Finquel - AUBRY - ABRY - HERZOG - HANTZ - WEBER - Naegelen - Baschung - Fourvel Retour en haut RCCh381 Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 28 octobre 2010 2002 Inscrit le 12/04/2007Messages 8 254 Jean SABLONJ’ai peur de l’AutomneLorsque l'automne vient, Je me souviensEt dans mon cƓurSoudain, j'ai peurL'automne est entrĂ©Un soir tout d'un coupIl a poussĂ© la fenĂȘtreBrusquement, le ventSouffle comme un fouEt des feuilles mortes volĂšrent partoutJ'ai compris que l'Ă©tĂ©Avait pris finIl faudrait nous quitterLe lendemainEt pour trĂšs longtemps, peut-ĂȘtreLorsque septembre vient, J'ai peur de l'automneDes tristes matins, Des soirs monotonesJ'ai peur de l'automneSaison des regretsOĂč l'espoir disparaĂźtDans les cƓurs inquietsSous le ciel gris et doux, Les jours sont plus fousNuages, oragesLorsque l'automne vient, Je me souviensEt dans mon cƓurSoudain, j'ai peurla parole s'envole, mais les Ă©crits restenten la mĂ©moire de nos AncĂȘtresMes patronymesCHRETIEN - MARCHAND - VOSSOT - GUTTINGER - Rotzler - Ducloux - Charpiat - Lolo - Accremann - Bernard - Flory - Laibe - Grisey - Bouqueneur - RICHE - Catte - Kremer - BERTRAND - DORCY - PETIT - Finquel - AUBRY - ABRY - HERZOG - HANTZ - WEBER - Naegelen - Baschung - Fourvel Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le dimanche 31 octobre 2010 1111 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 bisou bisou bisou Coucou Ă  la Chorale des Rossignolsbisou Ă  mon ArlĂ©sienne des IlesEmmĂšne-moi danser ce soirMusique Francis LaiInterprĂšte MichĂšle Torr- 1 -Aujourd'hui ça fait six ans que nous sommes mariĂ©sTu m'as donnĂ© de beaux enfants, tu saisDepuis ce petit bal oĂč l'on s'est rencontrĂ©sJe n'ai pas cessĂ© de t'aimerMais ce soir j'ai envie de dĂ©poser mon tablierDe me faire belle pour toi comme par le passĂ©Ton fauteuil, ton journal, tes cigarettes et la tĂ©lĂ©Ce soir laisse-les de cotĂ©...RefrainEmmĂšne-moi danser ce soirJoue contre joue et serrĂ©s dans le noirFais-moi la cour comme aux premiers instantsComme cette nuit oĂč tu as pris mes dix-sept ansEmmĂšne moi danser ce soirFlirtons ensemble enlacĂ©s dans le noirTimidement dis-moi MichĂšle, je t'aimeAmoureusement je suis restĂ©e la n'y a plus que tes amis et le football qui comptent pour toiEt j'ai l'impression que tu ne vois plus en moique le mĂšre de tes enfantsJe ne te demande pas de m'offrir des fleurs tous les joursMais de faire de temps en temps un geste d'amour...Et ce soir je voudrais encore une fois te retrouverRentrer au petit jour et puis t'embrasserTon fauteuil, ton journal, tes cigarettes et la tĂ©lĂ©Ce soir laisse-les de danser ce soirJoue contre joue et serrĂ©s dans le noirFais-moi la cour comme aux premiers instantsComme cette nuit oĂč tu as pris mes dix-sept ansEmmĂšne-moi danser ce soirFlirtons ensemble enlacĂ©s dans le noirTimidement dis-moi MichĂšle, je t'aimeAmoureusement je suis restĂ©e la danser ce soirJoue contre joue et serrĂ©s dans le noirFais-moi la cour comme aux premiers instants... ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le dimanche 31 octobre 2010 1115 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Gigi l'AmorosoParoles et Musique Michaele, Sebastien, RinaldiInterprĂšte Dalida 1974 Je vais vous raconter avant de vous quitterL'histoire d'un p'tit village prĂšs de NapoliNous Ă©tions quatre amis au bal tous les samedisÀ jouer, Ă  chanter toute la nuitGiorgio Ă  la guitare Sandro la mandolineMoi je dansais en frappant du tambourinMais tous ceux qui venaient c'Ă©tait pour Ă©couterCelui qui faisait battre tous les coeursEt quand il arriva, la foule s'Ă©cria...Arriva Gigi l'AmorosoCroqueur d'amourL'oeil de velours comme une caresseGigi l'AmorosoToujours vainqueur, parfois sans coeurMais jamais sans tendressePartout, c'Ă©tait la foule quand il chantaitZaza, luna caprese, o sole riche amĂ©ricaine Ă  grands coups de "je t'aime"Lui proposa d'aller jusqu'Ă  HollywoodTu seras le plus beau de tous les CarusosLui disait-elle jusqu'Ă  en perdre haleineNous voilĂ  Ă  la gare avec tous nos mouchoirsLe coeur serrĂ©, Ă©mus par ce grand dĂ©partPourtant on Ă©tait fiers qu'il dĂ©passe nos frontiĂšresGigi partait conquĂ©rir l'AmĂ©riqueEt quand il arriva, la foule s'Ă©cria...Arriva, Gigi l'AmorosoCroqueur d'amourL'oeil de velours comme une caresseGigi l'AmorosoToujours vainqueur, parfois sans coeurMais jamais sans tendresseEt lĂ , devant la foule, il a chantĂ©Zaza, luna caprese, o sole le train eut disparunous sommes tous rentrĂ©s chez nousEt le lendemain, le village n'Ă©tait plus le mĂȘmeLa femme du boulanger refusa d'allumer son fourLa femme du notaire par dĂ©sespoir prit plusieurs amantsEt la veuve du colonel ferma ses persiennesEt reprit le deuil pour la seconde malgrĂ© son absence, la nuit dans le silenceon plia nos costumes et nos instrumentson entendait venir comme une larme un soupirDu fond de la salle cette mĂ©lodieMusiqueCroqueur d'amourL'oeil de velours comme une caresseGigi... Gigi ? c'est toi lĂ -bas dans le noir ?Arriva, Gigi l'AmorosoCroqueur d'amourL'oeil de velours comme une caresseGigi l'AmorosoToujours vainqueur, parfois sans coeurMais jamais sans tendressePartout, c'Ă©tait la foule quand il chantait ... ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le dimanche 31 octobre 2010 1123 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Je n'suis pas bien portantParoles de GĂ©o Koger d'aprĂšs une idĂ©e de Gaston OuvrardMusique Vincent Scotto et Gaston OuvrardInterprĂšte Gaston Ouvrard 1932- 1 -Depuis que je suis militaireC'n'est pas rigolo... entre nousJe suis d'une santĂ© prĂ©caireEt j'me fais un mauvais sang fouJ'ai beau vouloir me remonterJe souffre de tous les la rate qui s'dilateJ'ai le foie qu'est pas droitJ'ai le ventre qui se rentreJ'ai l'pylore qui s'coloreJ'ai l'gosier anĂ©miĂ©L'estomac bien trop basEt les cĂŽtes bien trop hautesJ'ai les hanches qui s'dĂ©manchentL'Ă©pigastre qui s'encastreL'abdomen qui d'dĂ©mĂšne J'ai l'thorax qui s'dĂ©saxeLa poitrine qui s'dĂ©bineLes Ă©paules qui se frĂŽlentJ'ai les reins bien trop finsLes boyaux bien trop grosJ'ai l'sternum qui s'dĂ©gommeEt l'sacrum c'est tout comme...J'ai l'nombril tout en vrilleEt l'coccyx qui s' Bon Dieu! qu'c'est embĂȘtantD'ĂȘtre toujours patraqueAh! Bon Dieu! qu'c'est embĂȘtantJe n'suis pas bien 2 -Afin de guĂ©rir au plus viteUn matin tout derniĂšrementJe suis allĂ© Ă  la visiteVoir le major du souffrez-vous? qu'il m'a demandĂ©C'est bien simple que j'y ai rĂ©pliquĂ©J'ai la rate qui s'dilateJ'ai le foie qu'est pas droitEt puis j'ai ajoutĂ©Voyez-vous c'n'est pas toutJ'ai les g'noux qui sont mousJ'ai l'fĂ©mur qu'est trop durJ'ai les cuisses qui s'raidissentLes guiboles qui flageolentJ'ai les ch'villes qui s'tortillentLes rotules qui ondulent Les tibias raplaplasLes mollets trop Ă©paisLes orteils pas pareilsJ'ai le coeur en largeurLes poumons tout en longL'occiput qui chahutteJ'ai les coudes qui s'dessoudentJ'ai les seins sous l'bassinEt l'bassin qu'est pas sain...RefrainAh! Bon Dieu! qu'c'est embĂȘtantD'ĂȘtre toujours patraqueAh! Bon Dieu! qu'c'est embĂȘtantJe n'suis pas bien 3 -Avec une charmante demoiselleJ'devais me marier par amourMais un soir comme j'Ă©tais prĂšs d'elleEn train de lui faire la courMe voyant troublĂ©, elle me ditQu'avez-vous? - Moi, j'lui la rate qui s'dilateJ'ai le foie qu'est pas droitJ'ai le ventre qui se rentreJ'ai l'pylore qui s'coloreJ'ai l'gosier anĂ©miĂ©L'estomac bien trop basEt les cĂŽtes bien trop les hanches qui s'dĂ©manchentL'Ă©pigastre qui s'encastreL'abdomen qui d'dĂ©mĂšneJ'ai l'thorax qui s'dĂ©saxeLa poitrine qui s'dĂ©bineLes Ă©paules qui se frĂŽlentJ'ai les reins bien trop finsLes boyaux bien trop grosJ'ai l'sternum qui s'dĂ©gommeEt l'sacrum c'est tout comme...J'ai l'nombril tout en vrilleEt l'coccyx qui s' puis j'ai ajoutĂ©...Voyez-vous c'n'est pas les g'noux qui sont mousJ'ai l'fĂ©mur qu'est trop durJ'ai les cuisses qui s'raidissentLes guiboles qui flageolentJ'ai les ch'villes qui s'tortillentLes rotules qui ondulentLes tibias raplaplasLes mollets trop Ă©paisLes orteils pas pareils J'ai le coeur en largeurLes poumons tout en longL'occiput qui chahutteJ'ai les coudes qui s'dessoudentJ'ai les seins sous l'bassinEt l'bassin qu'est pas sain...En plus d'ça j'vous l'cache pasJ'ai aussi, quel souci!La luette trop fluetteL'oesophage qui surnageLes gencives qui dĂ©riventJ'ai l'palais qu'est pas laidMais les dents c'est navrantJ'ai les p'tites qui s'irritentEt les grosses qui s'dĂ©chaussentLes canines s'ratatinentLes molaires s'font la paireDans les yeux c'est pas mieuxJ'ai le droit qu'est pas droitEt le gauche qu'est bien mocheJ"ai les cils qui s'dĂ©filentLes sourcils qui s'Ă©pilentJ'ai l'menton qu'est trop longLes artĂšres trop pĂ©pĂšresJ'ai le nez tout bouchĂ©L'trou du cou qui s'dĂ©coudEt du coup, voyez-vous,J'suis gĂȘnĂ© pour parlerC'est vexant car maint'nantJ'suis forcĂ© d'm'arrĂȘter...RefrainAh! Bon Dieu! qu'c'est embĂȘtantD'ĂȘtre toujours patraqueAh! Bon Dieu! qu'c'est embĂȘtantJe n'suis pas bien portant. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le dimanche 31 octobre 2010 1128 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Je tire ma rĂ©vĂ©renceParoles J. Bastia et J. de WissantMusique Pascal Bastia 1938InterprĂšte Jean Sablon - 1 -Je tire ma rĂ©vĂ©renceEt m'en vais au hasardPar les routes de FranceDe France et de NavarreMais dites-lui quand mĂȘmeSimplement que je l'aimeDites-lui, voulez-vous,Bonjour pour moi et voilĂ  2 -J'avais sa prĂ©fĂ©renceJ'Ă©tais son seul bonheurHĂ©las ! les apparencesEt le sort sont trompeursUn autre a pris ma placeTout passe, tout casse, tout lasseDes grands mots ? Oh pourquoi ?Non ! Dites-lui bonjour pour croit que j'ai beaucoup de chagrinAujourd'hui non, mais peut-ĂȘtre demain...- 3 -Je n'ai plus d'espĂ©ranceJe remporte mon coeurPar les routes de FranceDe France ou bien d'ailleursMais dites-lui quand mĂȘmeSimplement que je l'aimeDites-lui, voulez-vous,Bonjour pour moi et voilĂ  tout.MusiqueMais dites-lui quand mĂȘmeSimplement que je l'aimeDites-lui, voulez-vous,Bonjour pour moi et voilĂ  tout. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le dimanche 31 octobre 2010 1131 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Kiss MeJean Albertini - S. GarciaInterprĂšte C. JĂ©rĂŽmeKiss me, as you love me, prends un coca et assieds-toiKiss me, as you love me, ferme les yeux Ă©coute-moiCe soir, si tu le veux, dans un grand lit nous serons mieuxJ'aimerais te retenir mais en anglais comment le dire?Il y avait un drapeau amĂ©ricainSur son sac dĂ©chirĂ©Un blue-jean qui ne valait plus rienMais je crois que je l'aimais me, as you love me, ta cigarette m'Ă©nerve un peuKiss me, as you love me, tu sais la vie n'est pas un jeuDemain, au petit jour, nous resterons pour faire l' collier rouge et bleu sur ses seins nusUn foulard en banniĂšreon voyait un anneau sur ses pieds nusPrĂȘt Ă  faire le tour de la me, as you love me, ne t'en va pas, souris un peuKiss me, as you love me, dis-moi good bye mais pas y avait un drapeau amĂ©ricainSur son sac dĂ©chirĂ©Un blue-jean qui ne valait plus rienMais je crois que je l'aimais bienUn collier rouge et bleu sur ses seins nusUn foulard en banniĂšreon voyait un anneau sur ses pieds nus ... ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le dimanche 31 octobre 2010 1135 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 L'eau viveParoles et musique Guy BĂ©artInterprĂšte Fernand Gignac - 1 -Ma petite est comme l'eauElle est comme l'eau viveElle court comme un ruisseauQue les enfants courez,Vite si vous le pouvezJamais, jamaisVous ne la 2 -Lorsque chantent les pipeauxLorsque danse l'eau viveElle mĂšne mes troupeauxAu pays des venez,Mes chevreaux, mes agneletsDans le laurierLe thym et le serpolet. - 3 -Un jour que sous les roseauxSommeillait mon eau viveVinrent les gars du hameauPour l'emmener fermezVotre cage Ă  double-clĂ©Entre vos doigtsL'eau vive s' 4 -Comme les petits bateauxEmportĂ©s par l'eau viveDans ses yeux les jouvenceauxVoguent Ă  la voguez,Demain vous accosterezL'eau vive n'estPas encore Ă  5 -Pourtant un matin nouveauÀ l'aube mon eau viveViendra battre son trousseauAux cailloux de la pleurez,Si je demeure esseulĂ©Le ruisseletAu large s'en est allĂ©. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le dimanche 31 octobre 2010 1137 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 La caissiĂšre du Grand CafĂ©Paroles Louis BousquetMusique Louis IzoĂŻrdInterprĂšte Fernandel 1932- 1 -V'lĂ  longtemps qu'aprĂšs la soupe du soirDe dessus l'banc oĂč je vais m'asseoirJe vois une femme, une merveilleQu'elle est brune et qu'elle a les yeux noirsEn fait d'femme j'my connais pas des tasMais je m'dis en voyant ses appasSĂ»rement que des beautĂ©s pareillesJe crois bien qu'il y en a est belle, elle est mignonneC'est une bien jolie personneDe dedans la rue on peut la voirQu'elle est assise dans son comptoirElle a toujours le sourireon dirait une femme en cireAvec- son chignon qu'est toujours bien coiffĂ©C'est la caissiĂšre du Grand 2 -EntourĂ©e d'un tas de verres Ă  piedBien tranquille devant son encrierElle est dans la caisse, la caissiĂšreÇa fait qu'on n'en voit que la moitiĂ©Et moi que dĂ©jĂ  je l'aime tantJ'dis Tant mieux qu'on cache le restantCar si je la voyais tout entiĂšreJ'deviendrais fou est belle, elle est mignonneC'est une bien jolie personneEt quand j'ai des sous pour mieux la voirJe rentre prendre un cafĂ© noirTout en faisant fondre mon "suque"Pendant une heure je la reluqueAvec- son chignon qu'est toujours bien coiffĂ©La belle caissiĂšre du Grand 3 -C'est curieux comme les amoureuxon s'comprend rien que avec les yeuxQuand elle me regarde je la regardeÇa fait qu'on se regarde tous les deuxQuand elle rit c'est moi que je sourisQuand j'souris c'est elle qu'elle ritAussi je ne crois pas que ça tardeJe vais voir le est belle, elle est mignonneC'est une bien jolie personnePour lui parler depuis longtemps j'attendsQu'dans son CafĂ© y'ait plus d'clientsAlors c'est de pire en pireon dirait qu'elle les attireAvec- son chignon qu'est toujours bien coiffĂ©La belle caissiĂšre du Grand 4 -N'y t'nant plus, j'ai fait un mot d'Ă©critJ'ai voulu lui donner aujourd'huiMais je suis restĂ© la bouche coiteEt je ne sais pas c'qu'elle a comprisEn m'voyant mon papier dans la mainEll' m'a dit, douc'ment, d'un air malinAu fond du couloir, la porte Ă  droiteTout au fond vous trouv'rez bien."Elle est belle, elle est mignonneC'est une bien jolie personneMais les femmes, ça n'a pas de raisonQuand ça dit oui ça veut dire nonAussi elle veut plus qu'je l'aimeMais moi j'l'aimerai quand mĂȘmeEt j'n'oublierai jamais le chignon bien coiffĂ©D'la belle caissiĂšre du Grand CafĂ©. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le dimanche 31 octobre 2010 1143 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 La romance de ParisInterprĂšte Charles Trenet 1942- 1 -Ils s'aimaient depuis deux jours Ă  peineY'a parfois du bonheur dans la peineMais depuis qu'ils Ă©taient amoureuxLeur destin n'Ă©tait plus malheureuxIls vivaient avec un rĂȘve Ă©trangeEt ce rĂȘve Ă©tait bleu comme les angesLeur amour Ă©tait un vrai printemps, oui!Aussi pur que leurs tendres vingt la romance de ParisAu coin des rues elle fleuritÇa met au coeur des amoureuxUn peu de rĂȘve et de ciel bleuCe doux refrain de nos faubourgsParle si gentiment d'amour[Que tout le monde en est Ă©prisC'est la romance de Paris.] [bis]- 2 -La banlieue Ă©tait leur vrai domaineIls partaient Ă  la fin de la s'maineDans les bois pour cueillir le muguetOu sur un bateau pour naviguerIls buvaient aussi dans les guinguettesLe vin blanc qui fait tourner la tĂȘteEt quand il lui prenait un baiser, oui!Tous les couples en dansant se disaient- 3 - Non chantĂ© iciC'est ici que s'arrĂȘte mon histoireAurez-vous de la peine Ă  me croireSi j'vous dis qu'ils s'aimĂšrent chaque jourQu'ils vieillirent avec leur tendre amourQu'ils fondĂšrent une famille admirableEt qu'ils eurent des enfants adorablesQu'ils mouruent, gentiment, inconnus, oui!En partant comme ils Ă©taint venus. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le dimanche 31 octobre 2010 1147 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 La vie en roseParoles Édith PiafInterprĂšte Édith Piaf Des yeux qui font baisser les miensUn rire qui se perd sur sa boucheVoilĂ  le portrait sans retoucheDe l'homme auquel j' il me prend dans ses brasIl me parle tout basJe vois la vie en roseIl me dit des mots d'amourDes mots de tous les joursEt ça m'fait quelque choseIl est entrĂ© dans mon coeurUne part de bonheurDont je connais la causeC'est lui pour moiMoi pour lui dans la vieIl me l'a dit, l'a jurĂ©Pour la vieEt dĂšs que je l'aperçoisAlors je sens en moiMon coeur qui nuits d'amour Ă  plus finirUn grand bonheur qui prend sa placeDes ennuis, des chagrins s'effacentHeureux, heureux Ă  en il me prend dans ses brasIl me parle tout basJe vois la vie en roseIl me dit des mots d'amourDes mots de tous les joursEt ça m'fait quelque choseIl est entrĂ© dans mon coeurUne part de bonheurDont je connais la causeC'est toi pour moiMoi pour toi dans la vieTu me l'as dit, l'as jurĂ©Pour la vieEt dĂšs que je t'aperçoisAlors je sens en moiMon oeur qui bat. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1045 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 bisou bisou bisou Coucou Sylvie mon ArlĂ©sienneAinsi qu'Ă  la chorale des rossinolsLe jardin extraordinaireParoles et musique Charles Trenet 1957- 1 -C'est un jardin extraordinaireIl y a des canards qui parlent anglaisJ' leur donne du pain, ils remuent leur derriĂšreEn m'disant Thank you very much, Monsieur y voit aussi des statuesQui se tiennent tranquilles tout le jour, dit-on,Mais moi je sais que dĂšs la nuit venueElles s'en vont danser sur le c'est un jardin extraordinaireIl y a des oiseaux qui tiennent un buffetIls vendent du grain, des p'tits morceaux d' gruyĂšreComme clients ils ont Monsieur l'Maire et l' fallait bien trouver, dans cette grande ville maussadeOĂč les touristes s'ennuient au fond de leurs autocarsIl fallait bien trouver un lieu pour la prom'nadeJ'avoue qu'ce sam'di-lĂ  j'suis entrĂ© par hasard...- 2 -Dans, dans, dans ce jardin extraordinaireLoin des noirs buildings et des passages cloutĂ©sY 'avait un bal que donnaient des primevĂšresDans un coin de verdure les petites grenouilles chantaientUne chanson pour saluer la luneDĂšs qu' celle-ci parut, toute rose d'Ă©motionElles entonnĂšrent, je crois, la valse bruneUne vieille chouette me dit Quelle distraction !Maman, dans ce jardin extraordinaireJ' vis soudain passer la plus belle des fillesElle vint prĂšs d' moi, et lĂ  m' dit sans maniĂšresVous m' plaisez beaucoup, j'aime les hommes dont les yeux fallait bien trouver dans cette grande ville perverseUne gentille amourette, un petit flirt de vingt ansQui me fasse oublier qu' l'amour est un commerceDans les bars de la citĂ© oui mais.. oui mais pas dans...- 3 -Dans, dans, dans mon jardin extraordinaireUn ange du bizarre, un agent nous ditÉtendez-vous sur la verte bruyĂšreJ' vous jouerai du luth pendant qu' vous s'rez rĂ©unisCet agent Ă©tait un grand poĂšteMais nous prĂ©fĂ©rions, ArthĂ©mise et moiLa douceur d'une couchette secrĂšteQu'elle me fit dĂ©couvrir au fond du boisPour ceux qui veulent savoir oĂč c' jardin se trouveIl est, vous l' voyez, au coeur de ma chansonJ'y vole parfois quand un chagrin m'Ă©prouveIl suffit pour ça d'un peu d'imagination. bis Bal de nuit, les oiseaux, les fleurs Ă©merveillĂ©es ArthĂ©mise, ĂŽ douceur, extase de l'amour Je vous retrouverai ce soir Ă  la veillĂ©e Belle et pareille au premier jour Et je vous aimerai sous la clartĂ© lunaire Du jardin extraordinaire...Il suffit pour ça d'un peu d'imagination ! ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1050 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Le petit chevalParoles Paul FortMusique Georges BrassensInterprĂšte Georges Brassens 1952- 1 -Le p'tit ch'val dans le mauvais tempsQu'il avait donc du courageC'Ă©tait un petit cheval blancTous derriĂšre, tous derriĂšreC'Ă©tait un petit cheval blancTous derriĂšre et lui 2 -Il n'y avait jamais de beau tempsDans ce pauvre paysageIl n'y avait jamais de printempsNi derriĂšre, ni derriĂšreIl n'y avait jamais de printempsNi derriĂšre ni 3 -Mais toujours il Ă©tait contentMenant les gars du villageÀ travers la pluie noire des champsTous derriĂšre, tous derriĂšreÀ travers la pluie noire des champsTous derriĂšre et lui devant. - 4 -Sa voiture allait poursuivantSa belle petite queue sauvageC'est alors qu'il Ă©tait contentTous derriĂšre, tous derriĂšreC'est alors qu'il Ă©tait contentTous derriĂšre et lui 5 -Mais un jour dans le mauvais tempsUn jour qu'il Ă©tait si sageIl est mort par un Ă©clair blancTous derriĂšre, tous derriĂšreIl est mort par un Ă©clair blancTous derriĂšre et lui 6 -Il est mort sans voir le beau tempsQu'il avait donc du courageIl est mort sans voir le printempsNi derriĂšre, ni derriĂšreIl est mort sans voir le beau tempsNi derriĂšre ni devant. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1052 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Le petit vin blancParoles Jean DrĂ©jacMusique DrĂ©jac - Ch. Borel-ClercInterpĂšte Fernand Gignac RefrainAh! le petit vin blancQu'on boit sous les tonnellesQuand les filles sont bellesDu cĂŽtĂ© de NogentEt puis de temps en tempsUn air de vieille romanceSemble donner la cadencePour fauter, pour fauter,Dans les bois, dans les prĂ©s,Du cĂŽtĂ©, du cĂŽtĂ© de 1 -Voici le printempsLa douceur du tempsNous fait des avancesPartez mes enfantsVous avez vingt ansPartez en vacancesVous verrez, agiles,Sur l'onde tranquilleLes barques docilesAu bras des amantsDe fraĂźches guinguettesDes filles bien faitesLes frites sont prĂȘtesEt y'a du vin le petit vin blancQu'on boit sous les tonnellesQuand les filles sont bellesDu cĂŽtĂ© de NogentEt puis de temps en tempsUn air de vieille romanceSemble donner la cadencePour fauter, pour fauter,Dans les bois, dans les prĂ©s,Du cĂŽtĂ©, du cĂŽtĂ© de Nogent. - 2 -Suivons le conseilMonsieur le SoleilConnaĂźt son affaireCueillons en cheminCe minois mutinCette robe claireVenez, belle fille,Soyez bien gentilleLĂ , sous la charmilleL'amour nous attendLes tables sont prĂȘtesL'aubergiste honnĂȘteY'a des chansonnettesEt y'a du vin le petit vin blancQu'on boit sous les tonnellesQuand les filles sont bellesDu cĂŽtĂ© de NogentEt puis de temps en tempsUn air de vieille romanceSemble donner la cadencePour fauter, pour fauter,Dans les bois, dans les prĂ©s,Du cĂŽtĂ©, du cĂŽtĂ© de le dernier refrainCar c'est toujours pareilTant qu'y aura du soleilon verra les amants au printempsS'en aller pour fauterDans les bois, dans les prĂ©s,Du cĂŽtĂ©, du cĂŽtĂ© de Nogent. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1054 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Les beaux dimanches de printempsParoles Jean LaurentMusique Gaston Gabaroche 1934InterprĂšte RĂ©da Caire- 1 - Non chantĂ© iciComme je t'aimais, comme on s'aimaitJ'Ă©tais alors encore enfantEt dans la vie gaiement j'allaisLe coeur lĂ©ger comme le printempsLes fleurs des champs et les prĂ©s vertsDont le parfum vous ennivraitÉtaient pour moi tout l'universComme je t'aimais, comme on s'aimait !RefrainLes beaux dimanches de printempsQuand on allait Ă  RobinsonDanser sous les lampions tremblantsOu s'allonger sur le gazonComme des oiseaux dans les buissonson s'embrassait Ă  chaque instantQuand on allait Ă  RobinsonLes beaux dimanches de 2 -Comme je t'aimais, comme on s'aimait !Et puis le soir je me souviensSous les guinguettes, comme on chantaitLe coeur bercĂ© de doux refrainsJ'Ă©tais grisĂ© de mon bonheurGrisĂ© d'air pur et l'on rentraitLes bras chargĂ©s de jolies fleursComme je t'aimais, comme on s'aimait !RefrainLes beaux dimanches de printempsQuand on allait Ă  RobinsonDanser sous les lampions tremblantsOu s'allonger sur le gazonComme des oiseaux dans les buissonson s'bĂ©cotait Ă  chaque instantQuand on allait Ă  RobinsonLes beaux dimanches de 3 -Comme je t'aimais, comme on s'aimait !Mais ce beau temps est bien passĂ©Sans un baiser, d'un air distrait,Tu m' dis adieu, toujours pressĂ©eAlors je vis du souvenirDes soirs d'Ă©tĂ© oĂč l'on faisaitDes rĂȘves fous pour l'avenirComme je t'aimais, comme on s'aimait !RefrainLes beaux dimanches de printempsQuand on allait Ă  RobinsonComme il est loin ce joli tempsOĂč je chantais comme un pinsonJ'ignorais toutes les trahisonsLa jalousie, la voix qui mentQuand on allait Ă  RobinsonLes beaux dimanches de printemps. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1058 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 MarjolaineFrancis Lemarque - Rudi Revil 1957InterprĂšte Dalida - 1 -Dans une rue pleine de brouillardUn inconnu sur sa guitareChantait, chantait une chansonQue rĂ©pĂ©taient deux autres toi si jolieMarjolaine, le printemps fleuritMarjolaine, j'Ă©tais soldatMais aujourd'huiJe reviens prĂšs de 2 -Elle avait dit Je t'attendraiIl avait dit Je reviendrai.. l' Ă©tait parti encore enfant.. l' est revenu un homme toi si jolieMarjolaine, je n'ai pas mentiMarjolaine, j'Ă©tais soldatMais aujourd'huiJe reviens prĂšs de 3 -.. l' Ă©tait parti pour dix annĂ©esMais dix annĂ©es ont tout changĂ©Rien n'est pareil et dans les ruesÀ part le ciel, il n'a rien toi si jolieMarjolaine, le printemps s'enfuitMarjolaine, je sais trop bienQu'amour perduPlus jamais ne 4 -Un inconnu et sa guitareOnt disparu dans le brouillardEt avec lui ses compagnonsSont repartis, emportant leur toi si jolieMarjolaine, le printemps fleuritMarjolaine, j'Ă©tais soldatMais aujourd'huiJe reviens prĂšs de !Marjolaine !Marjolaine ! ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1100 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Nini Peau d'chienParoles et musique Aristide BruantInterprĂšte Aristide Bruant 1912RefrainÀ la Bastille on aime bienNini Peau d'chienElle est si bonne et si gentille!on aime bienNini Peau d'chienÀ la 1 -Quand elle Ă©tait p'titeLe soir elle allaitÀ Sainte-MargueriteOĂč qu'a s'dessalaitMaint'nant qu'elle est grandeElle marche, le soir,Avec ceux d'la bandeDu Richard-Lenoir- 2 -Elle a la peau douceAux taches de sonÀ l'odeur de rousseQui donne un frissonEt de sa prunelleAux tons vert-de-grisL'amour Ă©tincelleDans ses yeux d'souris. - 3 -Quand le soleil brilleDans ses cheveux rouxL'gĂ©nie d'la BastilleLui fait les yeux douxEt quand a s'promĂšneDu bout d'l'ArsenalTout l'quartier s'amĂšneAu coin du 4 -Mais celui qu'elle aimeQu'elle a dans la peauC'est Bibi-la-CrĂšmeParc' qu'il est costaudParc' que c'est un hommeQui n'a pas l'foie blancAussi faut voir commeNini l'a dans l'sang. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1102 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 on n'a pas tous les jours vingt ansFernand Pothier - LĂ©on RaiterInterprĂšte Lionel Parent 1941 - 1 -L'atelier d'couture est en fĂȘteon oublie l'ouvrage un instantCar c'est aujourd'hui qu'MarinetteVient juste d'avoir ses vingt ansTrottins, petites mains et premiĂšresOnt toutes apportĂ© des gĂąteauxEt Marinette offrant l'portoDit, joyeuse, en levant son verreRefrainon n'a pas tous les jours vingt ansÇa nous arrive une fois seulementCe jour-lĂ  passe hĂ©las trop viteC'est pourquoi faut qu'on en profiteSi l'patron nous fait des gros yeuxon dira faut bien rire un peuQuand ici vous n'ĂȘtes pas contenton n'a pas tous les jours vingt 2 -Tous les amoureux d'ces d'moisellesSont venus le soir Ă  leur tourEt l'on entend sous les tonnellesChanter quelques duos d'amourPassant par lĂ , prĂȘtant l'oreille,Un bon vieux s'arrĂȘte en cheminÀ sa femme en prenant sa mainLui dit Souviens-toi ma bonne n'a pas tous les jours vingt ansÇa nous arrive une fois seulementEt quand vient l'heure de la vieillesseon apprĂ©cie mieux la jeunesseDe ce beau temps si vite passĂ©on ne profite jamais assezEt plus tard on dit tristementon n'a pas tous les jours vingt ans. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1104 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Papa n'a pas vouluNohain - MireilleInterprĂšte Mireille 1932- 1 -À l'Ă©cole quand j'Ă©tais p'titJ'Ă©tais constamment puniUn beau jour je me suis ditÇa n'va plus ainsiIl faut que ça finisseJ'Ă©pouse l'institutriceEt quand on s'ra mariĂ©sJe serai toujours le n'a pas vouluEt maman non plusMon idĂ©e leur a dĂ©pluTant pis, n'en parlons plusLes enfants obĂ©issantsFont tout c'que disent leurs parentsPapa n'a pas vouluEt maman non 2 -J'adorais les animauxLes chiens, les chats, les chameauxLes poissons rouges, les taureauxLes poules et les veauxUn jour, dans une loterieJe gagne une otarieJ'l'emmĂšne Ă  la maisonEt je l'installe dans le 3 -J'mangeais quand j'Ă©tais gaminTout c'qui m'tombait sous la mainJ'suçais les rideaux d'satinEt les traversinsUn jour ma tante EstelleM'donne une boĂźte d'aquarellesElles Ă©taient sans dangerAlors j'ai voulu les manger. - 4 -J'aimais beaucoup le violonLe trombone et le pistonLa flĂ»te et l'accordĂ©onL'piano et l'bassonUn jour, le marchand passeJ'achĂšte un cor de chasseDĂšs la premiĂšre leçonToute la famille a dit Non!- 5 - Non chantĂ© iciJ'voulais ĂȘtre chirurgienEt voilĂ  qu'mon frĂšre BastienUn jour ne se sent pas bienon cherche un mĂ©decinIl fallait qu'on l'opĂšreJ'ai dit Laissez-moi fairePour m'exercer un brinJ'vais lui ouvrir les intestins...- 6 -Ma soeur m'avait fait cadeauD'une jolie paire de ciseauxJ'coupais les franges des rideauxEn tout p'tits morceauxJe taillais les tenturesLes draps, les couverturesEt j'voulais mĂȘme couperL'eau, le gaz, l'Ă©lectricitĂ©...- 7 - Non chantĂ© iciQuand j'dus choisir un mĂ©tieron m'a dit sois charcutierChaudronnier ou charpentierPompier ou portierJ'ai dit Laissez-moi faireLe mĂ©tier que j'prĂ©fĂšreJe vais me prĂ©senterTout simplement comme dĂ©putĂ©... ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1107 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Paris sera toujours ParisParoles A. WillemetzMusique 1939InterprĂšte Maurice Chevalier- 1 -Par prĂ©caution on a beau mettreDes croisillons Ă  nos fenĂȘtresPasser au bleu nos devanturesEt jusqu'aux pneus de nos voituresDĂ©sentoiler tous nos musĂ©esChambouler les Champs ElysĂ©esEmmailloter de terre battueToutes les beautĂ©s de nos statuesVoiler le soir les rĂ©verbĂšresPlonger dans l'noir la ville lumiĂšreRefrainParis sera toujours ParisLa plus belle ville du mondeMalgrĂ© l'obscuritĂ© profondeSon Ă©clat ne peut ĂȘtre assombriParis sera toujours ParisPlus on rĂ©duit son Ă©clairagePlus on voit briller son courageSa bonne humeur et son espritParis sera toujours Paris. - 2 -Pour qu'Ă  ce bruit chacun s'entraĂźneon peut la nuit jouer d'la sirĂšneNous contraindre Ă  faire le zouaveEn pyjama dans notre caveon aura beau par des ukasesNous couper l'veau et mĂȘme le jazzNous imposer le masque Ă  gazLes mots croisĂ©s Ă  quatre casesNous obliger dans nos demeuresÀ nous coucher tous Ă  ... onze 2 Version non chantĂ©e iciParis sera toujours ParisLa plus belle ville du mondeEt quand les restrictions abondentGentiment il en prend son partiParis sera toujours Parison a beau rĂ©duire son essenceon n'rĂ©duira pas sa confianceSa bonne humeur et son espritParis sera toujours 3 -Bien que ma foi, depuis octobreLes robes soient beaucoup plus sobresQu'il y ait moins d'fleurs et moins d'aigrettesQue les couleurs soient plus discrĂštesBien qu'aux galas on Ă©limineLes chinchillas et les herminesQue les bijoux pleins de dĂ©cenceBrillent surtout par leur absenceQue la beautĂ© soit moins voyanteMoins effrontĂ©e moins 3Paris sera toujours ParisLa plus belle ville du mondeMĂȘme quand au loin le canon grondeSa tenue est encore plus jolieParis sera toujours Parison peut limiter ses dĂ©pensesSa distinction son Ă©lĂ©ganceN'en ont alors que plus de prixParis sera toujours Paris. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1109 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Parlez-moi d'amourParoles Jean Lenoir 1930InterprĂšte Lucienne Boyer RefrainParlez-moi d'amourRedites-moi des choses tendresVotre beau discoursMon coeur n'est pas las de l'entendrePourvu que toujoursVous rĂ©pĂ©tiez ces mots suprĂȘmesJe vous 1 -Vous savez bienQue dans le fond je n'en crois rienMais cependant je veux encoreÉcouter ces mots que j'adoreVotre voix aux sons caressantsQui les murmure en frĂ©missantMe berce de sa belle histoireEt malgrĂ© moi je veux y d'amourRedites-moi des choses tendresVotre beau discoursMon coeur n'est pas las de l'entendrePourvu que toujoursVous rĂ©pĂ©tiez ces mots suprĂȘmesJe vous 2 -Il est si douxMon cher trĂ©sor, d'ĂȘtre un peu fouLa vie est parfois trop amĂšreSi l'on ne croit pas aux chimĂšresLe chagrin est vite apaisĂ©Et se console d'un baiserDu coeur on guĂ©rit la blessurePar un serment qui le d'amourRedites-moi des choses tendresVotre beau discoursMon coeur n'est pas las de l'entendrePourvu que toujoursVous rĂ©pĂ©tiez ces mots suprĂȘmesJe vous aime. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1111 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 PigalleParoles Ulmer - Koger - LuypaertsInterprĂšte Georges Ulmer 1946 - 1 - Non chantĂ© iciC'est une rue, c'est une placeC'est mĂȘme tout un quartieron en parle, on y passeon y vient du monde entierPerchĂ©e au flanc de PanameDe loin elle vous souritCar elle reflĂ© toute l'ĂąmeLa douceur et l'esprit de p'tit jet d'eau, une station de mĂ©troEntourĂ©e de bistrots, PigalleGrands magasins, ateliers de rapinsRestaurants pour rupins, c'est l'chanteur des carrefoursQui fredonne les succĂšs du jourIci l'athlĂšte en maillotQui soulĂšve les poids d'cent meublĂ©s discrĂšt'ment Ă©clairĂ©sOĂč l'on n'fait que passer, PigalleEt vers minuit un refrain qui s'enfuitD'une boĂźte de nuit, 2 -L'on y croise des visagesCommuns ou sensationnelsL'on y parle des langagesConnus Ă  la tour de BabelEt quand vient le crĂ©pusculeC'est le grand marchĂ© d'amourC'est le coin oĂč dĂ©ambulentCeux qui prennent la nuit pour le et mannequins, gitanes aux yeux malinsQui lisent dans les mains, PigalleClochards, camelots, tenanciers de tripotsTrafiquants de coco, femmes qui vous sourientEn vous disant Tu viens chĂ©riEt Prosper qui dans un coinDiscrĂšt'ment surveille son p'tit jet d'eau, une station de mĂ©troEntourĂ©e de bistrots, PigalleEt vers minuit un refrain qui s'enfuitD'une boĂźte de nuit, Pigalle.MusiqueUn p'tit jet d'eau, une station de mĂ©troEntourĂ©e de bistrots, PigalleÇa vit, ça gueule, les gens diront c'qu'ils veulentMais au monde y'a qu'un seul Pigalle. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1117 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Quand les hommes vivront d'amourParoles et musique Raymond LĂ©vesqueInterprĂšteRaymond LĂ©vesque- 1 -Quand les hommes vivront d'amourIl n'y aura plus de misĂšreEt commenceront les beaux joursMais nous, nous serons morts mon les hommes vivront d'amourCe sera la paix sur la terreLes soldats seront troubadoursMais nous, nous serons morts mon la grande chaĂźne de la vieOĂč il fallait que nous passionsOĂč il fallait que nous soyonsNous aurons eu la mauvaise les hommes vivront d'amourIl n'y aura plus de misĂšreEt commenceront les beaux joursMais nous, nous serons morts mon quand les hommes vivront d'amourQu'il n'y aura plus de misĂšrePeut-ĂȘtre songeront-ils un jourÀ nous qui serons morts mon qui aurons aux mauvais joursDans la haine et puis dans la guerreCherchĂ© la paix cherchĂ© l'amourQu'ils connaĂźtront alors mon la grande chaĂźne de la viePour qu'il y ait un meilleur tempsIl faut toujours quelques perdantsDe la sagesse ici bas c'est le les hommes vivront d'amourIl n'y aura plus de misĂšreEt commenceront les beaux joursMais nous, nous serons morts mon frĂšre. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1119 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Que sera seraParoles Eddie Marnay-R. EvansMusique J. Livingston 1956InterprĂšte Luis Mariano- 1 -Dans le berceau d'un vieux chĂąteauUne promesse vient d'arriverUne princesse tout Ă©tonnĂ©eÀ qui l'on vient chanter...RefrainQue sera seraDemain n'est jamais bien loinLaissons l'avenir venirQue sera seraQui vivra 2 -on vit grandir et puis rĂȘverLa jeune fille qui demandaitDis-moi ma mie si j'aimeraiEt sa maman disait...- 3 -Quant vint l'amant de ses amoursLa demoiselle lui demandaM'es-tu fidĂšle jusqu'Ă  toujoursEt le garçon chanta...- 4 -Quand elle chante Ă  son enfantDans un sourire cet air charmantC'est pour lui dire que dans la vieRien n'est jamais refrainQue sera seraDemain n'est jamais bien loinLaissons l'avenir venirQue sera seraQui vivra sera sera ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1122 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 Qui sait, qui sait, qui 1950InterprĂšte Luis Mariano - 1 -Tu jures que tu m'aimesBien plus que moi je t'aimePourtant je dis quand mĂȘmeQui sait, qui sait, qui 2 -Tu dis que sur la terreC'est moi que tu prĂ©fĂšresQue nul ne peut te plaireQui sait, qui sait, qui soir dans une danseUne autre s'avanceDĂ©jĂ  son coeur frivoleDans sa robe tourne et 3 -Et ces baisers qu'il n'oseVoler sur ta joue roseTu dis c'est peu de chosesQui sait, qui sait, qui sait. - 4 -Tu dis que dans la danseLes tendres confidencesN'ont guĂšre d'importanceQui sait, qui sait, qui 5 -La preuve est qu'au passageIl frĂŽle ton corsageLequel est le moins sageQui sait, qui sait, qui peu que l'amouretteTe tourne la tĂȘteVas-tu m'ĂȘtre infidĂšlePour une telle 6 -Mais si jamais tu osesMoi-mĂȘme je supposeFerais la mĂȘme choseQui sait, qui sait, qui 7 -Et ces baisers qu'il n'oseVoler sur ta joue roseTu dis c'est peu de chosesQui sait, qui sait, qui sait. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut Chants et photos de nos rĂ©gions EnvoyĂ© le jeudi 4 novembre 2010 1124 Inscrit le 20/02/2007Messages 4 771 RamuntchoParoles et Musique Jean RodorMusique Vincent ScottoInterprĂšte AndrĂ© Dassary 1944- 1 -Dans sa cabane couronnĂ©ePar le Massif des PyrĂ©nĂ©esComme un aigle tout lĂ -hautHabite RamuntchoPortant fusil en bandouliĂšreIl va partout, l'allure fiĂšre,Guettant dans ses traquenardsLe sauvage isardIl partage tous ses joursEntre la chasse et l' le roi de la montagneRamuntchoQuand il appelle sa compagneIl crie Ma gachucha... je t'aime!L'Ă©cho rĂ©pond... Aime!Mais je suis prĂšs de toi quand mĂȘmeL'Ă©cho rĂ©pond... Aime!Tra la la ...Et sa chansonS'envole au loin comme un frissonDans la vallĂ©e il fait la loiDe la montagne il est le roi. - 2 -Des pics qui dominent l'EspagneDe Roncevaux Ă  la campagneIl connaĂźt tous les sentiersLes grottes, les terriersEt libre comme les nuagesSous l'avalanche ou dans l'orageLes sangliers comme les loupsTombent sous ses coupsMais les filles du paysN'ont de regards que pour 2RamuntchoC'est le roi de la il appelle sa compagneIl crie Ma gachucha... je t'aime!L'Ă©cho rĂ©pond... Aime!Mais je suis prĂšs de toi quand mĂȘmeL'Ă©cho rĂ©pond... Aime!Tra la la ...Et jusqu'au jourRamuntcho clame son amourDans la vallĂ©e, il fait la loiDe la montagne, il est le roi. ArdĂ©choise coeur fidĂšle patronymes07 Chassouant/Burine/ThĂ©ron/Bard/Bouix/Monteil/Avenat/Chambon/Coin/Vinas/Lombard GPP Protestants07 Rialle/Mazabrard/Laurens/Bollon GMP Protestants07 DĂ©lĂ©age/Crespin/Pommarat/Chareyron/Vernusson/Chambon/Revire/Colomb/Armand/Vinviolet GMM Catholiques48 Martin/Salenson/Galtier/Alla/Rozier/Bastide/Courtant/Couderc/Blanc GPM Catholiques Retour en haut
Voilàpourquoi quoi quoi quoi quoi Quand l'chien aboie boie boie boie boie Tout le monde se dit avec joie Tiens! voilà facteur A cheval sur son vélo A cÎté quand ça monte trop Tiens! Voilà
Bourvil, de son vrai nom AndrĂ© Raimbourg, dĂ©bute sa carriĂšre artistique en 1945, avec le succĂšs de son titre, Les crayons ». C’est alors le commencement pour lui d’une trĂšs belle carriĂšre cinĂ©matographique en parallĂšle. Parmi plus de 300 chansons d’opĂ©rette et de music-hall, on retiendra quelques titres phares, tels que La Rumba du pinceau » en 47, suivit la mĂȘme annĂ©e du trĂšs cĂ©lĂšbre A Bicyclette », Salade de fruit » en 1959, C\'Ă©tait Bien » en 1961, et enfin en 1970, Pauvre Lola » que lui avait composĂ© Serge Gainsbourg ! VĂ©ritable figure emblĂ©matique du cinĂ©ma et de la chanson française, Bourvil s’est Ă©teint Ă  Paris au jeune Ăąge de 53 ans, le 23 septembre 1970.
A7boie boie boie boie. Tout Bm6 le monde se dit Em7 avec joie. E (sus4) Tiens! voi A7 lĂ  l'facteur. Son p'tit air est affra A nchi. Comme ses lettres et ses co A (sus4) lis. Tiens! Em voilĂ  l'facteur. Il apporte le jour A nal. Et son bonjour mati Dmaj7 nal.
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ï»żIlsl'ont soumise Ă  la concurrence. Ils ont ouvert son capital. Ils ont augmentĂ© ce capital, avec l'entrĂ©e en son sein de la Cour des comptes. Ils ont fermĂ©, ou voulu fermer, ses bureaux non "rentables". Mais non bien sĂ»r, voyons, c'est promis, ils ne privatiseront pas la Poste. Ils l'ont soumise Ă  la concurrence. Ils ont ouvert son capital. Ils ont augmentĂ© ce capital, avec l'entrĂ©e
1Je Suis Chansonnier 2Pas d'chance 3À bicyclette 4La Parisienne 5La tactique du gendarme 6On est poĂšte 7A Joinville-Le-Pont 8Ma Place 9C'est l'piston 10Caroline Caroline 11Le 'Bougie' 12Musique! Musique! 13Le boogie yogi 14AbonnĂ© au gaz 15La mandoline 16Les Rois Faineants 17La rumba du pinceau 18Chanson anglaise 19M'sieur Nanar 20Vive la chasse 21Bonne annĂ©e 22Qui donc eut dĂ» ? 23Mon chien 24C'est pas si mal que ça chez nous 25Je suis content ça marche 26Bling Bling 27Ballade irlandaise 28Les crayons 29Le garçon d'ascenseur 30Fredo le Porteur 31Mam'zelle Bigoudi 32Le Figurant 33Le charcutier 34La brave fille des abattoirs 35Avec ses castagnettes 36Il a suffi d'un hasard 37Odile 38Les Jaloux 39C'est la fille Ă  tout le monde 40Menteries 41La mĂŽme rustine 42La Laide 43Candide 44Madagascar 45Mon vieux phono 46Les tĂ©rrassiers 47En revenant de la revue 48Monsieur Balzac 49Alumett Polka 50Ne reviens pas sur ton passĂ© 51Pstt ! 52Prends Mon Bouquet 53Nous n'irons pas Ă  Calcutta 54Alors qu'est ce qu'on fait ? 55Houpetta la bella 56Salade De Fruits 57Timichine La Pou Pou 58Pin Up 59Le Croque Madame 60Le Hoquet 61Idylle 62Pour sĂ»r ! 63Dimanche 64Elle Faisait Du Strip-tease 65Comme t’étais 66Et Ta Soeur 67Ma Lulu ou ah ! Pourquoi donc ? 68Ah! C'que t'es bĂȘte 69T'epier 70Quand mĂȘme 71Tu ne m'as pas re
 72C'est du nanan 73Graffouigne-moi 74Le BaĂŻon de Cupidon 75On A Vecu Pour Ca 76Les enfants Fan Fan 77En nourrice 78La belle abeille 79SĂ©bastien le pingouin 80Le petit coq 81Le petit sapin 82Le Vieux Tromblon 83Une jolie trompette 84Jonas et la baleine 85Le papeau des pompiers 86À Dada 87AdĂšle 88La Polka Du Colonel 89Niaca 90Les pruneaux 91Le lait de lolo 92Le chemin des Ă©coliers 93Tiens voilĂ  le facteur 94Nana 95Le poisson rouge 96A pied Ă  cheval et en voiture 97Par ici les ballots 98Berceuse Ă  FrĂ©dĂ©ric 99La dondon dodue 100PĂšre nourricier
Bourvil- Tiens, vla le facteur - Paroles (Lyrics)Achetez 'Tiens, vla le facteur' et ses plus belles chansons à seulement 4.99€ : Vous
Sur la scĂšne d’Odyssud oĂč Édouard Baer prĂ©sente ce mois-ci sa derniĂšre piĂšce, les Toulousains familiers des nuits de Victor-Hugo, du gras de Noir de Bigorre et du son de la guitare sĂšche, reconnaitront la silhouette de Tito. Guitariste d’élite, maĂźtre coupeur de jambon, grand viveur, saltimbanque Ă  la joie communicative, quelque part entre le marlou d’Audiard et la crĂ©ature fellinienne, cet Aquitain a traversĂ© bien des dĂ©serts avant de vivre, Ă  la radio, au théùtre et au cinĂ©ma, une vie rĂȘvĂ©e d’amuseur et de je te dis tout, je pars en prison et ton magazine sera retirĂ© des kiosques ! » Tito s’esclaffe en remuant sur place avec son air canaille, Ă  la fois inaltĂ©rĂ© et toujours surprenant. Presque vingt ans pourtant qu’on connaĂźt l’animal, dans le genre fĂ©lin ondoyant, regard aux aguets, voix mĂ©lodieuse au bord du rire. On se souvient de lui la premiĂšre fois en 2002 ou 2003, derriĂšre le comptoir du J’Go, l’établissement de la place Victor-Hugo il coupait, avec une inlassable patience mĂ©thodique, des lamelles de Noir de Bigorre, puis Ă  la fin du service, troquant le jambon et le couteau pour la guitare, il avait diverti les derniers clients jusqu’à l’aube dans un mĂ©lange, qui depuis a fait sa lĂ©gende, de chansons Ă  boire et de mĂ©lodies Ă  pleurer. Cette nuit qui en a appelĂ© beaucoup d’autres en sa compagnie, on se rappelle l’avoir trouvĂ© spirituel, racĂ©, flamboyant, une gueule de Cheyenne et des maniĂšres dĂ©licates ; aujourd’hui Ă  55 ans, frais grand-pĂšre, il n’a pas beaucoup changĂ©. Il revient ce mois-ci Odyssud du 19 au 21 novembre, oĂč il accompagne sur scĂšne Édouard Baer dans son spectacle Les Ă©lucubrations d’un homme soudain frappĂ© par la grĂące. Un titre Ă  rallonge comique, trĂšs baeresque, mi-De Broca mi-dada, qui conviendrait Ă©galement trĂšs bien pour prĂ©senter la vie de notre sujet. En guise d’amorce Ă©difiante, le jour de notre rendez-vous, il se pointe vĂȘtu d’une improbable chemise Ă  motifs floraux taillĂ©e sur mesure en Chine et siglĂ©e El Tito sur la bande du col Je t’ai pas racontĂ© ? Ma photo avec François Hollande trĂŽne dans le plus grand souk de Shanghai
 ». Sans attendre, il en retrousse les manches pour dĂ©couvrir ses avant-bras couverts de tatouages Ă  l’encre turquoise estompĂ©e dans le dĂ©tail un poignard de la vengeance, une tombe, un parchemin, une tĂȘte de diable, le A cerclĂ© de ceux qui ne frĂ©quentent ni les isoloirs ni les Ă©glises, et un trĂšs distinct encore Mort aux Vaches. VoilĂ  saisi, en quelques touches rapides, le baroquisme du personnage chemise sur mesure et tags sur la peau ; la Chine et l’anarchie ; les goĂ»ts d’aristo et les habitudes de mauvais garçon, Ă  moins que ce ne soit l’inverse. Celui qu’on appelle Tito est nĂ© sous un autre nom au Bouscat, dans la banlieue bordelaise. Pourquoi Tito, au fait ? Gamin, j’étais maigre comme un moineau et je sifflais tout le temps. Titi, Tito, le surnom est venu. Maintenant tout le monde m’appelle comme ça, Ă  part les gens de l’administration et les flics quand ils m’arrĂȘtent. » On sent que ça le ravit, cette distinction Ă  la sonoritĂ© enfantine. On suggĂšre, comme chez beaucoup d’artistes, le dĂ©sir, mĂȘme inconscient, de s’inventer, de s’arracher de la sorte aux clous identitaires ; il fait la moue, rĂ©torque qu’il n’a pas choisi mais acceptĂ© ce surnom ; une maniĂšre bien commode cependant, nous glissera-t-il plus tard, de tenir Ă  distance les fantĂŽmes du passĂ© ». Car oui, comme il en va proverbialement des amuseurs, sous l’apparente fantaisie dĂ©bonnaire, les fantĂŽmes chez lui aussi sont lĂ , certains bien agitĂ©s et douloureux encore, que la pudeur s’emploie Ă  chasser. © SĂ©bastien VaissiĂšre Doinel en santiags Tito a grandi dans une CitĂ© HLM Ă  MĂ©rignac, un de ces grands ensembles Ă  la grisaille bĂ©tonneuse qui ont fleuri en pĂ©riphĂ©rie des villes dans la France de l’aprĂšs-guerre. Il y a vĂ©cu son enfance et une partie de sa jeunesse, avec son pĂšre RenĂ©, sa mĂšre Christiane, et ses deux grandes sƓurs Catherine et Christine, Ă  cinq dans un appartement oĂč Tito le dernier-nĂ©, n’ayant pas de chambre, dort dans la salle Ă  manger avec le chat. Maman, native du Bassin, travaille Ă  l’usine Mod’s 8, le fabricant de chaussures. Papa, aux origines diverses italo-autrichienne par la mĂšre, suisse-allemande par le pĂšre, est pupille de la nation ; placĂ© dans un orphelinat, illettrĂ©, il travaille aux champs, puis devient maçon, puis fonctionnaire aux PTT. Tito ne s’étend pas, mais entre les lignes on devine l’ñpretĂ© de la vie ouvriĂšre, sa pesante fatigue, ses invariables dĂ©bordements Ă  la Zola, la façon dont sur la durĂ©e elle esquinte les corps autant que les esprits ; enfant, Ă  la maison comme ailleurs dans la CitĂ©, Tito en fut un tĂ©moin inquiet. Par-delĂ  l’environnement, les conditions de vie, le sentiment de relĂ©gation, une Ă©nergie se dĂ©ploie, un tempĂ©rament, trĂšs tĂŽt, s’affirme. Avec les copains, on jouait tout le temps au foot. Je me revoie aussi en train de monter aux arbres, de crier comme Tarzan, de jouer aux Indiens avec un arc ou une fronde. » Sa sƓur Catherine se souvient C’était un enfant trĂšs drĂŽle, trĂšs libre, toujours prĂȘt Ă  faire les 400 coups. Il Ă©tait notre petit frĂšre, alors nous l’avons pas mal taquinĂ© avec ma sƓur. DĂšs qu’on nous laissait seuls dans l’appartement, on en profitait pour le dĂ©guiser, il finissait souvent avec les chaussures et les foulards de maman. » Le dĂ©guisement, tiens donc, si important ensuite dans la panoplie de l’artiste de music-hall, capable de monter sur scĂšne en habit de panthĂšre ou de passer deux mois Ă  confectionner une cape avec 2 100 coquilles d’escargots et une longue traĂźne de bave !. À l’école, Tarzan s’ennuie. Il fait le pitre, ne pense qu’aux filles. Ah Rosita, l’Espagnole, on Ă©tait tous amoureux d’elle. Qu’est-ce qu’elle sentait bon ! » De la sixiĂšme Ă  la quatriĂšme il suit des cours amĂ©nagĂ©s, puis s’oriente vers un CAP en mĂ©canique gĂ©nĂ©rale. Je pensais faire de la mĂ©canique en gĂ©nĂ©ral, alors que ça voulait dire devenir tourneur-fraiseur-ajusteur. » Au rassemblement des cancres et des caĂŻds, il tient son rang. C’est l’époque des larcins, de la glande souveraine, des vadrouilles sans but. Je me fais virer la derniĂšre annĂ©e du CAP aprĂšs avoir saccagĂ© une salle de classe avec des copains. Tous les matins je fais croire Ă  mon pĂšre que je vais encore Ă  l’école. Je mens trĂšs bien et ma mĂšre, comme d’habitude, me protĂšge. » Dans ces annĂ©es, en contrepoint lumineux de la CitĂ©, il y a les plages et le port du Taussat dans le Bassin d’Arcachon, et cette cabane secondaire » comme dit joliment Tito, dans les bois prĂšs du rivage, sans eau ni Ă©lectricitĂ©, oĂč se retrouve chaque Ă©tĂ© la famille. LĂ -bas, les journĂ©es s’étirent, il ramasse les coquillages, il pĂȘche l’anguille avec son pĂšre. J’ai toujours voulu ĂȘtre pĂȘcheur », dit-il aujourd’hui encore, aprĂšs avoir transmis le virus Ă  son fils. L’étĂ© de ses 14 ans, on lui confie la gĂ©rance du manĂšge appartenant Ă  la branche foraine de la famille, du cĂŽtĂ© de sa mĂšre ; avec l’argent gagnĂ©, il s’achĂšte sa premiĂšre mobylette, une MotobĂ©cane 51 Super. Nous sommes Ă  la fin des annĂ©es 70, Tito porte blouson noir, jean dĂ©chirĂ© et santiags, un mĂ©lange de Renaud et du Doinel de Truffaut un peu zonard, gouailleur, rusĂ©, rĂ©fractaire. Des voies peu licites le tentent, il a envie de respirer ailleurs ; heureusement, la musique est dĂ©jĂ  entrĂ©e dans sa vie. © Bite d’acier À 3 ans, l’enfant fait des caprices il ne veut manger que dans l’assiette oĂč il y a le dessin du monsieur en tenue de mandarin qui joue de la guitare. À 7 ans, son pĂšre lui ramĂšne sa premiĂšre guitare, un jouet de frontiĂšre, noir et feu, impossible Ă  accorder. » Avec ses sƓurs, ils passent Ă  longueurs de soirĂ©es prĂšs du transistor les groupes anglais qui passent Ă  la radio. À 14 ans, il touche sa premiĂšre guitare Ă©lectrique et monte son premier groupe avec les copains de la CitĂ© The Flames. On dessinait des flammes partout oĂč on allait sur les murs, sur les blousons en jean. J’étais le seul qui savait jouer de la guitare, des types avaient commencĂ© Ă  m’apprendre quelques notes de blues Ă  la Maison du quartier. » Un an plus tard, c’est du sĂ©rieux enfin presque !, il monte, avec MĂ©melle et Laurent, un nouveau groupe BĂ©ton ArmĂ©. PrĂ©posĂ© au chant et Ă  la guitare, il Ă©crit ses premiĂšres chansons, se prend logiquement pour une star. Le son est rock, une scĂšne bordelaise » Ă©merge alors, de laquelle se distinguera Noir DĂ©sir. Pour l’essentiel, le groupe se contente de reprises et Tito braille en yaourt. Le dĂ©clic intervient un jour chez les parents d’un ami, quand il dĂ©couvre dans un coin de la bibliothĂšque le rĂ©pertoire des chansons paillardes. VoilĂ  la belle idĂ©e, dans la veine punk du moment reprendre des paroles de cul sur des airs rock. Ça donnera des titres comme Branle Charlotte ou Bite d’acier ce dernier sur l’air de Highway to Hell, avec ces paroles onctueuses Quand il Ă©tait / Chez les curĂ©s / Bite, bite, bite d’acier / Sonnez les cloches / À coup de bĂ©lier / Bite, bite, bite d’acier. Le rĂ©sultat sur scĂšne ? Les gens sont outrĂ©s, on dĂ©branche nos amplis. Rapidement, mes potes n’assument pas, je continuerai tout seul. » Tito a 17 ans, il vient de rater l’examen du CAP, il est Ă  la rue. Il prend sa mobylette, fait le tour de la zone industrielle de MĂ©rignac et, suivant l’exemple d’un certain nombre de ses camarades de la CitĂ©, se fait embaucher dans une usine comme polisseur sur mĂ©taux. Un soir Ă  la mĂȘme Ă©poque, il traĂźne devant le parc de la mairie de MĂ©rignac et repĂšre l’endroit oĂč le gardien planque les clĂ©s. La nuit suivante, avec les copains, ils cambriolent la mairie, enfin on vole 6 tronçonneuses dans l’idĂ©e de les revendre aprĂšs ». IdĂ©e lumineuse, sauf qu’une bouche mal intentionnĂ©e le balance et qu’un matin la police dĂ©barque Ă  l’usine. Le maire de MĂ©rignac, Michel Sainte-Marie maire historique de la ville pendant 40 ans, le reçoit alors dans son bureau et lui tient Ă  peu prĂšs ce langage Écoutez, je ne vais pas porter plainte mais vous allez faire deux choses ramener les tronçonneuses et travailler pour moi Ă  la mairie. » Et voilĂ  notre apprenti cambrioleur chargĂ© tous les samedis durant quelques mois, tronçonneuse en mains, d’entretenir le jardin de la mairie. En parallĂšle de l’usine, la nuit, plutĂŽt que de poursuivre sa carriĂšre dans le banditisme, Tito file de l’autre cĂŽtĂ© de la Garonne, Ă  Lormont, oĂč un lieu commence Ă  attirer les blousons noirs et les mobylettes CrĂ©ation, le bien nommĂ©, est tenu par un ex-taulard amateur de pogos, William Perez, et chez lui se retrouvent tous les groupes de la fameuse scĂšne rock bordelaise. Tito affine ses compos, il s’essaie Ă  des textes plus sĂ©rieux pour plaire aux filles » NĂ© pour souffrir, s’avise qu’il est meilleur pour les conneries » Riton la Moustache, La flicaille c’est la racaille. Surtout, c’est lĂ -bas qu’il dĂ©couvre le flamenco avec les gitans et les Espagnols qui dĂ©barquent certains soirs. LibertĂ© d’allure, danse fiĂ©vreuse, chant profond, et puis ces mains qui claquent, ces talons qui rĂ©sonnent la passion pour cette musique populaire et enjouĂ©e est immĂ©diate, Tito se met Ă  la guitare sĂšche et s’initie aux diffĂ©rents styles. L’étĂ©, il met en pratique en faisant le tour des plages de la cĂŽte et du Bassin, guitare sous le bras. J’ai fait 80 dates tous les Ă©tĂ©s pendant plusieurs annĂ©es, dans les bars, les boĂźtes, les camps naturistes. À l’époque, tout le monde voulait les Gipsys Kings, Bamboleo, et comme les gens craignaient de faire appel aux vrais gitans, j’étais un des seuls Ă  savoir le faire. » T’es un malade, toi ! » Les concerts, les virĂ©es, c’est le soir, l’étĂ©, pour se distraire d’un quotidien Ă  l’usine qui lui pĂšse de plus en plus. Tito voit les collĂšgues, ceux qui sont lĂ  depuis vingt ou trente ans, dos cabossĂ©, gamma GT au plafond. Un aprĂšs-midi, je m’en souviens trĂšs bien, j’ai posĂ© les gants et je suis parti. » Il a 23 ans, il baratine l’ANPE pour toucher des indemnitĂ©s, il pense Ă  survivre, c’est tout. Arrive alors la proposition qui va changer sa vie. BenoĂźt et Pierre, deux jeunes Bordelais Ă  qui il donne des cours de guitare, partent un an Ă  Cordoue pour suivre l’enseignement d’un maestro du flamenco, Merengue de CĂłrdoba ; ils proposent Ă  Tito de venir ; quand on n’a rien Ă  perdre, c’est sans doute plus facile d’accepter. ProblĂšme Tito, qui n’a ni visa ni carte d’identitĂ©, se fait refouler par les douaniers espagnols Ă  la gare d’Hendaye. Les valises pleines, la guitare sur le dos, le baroudeur ne dĂ©sarme pas, marche deux kilomĂštres jusqu’au poste frontiĂšre d’Irun et, avec son permis de chasse frappĂ© du tampon de la RĂ©publique !, arrive Ă  convaincre un douanier moins vĂ©tilleux. Il finit, non sans avoir au prĂ©alable guidĂ© un Marocain sans-papiers dans sa navigation clandestine vers AlgĂ©siras, par retrouver ses deux camarades d’aventure, et atteindre Cordoue, l’Andalousie, terre de toutes les promesses. La vie lĂ -bas, les premiers temps, ne ressemble pas exactement Ă  la fiesta dĂ©bridĂ©e. Tous les mois, se souvient Tito, j’attends le facteur pour recevoir mon chĂšque de l’ANPE que ma mĂšre m’envoie par mandat aprĂšs avoir pointĂ© Ă  ma place. Je vis avec dix francs par jour, je me nourris de chips et de Vache qui rit, je bois de l’eau chaude. Mais je m’en fous, je suis prĂȘt Ă  tout pour la guitare, je comprends que c’est ma vie. » Tito gratte et pince dix heures par jour, jusqu’à s’abĂźmer les doigts. T’es un malade, toi ! » lui lance le maestro Merengue, qui pourtant en a vu passer quelques-uns. BenoĂźt et Pierre finissent par rentrer en France. Tito reste seul chez la mĂšre de Merengue qui l’hĂ©berge, il veut devenir musicien, il ne se laisse plus le choix. Une rencontre sera alors dĂ©cisive Miguel Rojo, un Ă©crivain, rĂ©fugiĂ© politique chilien, que Tito croise un Ă©tĂ© pendant sa tournĂ©e des bars Ă  Bordeaux. Miguel le convainc de l’accompagner Ă  SĂ©ville oĂč il connaĂźt du monde et, dĂšs le premier jour, lui fait rencontrer Paco Lira, patron de la mythique Carboneria. De cette ancienne synagogue devenue charbonnerie d’oĂč le nom, Paco a fait, depuis le milieu des annĂ©es 70, une salle de concert, un lieu d’exposition, d’agitation politique et de fĂȘte ; toute la culture andalouse, de l’esprit mauresque Ă  l’ñme gitane, et toute l’effervescence de l’époque condensĂ©es en un endroit. L’architecture et la dĂ©co sont baroques, avec les cheminĂ©es, les murs peints en bleu Frida Kahlo, les objets de rĂ©cup’, le grand bar, le patio. Une salle est dĂ©diĂ©e au flamenco. Jamais de musique d’ambiance, que des musiciens live. Tous les jours, s’émerveille encore Tito, je croisais des chanteurs, des intellectuels, des artistes. C’était la premiĂšre fois que je voyais des gens comme ça ! » Pendant dix ans entrecoupĂ©s de retours alimentaires Ă  Bordeaux, Tito vit Ă  la Carbo ». Le soir, il accompagne sur scĂšne des grands maĂźtres de passage, comme le chanteur El Cabrero surnommĂ© ainsi, le chevrier, parce qu’à l’adolescence il a vendu les trois chĂšvres de son hĂ©ritage, et qu’il est descendu Ă  pied de son village de montagne jusqu’à SĂ©ville pour devenir chanteur. AprĂšs les concerts, au bout de ces nuits qui n’en finissent pas de s’étirer, Tito dort sur place, Ă  l’étage, dans une piĂšce sĂ©parĂ©e des autres par un drap blanc, sur un matelas qu’il partage avec son ami chilien Miguel. Le rythme est contraignant il lui arrive de jouer plusieurs heures, un peu austĂšre les revenus n’ont pas augmentĂ©, et en mĂȘme temps, chaque soir, il se sent grisĂ© par la libertĂ© folle » des gens. Il frĂ©quente le gratin du flamenco, s’aventure dans le quartier des Tres Mil », rĂ©putĂ© inaccessible aux non-gitans, qui ferait passer le Bronx pour une station balnĂ©aire. Tout ce que j’ai appris Ă  ce moment-lĂ , s’avise aujourd’hui Tito, n’existe pas dans les livres. Sans le savoir, j’ai recueilli le tĂ©moignage d’un monde souterrain et d’une Ă©poque disparue. » Naissance de La Casquette Citons quelques noms de gĂ©nies plus ou moins anonymes Ă  qui Tito pique des trucs » les guitaristes Mario Escudero et Carlos Heredia une bĂȘte, un talent immense » ; les chanteurs Paco de Valdeña qui, sur scĂšne, tombe la veste Ă  moitiĂ© pour la faire tourner et Miguel El Funi dandy sublime, avec l’écharpe blanche, la gomina, la pochette, le peigne toujours dans la poche. Que le lecteur intriguĂ© s’amuse Ă  taper les noms sur Youtube sa curiositĂ©, qu’il n’en doute pas, sera rĂ©compensĂ©e. Et puis un soir Ă  la Carboneria, Paco Lira lui prĂ©sente Juan del Gastor, hĂ©ritier d’une dynastie de guitaristes, l’inventeur d’un style, d’une maniĂšre de jouer trĂšs Ă©purĂ©e dont la genĂšse mĂ©rite d’ĂȘtre contĂ©e. MorĂłn de la Frontera, la ville qui a vu naĂźtre le maestro au cƓur de l’Andalousie, a longtemps accueilli une base militaire amĂ©ricaine. Pendant la pĂ©riode franquiste, des milliers de soldats sont venus dĂ©penser de l’argent dans les bars et les puticlubs, et dans les radios locales Ă  l’époque, pour accommoder les pensionnaires de la ville, on passait beaucoup de blues. Le petit Juan a entendu ça, et plus tard, dans ses compositions, il cherchera Ă  retrouver ces sonoritĂ©s venus d’AmĂ©rique en les mĂȘlant Ă  des harmonies traditionnelles, ce qu’on appellera El Toque de MorĂłn. Quand il dĂ©couvre cette technique et la variĂ©tĂ© des Ă©motions qu’elle gĂ©nĂšre, Tito se dit voilĂ  ce que je veux faire ; ce mĂ©lange de rock, de blues et de flamenco, c’est moi, c’est mon style. Il se rend tous les aprĂšs-midis chez Juan del Gastor pour une patiente initiation. Il m’apprend, ou plutĂŽt il me montre. Le flamenco, c’est avant tout une tradition orale, d’abord parce que beaucoup ne savent pas lire la musique. On croit Ă  la relation maĂźtre-Ă©lĂšve. » Dans la famille, il y a aussi le cousin, Dieguito de MorĂłn. Le plus grand guitariste que j’ai vu de ma vie. Un illuminĂ© gĂ©nial, avec de longs cheveux noirs, un regard de dĂ©ment. » Et l’on se rappelle soudain avoir entendu Tito nous dire, un soir au J’Go Mon idĂ©al, c’est la violence de Jimi Hendrix et la majestĂ© de Paco de LucĂ­a. » Au dĂ©but des annĂ©es 2000, plus prosaĂŻquement, dans ce qu’il est convenu d’appeler la vie sociale et professionnelle, Tito galĂšre. La mĂšre de sa fille ChloĂ© le quitte. Quand il n’a pas de contrat Ă  SĂ©ville, il enchaĂźne les boulots en intĂ©rim Ă  Bordeaux. Dans la liste non-exhaustive des mĂ©tiers exercĂ©s, digne d’un inventaire Ă  la PrĂ©vert, on retiendra monteur en Ă©chafaudage, rĂ©parateur de chariots dans les supermarchĂ©s, pizzaĂŻolo, animalier de laboratoire, laveur de voitures, vendeur de casseroles, dĂ©manteleur de carcasses d’avions il dĂ©coupe les ailes en aluminium pour les revendre aux ferrailleurs
. Bref, Tito accepte n’importe quoi ; Ă  35 piges, il survit encore. C’est le moment oĂč, aprĂšs la rĂ©vĂ©lation du Toque de MorĂłn, il dĂ©couvre les sĂ©villanes de Lebrija, le village andalou d’oĂč est originaire Concha Vargas, la grande danseuse que Tito accompagne parfois sur scĂšne et qui donne des cours Ă  la Carbo ». Ce qu’elles ont d’atypique ces sĂ©villanes, c’est la part d’improvisation dans les paroles ; rien n’est figĂ©, chacun est libre d’y exprimer sa sensibilitĂ© du moment, politique ou intime. Tito s’empare de l’idĂ©e et l’adapte Ă  sa maniĂšre. J’ai toujours fait ça, explique-t-il partir de quelque chose qui existe dĂ©jĂ  pour le dĂ©tourner de maniĂšre comique, lĂ©gĂšre. Je suis un grand dĂ©tourneur ! » Ainsi naĂźt La Casquette en plomb, sĂ©villane brutale, comme tordue par un dĂ©lire sur la gueule de bois, l’un des premiers tubes de flamenco en langue française. Les annĂ©es J’Go À la suite de La Casquette, d’autres titres prennent formes La Buleria del Tilititron, RĂ©gale d’ñme pour deux, Je
 Des rumbas, des bulerĂ­as avec des textes rigolos », comme si toutes les piĂšces, patiemment assemblĂ©es, se mettaient d’un coup Ă  fonctionner ensemble. Tito, pour la premiĂšre fois, a envie d’enregistrer un album. Bien sĂ»r, il n’a pas les moyens de le financer. Un ami va alors jouer un rĂŽle dĂ©cisif, Denis MĂ©liet, le trĂšs regrettĂ© fondateur du J’Go. On se connaissait depuis le Jour de FĂȘte, le premier bar de Denis Ă  Auch oĂč j’étais venu quelques soirs faire l’animation. On est devenus copains, il est venu me voir Ă  SĂ©ville. Quand je lui parle de mon projet d’album, il est prĂȘt Ă  m’aider. » VoilĂ  comment, entre deux sĂ©ances d’enregistrement au studio Polygone de Blagnac en mĂȘme temps que Bernard Lavilliers et Bernardo Sandoval, la classe ! », Tito se retrouve derriĂšre le comptoir du J’Go, place Victor-Hugo, Ă  couper du Noir de Bigorre. Coupeur de jambon, un mĂ©tier courant et respectĂ© dans les bars en Espagne, inĂ©dit en France. Denis MĂ©liet a l’idĂ©e de ce rĂŽle dĂ©calĂ© pour son ami, qui l’aidera par la mĂȘme occasion Ă  financer son projet. Un premier album et un nouveau mĂ©tier l’aventure rebondit, c’est ce que prĂ©fĂšre notre hĂ©ros. Tous les soirs au J’Go, Tito ne se prive pas de tester ses chansons devant un public qui en redemande. InspirĂ© par la similitude oblongue des formes, il a une idĂ©e de spectacle Guitare et Jambon ». Nous sommes au mitan des annĂ©es 2000, Tito se dĂ©ploie, multiplie les projets. C’est l’époque des concerts Ă  PlanĂšte Andalousie, haut-lieu du flamenco Ă  Montreuil. Dans cette salle habituĂ©e aux raffinements andalous, Tito dĂ©barque en peau de panthĂšre, se fout Ă  poil, sert des pois chiches Ă  des spectateurs hallucinĂ©s. Du burlesque de cabaret, mais sans cĂ©der sur la rigueur musicale ; une attitude punk, pour casser l’esprit de sĂ©rieux », mais sans agressivitĂ©, sans forcer le trait, avec souvent un rictus de tendresse mĂ©lancolique Ă  la Bourvil. Durant cette pĂ©riode riche en rencontres, Tito cĂŽtoie un autre fĂ©lin au chant douloureux, Nilda FernĂĄndez. J’ai jouĂ© avec lui, on a mĂȘme vĂ©cu trois mois ensemble pour faire son album. Un ĂȘtre rare, trĂšs pur, trĂšs gĂ©nĂ©reux, Ă©lĂ©gant, sensible. On Ă©tait trĂšs proches, sa mort m’a beaucoup peinĂ©. » Il tourne Ă©galement avec RaphaĂ«l Fays, un des plus grands guitaristes du monde, avec lequel il commet trois albums chez Harmonia Mundi. Christophe Lamezas, druide du J’Go, son ami depuis vingt ans, suggĂšre une mĂ©prise Tito est souvent perçu comme un saltimbanque. Il le revendique d’ailleurs, parce qu’il est d’une modestie incroyable, mais c’est beaucoup plus fort que ça ; il est avant tout un trĂšs grand musicien. » © RĂ©mi Benoit En 2008, quand le J’Go ouvre ses portes Ă  Saint-Germain-des-PrĂ©s, Denis MĂ©liet demande Ă  nouveau Ă  son ami d’enfiler le tablier du coupeur de jambon. Il lui façonne une table sur mesure, en lĂ©ger surplomb, la table Ă  Tito ». Le restaurant, Ă  Paris comme dĂ©jĂ  Ă  Toulouse, devient un peu sa scĂšne. Des clients viennent l’écouter chanter et dĂ©conner ; parmi eux, Édouard Baer, noctambule Ă  l’oreille fine, sensible aux Ă©piphanies de bistrot. Entre le plus trĂšs jeune garnement familier de la galĂšre et l’élĂ©gant rhĂ©teur parisien, enfant de Bizot, cadet de Noiret et Rochefort, le lien se fait naturellement. Au-delĂ  de la fantaisie, quelque chose les rapproche d’évidence, une mĂȘme volontĂ© de ne pas sĂ©parer l’art et la vie, la scĂšne et les coulisses, une façon d’habiter poĂ©tiquement le monde. Il m’a offert une place dans son univers et je m’y suis tout de suite senti Ă  l’aise, confie, reconnaissant, Tito. Il aime ce que je fais, il me laisse libre de m’exprimer. C’est mon meilleur agent aujourd’hui ! » D’abord Ă  la radio Nova, puis France Inter oĂč Baer lui demande d’intervenir aux cĂŽtĂ©s de sa bande habituelle, François Rollin, Atmen Kelif, des as de la digression loufoque ; et maintenant au théùtre, dans le dernier spectacle du comĂ©dien, pour des incises musicales et, surtout, pour faire la route ensemble. Autre rencontre importante, celle avec le rĂ©alisateur Christophe Duthuron qui, en 2018, lui propose un rĂŽle dans son film Les Vieux Fourneaux, avec Eddy Mitchell, Pierre Richard et Alice Paul. Tito n’en revient toujours pas Je n’avais jamais jouĂ© la comĂ©die. Je ne suis pas un acteur bien sĂ»r, je joue ce que je suis. MĂȘme si j’ai toujours bien aimĂ© affabuler, c’est vrai
 » Avec sa gueule, son grain, son intelligence de l’instant, Ă  vrai dire on n’a Ă©tĂ© moins surpris que lui de la proposition, et on ne le serait pas davantage si l’expĂ©rience venait Ă  se renouveler. Un troubadour Ă  Saint-Germain Celui qui a suivi une initiation au chamanisme aprĂšs une expĂ©rience troublante Ă  Terre-Neuve une histoire de baleine Ă©chouĂ©e dans la baie de St-John’s aprĂšs un dessin prĂ©monitoire
 croit davantage aux signes, aux liens magiques, Ă  la vie dĂ©sordonnĂ©e des esprits, qu’à une route tracĂ©e au grĂ© des intĂ©rĂȘts et de l’ambition. Je n’ai jamais couru le cachet. Mes employeurs ont toujours Ă©tĂ© mes potes Ă  Bordeaux, Ă  SĂ©ville, Denis, Édouard
 Ils Ă©crivent des rĂŽles pour moi », s’excuse-t-il presque, toujours trop modeste. Son ami Lamezas corrige Il a galĂ©rĂ©, il n’a jamais eu d’argent, mais sa richesse c’est sa vie, tout ce qu’il a connu. Des mecs comme ça, on n’en rencontre pas beaucoup dans une vie. » Catherine, la grande sƓur, abonde et complĂšte Je peux passer des heures Ă  l’écouter me raconter ses soirĂ©es, ses rencontres, ses expĂ©riences. Il est curieux de tout, il a de l’humour, il est humble, ses succĂšs ne l’ont pas changĂ©. » © Pascal Chantier Ces derniĂšres annĂ©es, on le croisait souvent dans les allĂ©es du marchĂ© Saint-Germain oĂč le J’Go faisait vivre une loge. Il est devenu le musicien de Saint-Germain », le troubadour d’un drĂŽle de village un peu endormi, oĂč flottent encore les fantĂŽmes de Vian et Blondin. Les gens le reconnaissent, l’interpellent, et il leur raconte peut-ĂȘtre comment, Ă  la suite d’un pari, il a traversĂ© le Sahara au volant d’une 600 Mercedes V12. Je ne cherche rien, dĂ©clare Tito. Je n’ai pas besoin de plus, j’attends que ça arrive. » Un genre de philosophie, pas trĂšs Ă©loignĂ©e de la sagesse stoĂŻcienne, qui semble le rendre heureux. Il a trouvĂ© son petit paradis », un chalet au bord du lac de Hourtin, dans ce Bassin d’Arcachon qu’il n’a jamais vraiment quittĂ©. Il a son bateau, il pĂȘche avec son fils de 19 ans, Mathys. ChloĂ©, qui vient d’avoir un enfant, passe le voir de temps en temps. L’ocĂ©an n’est pas loin, le bois Ă  cĂŽtĂ© est plein de champignons ; en septembre, on entend le brame du cerf. Au moment de se quitter, Tito Ă©voque sa lecture rĂ©cente d’un livre de Bernard Moitessier, le marin qui un jour a prĂ©fĂ©rĂ© ne pas franchir la ligne d’arrivĂ©e. Il se lance, peut-ĂȘtre par mimĂ©tisme, peut-ĂȘtre pour le plaisir d’affabuler, dans la description d’un prochain voyage en PolynĂ©sie. J’amĂšnerai ma guitare et du Noir de Bigorre. Je jouerai mes chansons et j’écouterai les leur, je recevrai mes amis de passage
 Tu viendras me voir ? » Soudain, on se prend Ă  rĂȘver de corail et d’ülot de sable, de lagon translucide et de toit en feuilles tressĂ©es. On s’imagine la nuit autour d’un feu avec Tito qui nous raconterait des histoires. Au fait, je t’ai parlĂ© de ma premiĂšre guitare que j’ai achetĂ©e Ă  un luthier manchot ? » Les Ă©lucubrations d’un homme soudain frappĂ© par la grĂące. Par Edouard Baer du 19 au 21 novembre Ă  Odyssud.
LeLait De Lolo: Attachement: Toi, Tu Es Ma Maison: Allumett' Polka: Ballade Irlandaise: Berceuse Ă  FrĂ©dĂ©ric: Le Voleur De Pervenches: AbonnĂ© Au Gaz: Abuglubu, Abugluba (feat Pierrette Bruno) AdĂšle: Antonin: Baladin: Joli, Joli Mois De Mai: Les Papous: Mon Village Au Clair De Lune: Tiens VoilĂ  L'facteur: A Dada: A La Campagne SpĂ©cialiste, depuis de nombreuses annĂ©es, de la dĂ©linquance et des politiques de sĂ©curitĂ©, Laurent Mucchielli, sociologue et directeur de recherche au Centre National de la Recherche Scientifique CNRS, mĂšne, depuis mars 2020, une vaste enquĂȘte sur la gestion politico-sanitaire de la crise engendrĂ©e par la pandĂ©mie de Covid-19. Sous le feu des projecteurs, et des critiques − parfois virulentes −, pour avoir mis en lumiĂšre une mortalitĂ© inĂ©dite » liĂ©e Ă  la campagne de vaccination massive contre le coronavirus, le chercheur revient, pour Sciences Critiques, sur ses travaux aujourd’hui dĂ©criĂ©s, mais aussi sur la stratĂ©gie du gouvernement, l’influence des Big Pharma » sur la recherche et l’expertise scientifiques ou encore sur la couverture mĂ©diatique de la crise sanitaire. * * * Sciences Critiques – Pourquoi ĂȘtes-vous passĂ©, en tant que sociologue, de l’étude de la dĂ©linquance Ă  celle de la pharmacovigilance ? Et en quoi consiste votre enquĂȘte actuelle sur la gestion politico-sanitaire de la crise du Covid-19 ? Laurent Mucchielli – Pour commencer, je vous remercie de me donner la parole. La quasi-totalitĂ© des gens qui me critiquent le font, d’une part, sans m’avoir lu en dĂ©tail et, d’autre part, sans avoir jamais cherchĂ© Ă  dialoguer avec moi. Pour vous rĂ©pondre directement, je ne suis pas du tout passĂ© sans transition de la dĂ©linquance Ă  la pharmacovigilance. Il faut comprendre le cheminement. J’ai commencĂ© dĂšs le mois de mars 2020 une enquĂȘte sur la gestion politico-sanitaire de la crise Covid, en publiant les Ă©pisodes » de cette enquĂȘte sur le modeste blog que je tiens sur Mediapart depuis 2009. Au bout de quelques temps, j’ai identifiĂ© ce que j’appelle la doxa du Covid », une narration globale de la pandĂ©mie dont je conteste globalement le bien-fondĂ©. Cette histoire, qui nous est racontĂ©e depuis le dĂ©but, consiste en quatre affirmations centrales 1 un virus horrible se rĂ©pand partout sur la planĂšte et nous risquons tous de mourir, 2 on ne sait pas comment l’arrĂȘter ni comment soigner les gens qui l’attrapent, 3 la seule chose Ă  faire est, sur le modĂšle chinois, de confiner la totalitĂ© de la population et de rĂ©duire au maximum les contacts entre les ĂȘtres humains, et 4 nous ne pourrons retrouver une vie normale » que quand nous disposerons d’un vaccin. Le vaccin est donc prĂ©sentĂ© comme le sauveur de l’humanitĂ© depuis le dĂ©but. Et il est Ă©videmment interdit de critiquer le sauveur de l’humanitĂ©. VoilĂ  toute l’affaire. Le vaccin est prĂ©sentĂ© comme le sauveur de l’humanitĂ© depuis le dĂ©but de la pandĂ©mie. Et il est Ă©videmment interdit de critiquer le sauveur de l’humanitĂ©. VoilĂ  toute l’affaire. Maintenant, si nous basculons de cette narration officielle vers ce que je crois ĂȘtre la rĂ©alitĂ©, l’histoire est trĂšs diffĂ©rente. En effet, 1 seules les personnes fragilisĂ©es par le grand Ăąge ou d’autres maladies sont rĂ©ellement menacĂ©es par ce virus, 2 il existe toute une sĂ©rie de stratĂ©gies prĂ©ventives et de traitements prĂ©coces qui rĂ©duisent fortement le risque de formes graves voire mortelles, 3 les confinements ne servent Ă  rien, comme l’ont montrĂ© notamment les travaux du fameux Ă©pidĂ©miologiste John Ioannidis et comme en tĂ©moigne, par ailleurs, le cas de la SuĂšde − qui n’a jamais confinĂ© et a, au final, un taux de mortalitĂ© Covid nettement infĂ©rieur Ă  ceux de pays trĂšs confinateurs » comme la France, l’Italie, l’Espagne, la Belgique ou encore la Grande-Bretagne. En rĂ©alitĂ©, la bonne stratĂ©gie Ă©tait celle proposĂ©e dĂšs le dĂ©part par l’Institut hospitalo-universitaire IHU de Marseille tester, isoler, soigner. Et 4 les vaccins ARN/ADN sont avant tout une aubaine financiĂšre pour l’industrie pharmaceutique anglo-amĂ©ricaine. Ils ont Ă©tĂ© mis au point en brĂ»lant les Ă©tapes classiques de dĂ©veloppement d’un nouveau mĂ©dicament pour faire un maximum de profit, sur base d’un processus biologique rendu largement obsolĂšte par les mutations du virus, testĂ©s sur des Ă©chantillons assez faibles numĂ©riquement et non-reprĂ©sentatifs de la population gĂ©nĂ©rale, validĂ©s par les autoritĂ©s sanitaires » sur la seule base des essais cliniques rĂ©alisĂ©s par les industriels eux-mĂȘmes, dĂ©veloppĂ©s dans le cadre de contrats iniques − qui exonĂšrent ces industriels de toute responsabilitĂ© au cas oĂč les produits vendus ne tiendraient pas leurs promesses −, et qui provoquent des effets indĂ©sirables plus ou moins graves chez des personnes lĂ  aussi plus fragiles que d’autres, que les Etats n’auraient jamais dĂ» chercher Ă  vacciner de force. Que pensez-vous de la polĂ©mique suscitĂ©e par la publication de vos travaux sur la mortalitĂ© inĂ©dite » liĂ©e Ă  quatre vaccins dĂ©veloppĂ©s par Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen dans le cadre de la lutte contre la pandĂ©mie de Covid-19 ? Les vaccins ARNm − et dans une moindre mesure ceux Ă  adĂ©novirus − sont prĂ©sentĂ©s depuis prĂšs de deux ans comme une sorte de miracle technico-mĂ©dical nous dĂ©livrant du risque de mort. C’est Ă©videmment le discours des industriels, cela s’appelle du marketing, tout comme la prĂ©tendue protection Ă  95 % », chiffre servant en rĂ©alitĂ© d’argument d’autoritĂ©, repris complaisamment par le gouvernement et les principaux mĂ©dias. Mais c’est aussi celui de l’Organisation mondiale de la santĂ© OMS et de ses principaux financeurs, qui sont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne mais aussi, et de plus en plus, la Fondation Bill et Melinda Gates, dont on connait le credo idĂ©ologico-commercial de la vaccination mondiale.[1]− Voir le livre du journaliste indĂ©pendant Lionel Astruc, L’art de la fausse gĂ©nĂ©rositĂ©. La fondation Bill et Melinda Gates, Actes Sud, 2019. Et c’est enfin le discours des Etats occidentaux, comme la France, dans lesquels les pouvoirs exĂ©cutifs en place au moment de l’épidĂ©mie ont misĂ© toute leur stratĂ©gie politique sur la doxa du Covid et donc sur le vaccin comme fin de l’histoire. A partir de lĂ , toute contestation doit ĂȘtre discrĂ©ditĂ©e au plus vite pour que le storytelling puisse fonctionner tranquillement. > Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au Centre National de la Recherche Scientifique CNRS, il enseigne rĂ©guliĂšrement dans les universitĂ©s d’Aix-Marseille et de Corse. / CrĂ©dit DR. Qui sont vos dĂ©tracteurs ? Et quelles sont leurs motivations, selon vous ? Demandez-vous qui mon discours dĂ©range et vous aurez la rĂ©ponse. Je dĂ©range fondamentalement les industriels et le gouvernement, qui me font attaquer par leurs sbires, par le biais de ce que j’appelle la bulle numĂ©rique », constituĂ©e par les mĂ©dias et les rĂ©seaux sociaux, qui appartiennent principalement aux GAFAM [Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft, NDLR]. C’est un des drames de cette histoire que d’avoir consacrĂ© la prĂ©dominance des rĂ©seaux sociaux et des formats numĂ©riques. Toute une gĂ©nĂ©ration semble s’imaginer que le dĂ©bat scientifique se fait sur Twitter et que n’importe quel youtubeur » Ă  la mode peut s’autoriser Ă  parler de science alors qu’il n’y connait pas grand-chose et ne fait souvent que rĂ©pĂ©ter ce qu’on lui a dit de dire. Tout part de lĂ , de ces nouveaux influenceurs type No Fake Med », Citizen science », tronche » de ceci ou de cela, qui se prĂ©sentent faussement comme neutres et indĂ©pendants, qui me harcĂšlent sur Twitter depuis le dĂ©but, comme ils harcĂšlent tous ceux qui contredisent la doxa du Covid − Ă  commencer, bien entendu, par l’IHU de Marseille et par la personne de Didier Raoult, qui fait l’objet d’une fixation quasi pathologique chez certains. Toute une gĂ©nĂ©ration semble s’imaginer que le dĂ©bat scientifique se fait sur Twitter et que n’importe quel youtubeur » Ă  la mode peut s’autoriser Ă  parler de science alors qu’il n’y connait pas grand-chose et ne fait souvent que rĂ©pĂ©ter ce qu’on lui a dit de dire. Je vivais Ă  peu prĂšs bien avec ça depuis un an et demi, et j’ai publiĂ© une soixantaine d’articles sur mon blog, avec 35 autres chercheurs, universitaires et mĂ©decins. Quand, soudain, un de mes articles, sur les effets indĂ©sirables des vaccins, donc, a Ă©tĂ© censurĂ© par Mediapart sans aucune forme de dialogue − j’ai Ă©crit Ă  plusieurs reprises Ă  la rĂ©daction, qui ne m’a jamais rĂ©pondu. Cette dĂ©cision de Mediapart a jouĂ© un rĂŽle important et m’a beaucoup nui. A partir de lĂ , les influenceurs du Net se sont senti pousser des ailes. Ils se sont dĂ©chaĂźnĂ©s et se sont mis Ă  harceler aussi mon institution, le Centre National de la Recherche Scientifique CNRS, sur le mode quand est-ce que vous ferez taire ce chercheur ? » ; bref, en usant de mĂ©thodes d’intimidation. A la fin de cette sĂ©quence, sont arrivĂ©s les moins courageux, les opportunistes, ceux qui profitent de l’aubaine pour rĂ©gler des comptes parfois anciens. C’est notamment le cas des sociologues qui ont publiĂ© le 8 aoĂ»t dernier une trĂšs courte tribune de presse en forme d’injure, Ă  laquelle j’ai facilement rĂ©pondu tellement le niveau intellectuel de leur texte est faible. Seulement, je n’ai pas leur accĂšs si Ă©trangement facile Ă  des mĂ©dias majeurs comme Le Monde, et je suis presque seul sur les rĂ©seaux sociaux face une meute dĂ©chaĂźnĂ©e, qui m’a attaquĂ©, y compris Ă©lectroniquement, en essayant de faire exploser ma boite mail. VoilĂ  pour l’essentiel. Le reste, ce sont des journalistes qui sont parfois devenus de vĂ©ritables chiens de garde » du pouvoir politique, comme l’annonçait dĂ©jĂ  Serge Halimi il y a une quinzaine d’annĂ©es. Et quelques personnes qui se prĂ©sentent comme des zĂ©tĂ©ticiens » ou je ne sais quelle autre Ă©tiquette Ă  la mode dont, Ă  vrai dire, je n’ai jamais compris la plus-value sur le plan intellectuel et qui du reste, sur cette crise, ont fait gĂ©nĂ©ralement preuve d’un grand conformisme de pensĂ©e en Ă©pousant la doxa du moment. Vos dĂ©tracteurs prĂ©cisĂ©ment, notamment sociologues, vous ont accusĂ© d’avoir manipulĂ© des donnĂ©es pour Ă©tayer une position idĂ©ologique ». D’autres, cette fois journalistes, ont mĂȘme pu Ă©crire que vos mensonges tuent ». Que rĂ©pondez-vous Ă  ces accusations particuliĂšrement virulentes ? Je rĂ©ponds que ce sont des accusations gĂ©nĂ©rales gratuites, moralisatrices − et mĂȘme franchement ridicules dans le cas des journalistes que vous citez −, et non des arguments intellectuels. Les gens ne lisent pas, ils ne travaillent pas. Ils croient que l’on peut se dĂ©barrasser d’une contradiction en deux coups de cuillĂšre Ă  pot. Les huit collĂšgues qui m’accusent dans Le Monde de manipuler des donnĂ©es ne sont pas du tout des spĂ©cialistes du sujet, aucun d’eux n’a travaillĂ© sur la pharmacovigilance, ni mĂȘme sur la crise sanitaire, plusieurs sont des retraitĂ©s. Ils pratiquent un genre de sociologie de salon oĂč l’on donne son avis sur des sujets sur lesquels l’on a un niveau de connaissance de type mĂ©diatique. Ainsi donc, aprĂšs avoir travaillĂ© des dizaines d’heures avec un mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste, un pharmacien hospitalier spĂ©cialiste de pharmacovigilance, une biologiste ancienne chercheuse Ă  l’Institut national de la santĂ© et de la recherche mĂ©dicale Inserm et deux collĂšgues universitaires en informatique et mathĂ©matique, nous n’aurions rien compris Ă  la question des effets indĂ©sirables ? Alors que nous consacrons plusieurs pages Ă  discuter la question de l’imputabilitĂ©, de la causalitĂ©, nous aurions une simple position idĂ©ologique » ? En retour, eux auraient tout compris en quelques minutes et seraient dans la pure science sans avoir jamais travaillĂ© sur le sujet ? Diantre ! Ils sont trop forts ! Il est pourtant facile de retourner la question qu’est-ce qui vous permet de dire que les effets indĂ©sirables constatĂ©s dans les jours mĂȘmes qui suivent la vaccination n’ont aucun rapport avec cette injection ? Est-ce que ce n’est pas plutĂŽt une telle affirmation qui constitue une position idĂ©ologique » ? Le Centre National de la Recherche Scientifique CNRS a rĂ©agi Ă  votre prise de position critique sur la campagne de vaccination du gouvernement. Qu’en pensez-vous ? Le CNRS est-il sous influence ? Je pense que les choses sont plus simples. Il suffit d’en observer la chronologie. La censure de Mediapart a offert une opportunitĂ© inespĂ©rĂ©e aux influenceurs du Net qui ont harcelĂ© le compte Twitter du CNRS dans les jours qui ont suivis. J’imagine que le ou la chargĂ©e de communication du CNRS qui gĂšre ce compte a dĂ» paniquer au bout d’un moment. Il ou elle a donc prĂ©venu sa hiĂ©rarchie, qui a dĂ» paniquer un peu elle aussi, surtout si la chose est parvenue aux oreilles du cabinet de la ministre de l’Enseignement SupĂ©rieur et de la Recherche. La direction du CNRS s’est alors fendue d’un communiquĂ© de presse disant que je m’exprimais en dehors de mon domaine de compĂ©tence et que mes propos n’engageaient que moi, ce qui, d’une part, est inexact et, d’autre part, enfonce une porte ouverte. L’inexactitude est de croire que je dĂ©barque tout d’un coup dans le champ politico-sanitaire avec je ne sais quelle obsession anti-vax », ce qui est faux. Je suis lĂ  depuis un an et demi, en toute transparence − toute mon enquĂȘte est prĂ©sentĂ©e sur une page dĂ©diĂ©e, au sein de l’ensemble des programmes de recherche en cours dans mon laboratoire −, et je ne suis pas du tout anti-vax ». J’espĂšre mĂȘme que des vaccins classiques, pasteuriens, seront bientĂŽt commercialisĂ©s, comme le Valneva, issu de la recherche franco-autrichienne. Quant au fait que mes propos n’engagent pas le CNRS » en tant qu’institution nationale, c’est une Ă©vidence qui vaut pour n’importe quel chercheur. Bref, c’est un communiquĂ© de circonstance, qui a cĂ©dĂ© Ă  la pression de la bulle numĂ©rique sans se renseigner vraiment sur ce dont il Ă©tait question. Mais ce que je dĂ©plore le plus, c’est que la direction du CNRS n’ait pas rappelĂ© aussi qu’il n’y a de science que dans le dĂ©bat contradictoire, l’échange d’arguments prĂ©cis et de donnĂ©es vĂ©rifiables. Finalement, dans toute cette histoire, personne ne m’a jamais dit en substance vous soulevez un problĂšme grave, cela mĂ©rite une discussion sĂ©rieuse que nous proposons d’organiser ainsi ». En rĂ©alitĂ©, il n’y a aucun dĂ©bat, il n’y a que des anathĂšmes que les gens se jettent Ă  la figure. Que cela soit la rĂšgle sur les rĂ©seaux sociaux est comprĂ©hensible Ă  dĂ©faut d’ĂȘtre acceptable. Mais que cela devienne la rĂšgle gĂ©nĂ©rale dans la vie intellectuelle constitue une grave rĂ©gression. Il n’y a aucun dĂ©bat, il n’y a que des anathĂšmes que les gens se jettent Ă  la figure. Que cela devienne la rĂšgle gĂ©nĂ©rale dans la vie intellectuelle constitue une grave rĂ©gression. De maniĂšre plus gĂ©nĂ©rale, Internet et les rĂ©seaux sociaux n’ont plus grand chose Ă  voir avec ce qui Ă©tait prĂ©sentĂ© il y a vingt-cinq ans des outils rĂ©volutionnaires qui allaient prĂ©tendument donner un nouveau souffle Ă  la dĂ©mocratie. On voit aujourd’hui que les gĂ©ants du numĂ©rique et autres GAFAM sont avant tout des industries hautement lucratives, qui travaillent main dans la main avec les gouvernements et avec les principaux mĂ©dias − qu’ils financent en partie −, et qui, au final, fabriquent une sorte de pensĂ©e unique Ă  coups d’algorithmes sĂ©lectionnant les contenus et en modĂ©rant » tous ceux proposĂ©s en ligne par les citoyens, c’est-Ă -dire en pratiquant une censure massive de tout ce qui contrevient au discours officiel de leurs partenaires institutionnels. J’en aurais une trĂšs longue liste d’exemples Ă  discuter. Un de mes collĂšgues sociologues, Romain Badouard, travaille sur ces sujets depuis plusieurs annĂ©es. Je recommande la lecture de son dernier livre.[2]− Romain Badouard, Les nouvelles lois du Web ModĂ©ration et censure, Seuil, 2020. En quoi les centaines de dĂ©cĂšs que vous avez rĂ©vĂ©lĂ©s sont-ils imputables aux vaccins anti-Covid ? L’erreur de base de la plupart de mes dĂ©tracteurs − qu’ils soient journalistes, simples youtubeurs ou universitaires − est le simplisme. Pour les esprits simples, le monde se divise en noir ou blanc, pour ou contre, ami ou ennemi. Dans ce monde manichĂ©en enfantin, la causalitĂ© est simple Ă©galement c’est oui ou c’est non. Je dirais oui, ils disent non. J’aurais tort, ils auraient raison. Et l’histoire serait finie. C’est atterrant. La rĂ©alitĂ©, c’est la complexitĂ© et la diversitĂ©. Il y a rarement une causalitĂ© simple dans la mort pour raisons mĂ©dicales. La plupart des personnes dont le dĂ©cĂšs a Ă©tĂ© imputĂ© Ă  la Covid depuis fĂ©vrier 2020 sont en rĂ©alitĂ© des personnes qui soit Ă©taient dĂ©jĂ  en fin de vie et avaient une espĂ©rance de vie trĂšs rĂ©duite, soit − ou en plus − souffraient de ce qu’on appelle des comorbiditĂ©s » importantes, d’origines diverses. Elles ne sont donc pas mortes uniquement Ă  cause du virus. Et bien c’est la mĂȘme chose avec les dĂ©cĂšs associĂ©s aux injections de vaccins ARN/ADN en pharmacovigilance. Les gens qui dĂ©veloppent des effets indĂ©sirables graves, mortels ou non, sont trĂšs probablement des personnes dĂ©jĂ  fragiles − fragilitĂ©s allergiques, cardiaques, neurologiques, etc. −, Ă  qui l’on n’aurait jamais dĂ» administrer ces vaccins d’un nouveau type, sans parler des effets Ă  long terme ni des effets sur les embryons portĂ©s par les femmes enceintes que l’on a Ă©galement vaccinĂ©es, effets qui sont tout simplement inconnus. Quelle est votre opinion concernant les vaccins dĂ©veloppĂ©s depuis le dĂ©but de la pandĂ©mie pour lutter contre le Covid-19 ? Et pourquoi demandez-vous une suspension » de la campagne vaccinale ? S’agit-il d’exercer le principe de prĂ©caution ? Oui ! Pourquoi ce principe de prĂ©caution, que l’on met pourtant dĂ©sormais un peu Ă  toutes les sauces, a-t-il soudainement disparu des consciences ? Comment peut-on ainsi vacciner quasiment Ă  l’aveugle, de façon industrielle, dans des vaccinodromes », au mĂ©pris des plus Ă©lĂ©mentaires prĂ©cautions ? Comment certains mĂ©decins spĂ©cialistes en plateaux tĂ©lĂ©s » peuvent-ils souhaiter mĂȘme la vaccination des enfants, qui ne risquent pourtant rien du tout, et des femmes enceintes, qui risquent tout de ces produits dont on ignore les effets Ă  long terme ? Qu’est-ce que c’est que cette espĂšce de religion vaccinale ? Pourquoi le principe de prĂ©caution, que l’on met pourtant dĂ©sormais un peu Ă  toutes les sauces, a-t-il soudainement disparu des consciences ? Qu’est-ce que c’est que cette espĂšce de religion vaccinale ? Le seul argument de type scientifique que j’ai entendu est celui de l’immunitĂ© collective. Mais toute personne qui lit rĂ©ellement la littĂ©rature scientifique sait que c’est un mirage, que ce coronavirus passe son temps Ă  recombiner pour faire naĂźtre des variants − dits anglais », brĂ©silien », sud-africain », indien », etc. −, que la vaccination ne protĂšge pas de la contamination et de la transmission avec ces variants − ce qui invalide le fondement mĂȘme de ce pass sanitaire » incroyablement discriminatoire −, qu’elle a une durĂ©e d’efficacitĂ© trĂšs limitĂ©e − Ă  peine plus de six mois de l’aveu mĂȘme du patron de Pfizer − et qu’en fin de compte l’immunitĂ© naturelle, celle des gens qui ont Ă©tĂ© contaminĂ©s Ă  un moment donnĂ©, est bien plus efficace et bien plus durable. Vous parlez d’ idĂ©ologie de la vaccination intĂ©grale » portĂ©e par les industries pharmaceutiques, les gouvernements et les principaux mĂ©dias. La stratĂ©gie vaccinale, qui est mise en Ɠuvre aujourd’hui de façon aveugle et uniforme », dites-vous, n’est ni de la science ni de la mĂ©decine ». C’est-Ă -dire ? Cela dĂ©coule de tout ce que nous venons de dire. Si nous Ă©tions dans une dĂ©marche rationnelle de type scientifique et mĂ©dicale, la vaccination ARN/ADN devrait ĂȘtre rĂ©servĂ©e aux personnes qui 1 en ont vraiment besoin, c’est-Ă -dire qui ont de rĂ©els risques de faire des formes graves de Covid si elles sont contaminĂ©es, 2 aprĂšs un examen approfondi de leur Ă©tat de santĂ© gĂ©nĂ©ral par leur mĂ©decin traitant, afin d’évaluer la balance bĂ©nĂ©fice/risque au cas par cas, 3 avec leur consentement libre et Ă©clairĂ© − question d’éthique mĂ©dicale et de dĂ©mocratie gĂ©nĂ©rale qui ne devrait mĂȘme pas se discuter. C’est tout le contraire de cette vaccination industrielle de masse, pratiquĂ©e de façon quasiment aveugle sur toute la population, rendue obligatoire par un chantage Ă  la discrimination − si tu ne te vaccines pas, tu ne pourras plus travailler, tu ne pourras plus aller voir un spectacle ou manger au restaurant, tes enfants ne pourront plus aller Ă  l’école, etc. −, doublĂ© d’un chantage politique − si tu ne te vaccines pas, tu es suspect d’avoir des sympathies pour le complotisme et/ou l’extrĂȘme droite − et d’une imposture morale − si tu ne te vaccines pas, tu menaces tes concitoyens. C’est ce que j’appelle l’idĂ©ologie de la vaccination intĂ©grale et je considĂšre, en effet, que ce n’est ni de la science ni de la mĂ©decine. Quelles ont Ă©tĂ© les suites politiques, institutionnelles et scientifiques Ă  votre alerte ? Pourquoi, selon vous, n’y a-t-il pas encore eu d’enquĂȘtes parlementaires et/ou scientifiques indĂ©pendantes sur les faits que vous avez rĂ©vĂ©lĂ©s ? Il n’y a eu aucune suite Ă  ma connaissance. Pour qu’il y ait une enquĂȘte parlementaire, il faudrait qu’il existe soit une tradition parlementaire forte, ce qui n’est pas le cas du rĂ©gime semi-prĂ©sidentiel français qu’organise la constitution de la VĂšme RĂ©publique, soit une rĂ©elle opposition, ce qui n’est pas le cas non plus. Les parlementaires sont soit complices du gouvernement actuel − c’est le cas notamment de ce qui reste du Parti socialiste −, soit divisĂ©s et/ou trop frileux − c’est le cas de la droite classique, des Ă©cologistes et de la France insoumise. Certes, il existe des personnalitĂ©s trĂšs courageuses qui assument leur dĂ©saccord global, comme Martine Wonner ou MichĂšle Rivasi, mais elles sont isolĂ©es. Les seuls groupes ou courants politiques qui contestent la politique du gouvernement se situent du cĂŽtĂ© de l’extrĂȘme-droite, qu’ils soient sincĂšres ou juste opportunistes. Du coup, il est facile de jeter l’anathĂšme sur les voix non-conformistes comme la mienne. Encore une fois, cela ne peut toutefois venir que de gens mal intentionnĂ©s ou ignorants. En effet, je combats l’extrĂȘme-droite et son idĂ©ologie raciste depuis toujours. J’y ai mĂȘme consacrĂ© l’intĂ©gralitĂ© de mon dernier livre paru dĂ©but 2020.[3]− Laurent Mucchielli, La France telle qu’elle est. Pour en finir avec la complainte nationaliste, Fayard, mars 2020. Mais peu importe ma personne, le problĂšme gĂ©nĂ©ral est que des millions de gens ne sont politiquement reprĂ©sentĂ©s par personne dans ce qui constitue pourtant Ă  mes yeux une opposition classique entre le bien commun et la chose publique, d’une part, et des intĂ©rĂȘts commerciaux et financiers privĂ©s, d’autre part. Quant Ă  mes collĂšgues universitaires, pour la plupart ils sont soit pris comme les autres dans la logique de la doxa − et ils croient donc naĂŻvement ce qu’ils lisent dans la presse −, soit tĂ©tanisĂ©s par le niveau de violence du dĂ©bat public et restent donc silencieux. Quand on voit ce que je subis, on peut les comprendre d’ailleurs. Mais il reste nĂ©anmoins beaucoup de gens qui ne sont pas d’accord avec ce qui se passe et qui n’ont pas peur de le dire. La derniĂšre tribune collective que j’ai suscitĂ©e fin aoĂ»t, en dĂ©fense de la libertĂ© d’expression et en appel Ă  un vĂ©ritable dĂ©bat contradictoire, a Ă©tĂ© signĂ©e par prĂšs de 3 000 universitaires, professionnels de la santĂ©, de l’éducation, de la culture et du droit.[4]− Voir le site internet Quartier GĂ©nĂ©ral. Quelle est l’influence des Big Pharma » sur les revues scientifiques Ă  comitĂ© de lecture, d’une part, et sur les agences de rĂ©gulation sanitaire et le pouvoir politique, d’autre part ? Vaste et crucial sujet ! Cette influence est Ă  la fois majeure et trĂšs insidieuse. Elle se niche en effet jusque dans la production scientifique elle-mĂȘme. LĂ  encore, toute personne honnĂȘte intellectuellement l’a compris, au moins depuis la fin du mois de mai 2020 avec l’affaire du Lancet dite LancetGate ». VoilĂ  une des trois ou quatre revues scientifiques les plus prestigieuses du monde, qui a publiĂ© tranquillement, aprĂšs prĂ©tendue expertise par un comitĂ© de lecture, un article qui constitue pourtant une fraude majeure. Seulement voilĂ , cette fraude arrangeait Ă  la fois les industriels et les gouvernements qui les suivent puisqu’il s’agissait de prouver » que l’hydroxychloroquine Ă©tait non seulement inefficace mais mĂȘme dangereuse. C’est faux mais cela permettait de tuer l’idĂ©e de traitement prĂ©coce pour laisser la voie libre Ă  l’idĂ©ologie vaccinale. Le lendemain mĂȘme, en France, Olivier VĂ©ran annonçait sur Twitter − tiens, on croyait que c’était rĂ©servĂ© Ă  Trump ! − qu’il suspendait l’autorisation d’usage de cette molĂ©cule Ă  l’hĂŽpital, aprĂšs l’avoir interdite de prescription aux mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes dĂšs la fin du mois de fĂ©vrier 2020. Justement, que pensez-vous de la gestion politico-sanitaire de la crise Ă©pidĂ©mique par le gouvernement ? Assistons-nous Ă  un virage autoritaire inquiĂ©tant pour les temps Ă  venir ? Cette gestion politico-sanitaire piĂ©tine nombre de libertĂ©s et de principes fondamentaux du droit. J’observe d’ailleurs que, dans d’autres pays, y compris voisins − l’Espagne, par exemple −, plusieurs dĂ©cisions politiques ont Ă©tĂ© censurĂ©es par les cours suprĂȘmes. Un des problĂšmes est que, en France, le Conseil d’Etat et le Conseil constitutionnel ne sont pas rĂ©ellement indĂ©pendants du pouvoir politique. L’ombre du contrĂŽle social Ă  la chinoise se rapproche de plus en plus au nom de la modernitĂ© » technologique. Et nous sommes peu nombreux Ă  nous en prĂ©occuper sĂ©rieusement. Quoi qu’il en soit, la seule chose qui m’inquiĂšte vraiment Ă  titre personnel, c’est effectivement l’avenir de notre dĂ©mocratie. Je l’écrivais dĂ©jĂ  avant cette crise, quand j’analysais l’évolution des politiques sĂ©curitaires depuis le tournant politique de 2002.[5]− Sous la dir. de Laurent Mucchielli, La frĂ©nĂ©sie sĂ©curitaire. Retour Ă  l’ordre et nouveau contrĂŽle social, La DĂ©couverte, 2013, et Laurent Mucchielli, Vous avez dit sĂ©curitĂ© ?, Champ 
 Continue reading Je le dis encore plus aujourd’hui en constatant que la crise sanitaire » sert de prĂ©texte Ă  un renforcement sans prĂ©cĂ©dent du pouvoir exĂ©cutif au dĂ©triment de tous les autres, en lien, par ailleurs, avec un usage dĂ©bridĂ© des technologies de surveillance numĂ©rique. Nous serons bientĂŽt totalement dĂ©pendants de notre smartphone, donc de ceux qui contrĂŽlent notre smartphone, dans presque toutes les dimensions de notre vie. L’ombre du contrĂŽle social Ă  la chinoise se rapproche de plus en plus au nom de la modernitĂ© » technologique. Et nous sommes peu nombreux Ă  nous en prĂ©occuper sĂ©rieusement, comme le fait, par exemple, l’association La Quadrature du Net. Que pensez-vous de la couverture mĂ©diatique de la crise politico-sanitaire en France ? Les journalistes ont peu Ă  peu perdu toute indĂ©pendance vis-Ă -vis de leurs financeurs, qui sont non seulement les milliardaires les ayant rachetĂ©s au fil du temps, mais aussi le gouvernement, qui les subventionne chaque annĂ©e, et les gĂ©ants du numĂ©rique, qui les financent de plus en plus. Une nouvelle gĂ©nĂ©ration de journalistes a profitĂ© de la rĂ©volution numĂ©rique » pour imposer la centralitĂ© du journalisme de fact-checking », qui est en rĂ©alitĂ© un genre de journalisme low-cost. Le rĂ©sultat est que des jeunes journalistes, qui ne sont spĂ©cialistes de rien, qui ne sortent jamais de leurs bureaux, qui s’informent sur Internet et sur Twitter, se croient autorisĂ©s Ă  trancher le vrai du faux sur n’importe quel sujet. C’est une catastrophe intellectuelle car, en Ă©tant coupĂ©s du terrain, ils sont Ă©videmment encore plus influençables et encore plus conformistes que les autres. Le vrai journalisme, le journalisme de reportage local ou d’investigation gĂ©nĂ©rale, celui qui nous apprend vĂ©ritablement quelque chose, a quasiment disparu. Et ceci est Ă©galement trĂšs prĂ©occupant pour la santĂ© de notre dĂ©mocratie. Pourquoi, selon vous, les forces politiques de gauche sont-elles inaudibles dans la gestion politico-sanitaire de la crise et pourquoi sont-elles si rĂ©ticentes Ă  critiquer la campagne de vaccination et l’instauration du pass sanitaire ? C’est une question difficile. Il faudrait le renfort de politologues plus compĂ©tents que moi. Pour ma part, je constate que la gauche est en crise gĂ©nĂ©rale. Il y a d’abord une crise intellectuelle ancienne. Avec d’autres, comme mon collĂšgue Laurent Bonelli, par exemple, j’ai eu souvent l’occasion de montrer dans mes travaux sur la sĂ©curitĂ© que la gauche avait perdu la bataille intellectuelle depuis longtemps, en s’alignant progressivement sur les positions idĂ©ologiques de la droite. C’est surtout le cas du Parti socialiste, qui a commencĂ© Ă  renier ses valeurs dĂšs la fin des annĂ©es 1990 et qui a fini par en mourir sous le quinquennat de François Hollande, dans le contexte des attentats dits islamistes », avec des personnalitĂ©s trĂšs sĂ©curitaires, comme Manuel Valls puis Bernard Cazeneuve. Et, sur la crise sanitaire, on voit bien comment ce qui reste du Parti socialiste soit se tait − et qui ne dit mot consent −, soit affiche un soutien total Ă  la politique macroniste, Ă  l’instar de parlementaires comme Bernard Jomier et Patrick Kanner, qui sont mĂȘme dans la surenchĂšre sur l’obligation vaccinale. Les Verts sont Ă©galement en crise identitaire, en plus d’une sorte de crise permanente de leadership. Et leur leader actuel, Yannick Jadot, s’est clairement alignĂ©, lui aussi, sur le discours macroniste Ă  propos de la crise sanitaire. Quant Ă  la France insoumise, qui a au contraire un leadership excessif et pesant, elle n’a jamais rĂ©ussi Ă  sortir de son ambivalence sur la crise sanitaire. D’un cĂŽtĂ©, ce parti politique est le seul Ă  avoir clairement dĂ©noncĂ© la rĂ©gression dĂ©mocratique que nous observons depuis mars 2020. Mais, d’un autre cĂŽtĂ©, il est depuis le dĂ©part incapable de remettre en cause de façon un peu globale et intellectuellement structurĂ©e la politique sanitaire conduite par Emmanuel Macron. Du coup, il subit, lui aussi, le chantage Ă  la proximitĂ© d’avec l’extrĂȘme-droite, qui est Ă  la base de la stratĂ©gie politico-Ă©lectorale du prĂ©sident. Le chantage Ă  la proximitĂ© d’avec l’extrĂȘme-droite est Ă  la base de la stratĂ©gie politico-Ă©lectorale d’Emmanuel Macron. Cette ambivalence s’est bien vue Ă  propos du pass sanitaire et des manifestations qui ont lieu tous les samedis depuis le discours prĂ©sidentiel du 12 juillet. Ces manifestations sont caricaturĂ©es par le pouvoir politique, et les mĂ©dias mainstream qui le soutiennent, comme rĂ©sultant de prĂ©tendus groupes d’extrĂȘme-droite anti-vax. Une caricature qui rappelle celle subie par les Gilets jaunes au dĂ©but de leur mouvement. Or, ceci est faux et je suis bien placĂ© pour le savoir, ayant participĂ© Ă  plusieurs de ces manifestations en province. En rĂ©alitĂ©, ce sont des millions de personnes, de tous horizons sociaux et politiques, qui se retrouvent car elles n’en peuvent plus de cette gestion autocratique, de cette manipulation permanente des Ă©motions − Ă  commencer par la plus forte d’entre elles, la peur − et de ce piĂ©tinement rĂ©pĂ©tĂ© des libertĂ©s et droits fondamentaux. Des millions de personnes qui, du coup, sont largement orphelines politiquement, la plupart d’entre elles n’ayant rien Ă  voir avec l’idĂ©ologie d’extrĂȘme-droite. Propos recueillis par Anthony Laurent, rĂ©dacteur en chef / Sciences Critiques. * * *
Personnalisezles paroles des chansons rendues célÚbres par Bourvil avec le karaoké personnalisé - Version Karaoké Tiens, voilà l'facteur. votez pour ce titre vote pris en compte Berceuse à Frédéric. votez pour ce titre vote pris en compte Pepito mi corazón. votez pour ce titre vote pris en compte Le voleur de pervenches. votez pour ce titre vote pris en compte Joli, joli
Bourvil Durée 0230 Ce titre est présent dans l'album suivant Bourvil - Ses Grands SuccÚs, Vol. 1 Bourvil Deschansons traditionnelles, des chansons de marins, de scouts, de soldats, des cantiques et des chansons pour les enfants. Avec 153 titres, les grands répertoires populaires sont accessibles
Voila la suite tant attendue du billet d'hier ! French Cancans » le journal qui quadrille allĂšgrement l’actualitĂ© ! Avertissement Vous n’ĂȘtes pas obligĂ© de tout croire, mais la vĂ©ritĂ© n’est jamais bien loin ! Toute ressemblance avec des personnages ou des faits existants ou ayant existĂ©s, ne peut ĂȘtre que le reflet de l’imagination dĂ©bordante du lecteur que vous ĂȘtes ! La rĂ©daction dĂ©cline toute responsabilitĂ© ! De notre envoyĂ© trĂšs spĂ©cial le Rotpier en l’air et dans le plat ! Image du net chĂąteau de Bourg la Reine Etait-ce ici que le roi ............ la reine ? Ou Ă©tait-il trop occupĂ© Ă  retourner les pages ? Je ne sais pas ! Petites nouvelles du commerce local et de la vie en gĂ©nĂ©ral, Ă  Bourg-la-Reine ou 
 ailleurs ! suite ! Le serrurier, un type trĂšs jaloux, a posĂ© une ceinture de chastetĂ© Ă  sa femme. En mĂȘme temps, il n’est pas trĂšs malin non plus il apprend Ă  son commis un chaud lapin ! comment crocheter les serrures ! Faut ĂȘtre un peu con quand mĂȘme ! La femme du menuisier est une enflammĂ©e du chaudron ! A son mari qui a bien du mal Ă  la satisfaire, elle dit Je comprends pas, toi qui travaille le chĂȘne Ă  longueur de journĂ©e, que tu aies un si petit gland ! » Quand il en a marre, il laisse le cuisinier s’occuper du chaudron ! Le cordonnier prend rĂ©guliĂšrement son pied avec la trimardeuse du trottoir d’en face ! Cela ne lui coĂ»te rien qu’un petit ressemelage de chaussures de temps en temps le bitume, ça use les godasses ! Le marchand de charbon emploie des blacks au noir. Quand ils livrent dans les caves, on ne sait plus qui est qui entre les livreurs et les sacs de charbon ! Le marchand de citron un grossiste qui a aussi un gros kyste lui, emploie un chinois, on ne sait pas si c’est au black,mais il est tellement petit qu’on se demande si il ne le presserait pas un peu ? Le quincaillier et son associĂ© un type pourri de vis vendent leurs gonds par paires. Avec eux deux, ça fait un joli stock de paire de gonds en magasin ! Le marchand de primeur a appris le dernier qu’il Ă©tait cocu ! C’est pas la peine de travailler dans le primeur toute la journĂ©e et d’ĂȘtre informĂ© en dernier des nouvelles ! Il se console avec le chef de gare en se pintant Ă  l’anisette entre collĂšgues, il faut bien se consoler ! Surtout que la femme du chef de gare, la Micheline, a l’entrĂ©e du tunnel facile ! Certains disent que, vu la largeur, mĂȘme le train y passerait ! Bon, c’est pas sĂ»r il y en a qui dĂ©raillent un peu 

. quoique 
 quand on connaĂźt la Micheline 



. ? Le garde-champĂȘtre n’a plus de tambour pour annoncer ses avis. Ce qui ne l’empĂȘche pas de jouer, sauvage, de la baguette Ă  certaines adresses oĂč on le voit souvent traĂźner ses guĂȘtres ! MĂȘme qu’une des dames oĂč il en joue souvent, a Ă©tĂ© surnommĂ©e Peau de tambour » ! Il faut dire qu’elle a une belle caisse qui mĂ©rite des roulements rĂ©pĂ©tĂ©s ! Les autres, jalouses, disent tant bourre la peau qu’elle s’use » Tout le monde ne comprend pas, mais lui, il s’en fout et rigole ! Le directeur des pompes funĂšbres est en cheville avec le menuisier pour la fourniture des cercueils. Quand les affaires marchent bien, ils se tapent une bonne pinte de biĂšre Ă  la santĂ© des morts ! Pour le remercier, le menuisier lui laisse s’occuper du chaudron de sa femme ça fait plaisir Ă  l’autre et lui, ça le repose ! Deux ou trois employĂ©s municipaux les plus dĂ©conneurs ! ont, pour lui faire une petite farce, coincĂ© un jeune stagiaire et lui on fait faire une petite gĂąterie par la machine Ă  aspirer les papiers sur les trottoirs ! Depuis, le pauvre a la voix qui devient de plus en plus aiguĂ«, sans que l’on sache exactement pourquoi. La maĂźtresse d’école, une cĂ©libataire dĂ©lurĂ©e, ne se contente pas de jouer Ă  la maĂźtresse qu’à l’école elle a des soirĂ©es trĂšs chargĂ©es ! Le lendemain, elle est toute pĂąle devant son tableau noir ! Ce qui fait dire Ă  Toto, un Ă©lĂšve trĂšs dĂ©lurĂ© lui aussi Elle s’est encore fait pĂ©tĂ© le dico hier soir ! » On ne voit pas trop bien l’image, ou alors 
 peut-ĂȘtre que, sur le sien
 de dico
 il en est restĂ© au Q » 
 il se pourrait bien que ce soit cela ! Le bedeau a Ă©tĂ© surpris par M. le curĂ© dans la sacristie, complĂštement bourrĂ© au vin de messe, en train de faire sa fĂȘte Ă  la bonne en levant une burette les siennes Ă©tant bien placĂ©es et en chantant Ă  tue-tĂȘte »Tiens, en v’ la d’ la burette, tiens en v’ la d’ la du goupillon ! 
 La bonne paraissait aux anges, ce qui Ă  rendu trĂšs jaloux M. le curĂ© ! Le courtier en assurances du centre, assure que c’est chez lui que l’on trouve le meilleur rapport qualitĂ© prix pour les contrats. Celui du bout de la ville aussi ! On ne sait plus lequel croire ! Surtout qu’en plus, au niveau de la prĂ©voyance des risques, ils sont aussi nul l’un que l’autre ils ont engrossĂ© leur secrĂ©taire tous les deux ! Le maire s’en fout royalement de tout ça, ce qui l’intĂ©resse c’est de faire de grands travaux, dans le secret espoir qu’un jour une rue porte son nom ! Le journaliste de service Rotpier DerniĂšre minute On vient d’apprendre que, finalement, on se doutait bien un peu que cela allait finir par s’emmancher comme ça ! le fleuriste allait se pacser avec le marchand de cycles ! Ils vont dĂ©mĂ©nager et sinstaller en corse du cotĂ© de Calvi et s’occuper de la rĂ©insertion je ne sais pas si le mot est bien choisi dans le prĂ©sent contexte 
 ? des anciens lĂ©gionnaires. C’est les chĂšvres du coin qui vont ĂȘtre contentes de pouvoir se reposer un peu ! D’autre part, la boulangĂšre, pour se venger de son mari infidĂšle a dĂ©cidĂ© de poser nue sur le calendrier des boulangĂšres intitulĂ© Festival de miches » et qui se vend comme des petits pains ! Elle Ă  quand mĂȘme, par dignitĂ© personnelle, refusĂ© d’ĂȘtre intĂ©gralement nue elle a gardĂ© un petit ruban au poignet gauche ! VoilĂ , voilĂ , les derniĂšres nouvelles que je peux vous donner ! J’irais, l’étĂ© prochain, en Corse pour voir comme se passe la rĂ©insertion des anciens de la LĂ©gion j’espĂšre que cela ne finira pas en eau de boudin ! Tiens, tiens en v’lĂ  







 !!! Le journaliste de service Rotpier 



. toujours au plus prĂšs de la vĂ©ritĂ© !
\n tiens voilĂ  l facteur bourvil paroles
LinterprĂ©tation et la chorĂ©graphie qu’en a fait Bourvil en est particuliĂšrement hilarante. Voir l’extrait du film sur ce lien Cliquez ici pour revenir au menu. Fin Cliquez ici Cliquez ici Cliquez ici Cliquez ici Cliquez ici Fin Les classiques de Bourvil. Cliquez ici Cliquez ici Les classiques de Bourvil. Tiens, voilĂ  l’facteur
J’en ai dĂ©jĂ  sauvĂ©s, des magasins grĂące Ă  l’agence postale!» Avec ce mot, le reprĂ©sentant de La Poste Jean-Marc ZĂŒrcher s’est pris quelques ouh» de rĂ©probation, jeudi soir lors d’un dĂ©bat sur l’avenir du gĂ©ant jaune dans les Franches-Montagnes. Un dĂ©bat organisĂ© par les animateurs de la page Facebook FenĂȘtre sur», issue de la branche taignonne du PS. Il a fait le plein – une petite centaine de personnes – de la salle du premier Ă©tage du CafĂ© du Soleil. Si le responsable du RĂ©seau postal pour la rĂ©gion Jura-NeuchĂątel avançait ses 37 ans de service dans l’entreprise fĂ©dĂ©rale pour dĂ©fendre sa vision des restructurations en cours, il a eu affaire Ă  plusieurs autres postiers qui affichaient volontiers eux aussi de longues annĂ©es de service Ă  La Poste pour prendre le contre-pied. En particulier l’autre orateur du jour Jean-François DonzĂ©, le secrĂ©taire rĂ©gional de Syndicom oĂč les employĂ©s de La Poste sont trĂšs reprĂ©sentĂ©s. Il a prophĂ©tisĂ© La Suisse va devenir un dĂ©sert postal». Pour Jean-Marc ZĂŒrcher, la poste Ă©volue en fonction des besoins. Et l’évolution est massive depuis le nouveau millĂ©naire68% de lettres en moins, baisse des colis de 44%, comme des versements. Qui connaĂźt encore le carnet jaune?» a-t-il demandĂ© Ă  des Ă©tudiants de la HEG de DelĂ©mont. Certains ont vu cette bible» chez des parents, mais aucun ne l’utilise. Le souci de Jean-François DonzĂ©, ce sont les employĂ©s, que l’on Ă©limine sous couvert d’un petit plan social pour fourguer le travail Ă  des commerçants avec agences, sans convention collective. En citant le nom d’une chaĂźne de magasin et un chiffre, 2000 fr. par mois, pour un paquet d’heures de travail. Lajoux sauvĂ© ConcrĂštement, le dĂ©bat a permis de sortir au moins une bonne nouvelle si les offices postaux de Montfaucon et des Bois sont toujours sur la sellette, celui de Lajoux va rester ouvert, a glissĂ© le cadre de La Poste. Et contrairement Ă  La Chaux-de-Fonds oĂč les cases postales sont centralisĂ©es, elles seront conservĂ©es aux Franches-Montagnes. En revanche, plusieurs participants au dĂ©bat n’ont pas Ă©tĂ© rassurĂ©s d’apprendre que si un magasin avec agence postale devait fermer, La Poste nĂ©gocierait avec les communes pour trouver une solution. La volontĂ© n’est-elle pas de laisser ces agences se fermer d’elles-mĂȘmes? Pas mal de politiques participaient Ă  la soirĂ©e. Et Ă  peu prĂšs tous ont appuyĂ© le moratoire sur les fermetures d’offices rĂ©clamĂ© par Jean-François DonzĂ©. Vous devez vous mobiliser pour Ă©viter les fermetures», a par exemple dit le conseiller aux Etats socialiste Claude HĂȘche. Le vent tourne Ă  Berne et pour la premiĂšre fois, toutes sensibilitĂ©s politiques confondues, les parlementaires sont d’accord pour revoir la loi. Bourvil et le facteur Son collĂšgue au Conseil national Pierre-Alain Fridez socialiste aussi a Ă©galement encouragĂ© les communes Ă  se mobiliser, le temps que la lĂ©gislation sur La Poste change. Bien prĂ©parĂ©, l’animateur de la soirĂ©e Jean-Marie Miserez avait d’ailleurs projetĂ© l’intervention musclĂ©e au National en mars dernier du valaisan Mathias Reynard encore un socialiste. En contrepoint Ă  Bourvil chantant Tiens voilĂ  le facteur». Pour rappeler le bon vieux temps... Je n’aimerais pas ĂȘtre Ă  votre place», a dit Claude HĂȘche Ă  Jean-Marc ZĂŒrcher. Celui-ci a jurĂ© ses grands dieux qu’il dĂ©fendait les villages il habite dans l’un d’entre eux. Pour La BrĂ©vine, Boncourt, Alle, Les Breuleux, j’ai obtenu gain de cause», a-t-il plaidĂ©. L’assistance a apprĂ©ciĂ© son courage d’ĂȘtre venu dĂ©fendre l’ex-rĂ©gie. Mais il n’a en tout cas pas convaincu Jean-Louis Fleury, un chauffeur mis Ă  la porte Ă  62 ans aprĂšs 47 ans de Poste.
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ÉcoutezBourvil, Vol. 4: "Les enfants fan fan" par Bourvil sur Deezer. Les enfants fan fan (du film "Le trou Normand"), En nourrice, La belle abeille

on connaĂźt l'fact A6 eur. A6 C'est un personnage qu' Fm7 on porte dans son c A7 œur A7 Recevoir une lettre, A7 vous met en Ă©moi Chacun s'dit peut- Esus4 ĂȘtre quoi quoi quoi A7 quoi A7 Quand l'chien aboie A7 boie boie boie boie Tout Bm6 le monde se dit Em7 avec joie Son p'tit air est affra A nchi Comme ses lettres et ses co Asus4 lis Tiens! Em voilĂ  l'facteur Il apporte le jour A nal Et son bonjour mati Dmaj7 nal L'Ă©tĂ© quand il fait Dsus4 beau, Dsus4 il vous dit il fait chaud Mais quand on veut la Esus4 pluie, il vous dit ça pleut aujourd' Em6 hui rire Ah! Ah! Em6 Tiens! voilĂ  l'facteur A Pour gard Em er son ami A tiĂ©, soyez c Em7 omplĂštement tim D brĂ© rire Ah! Ah! Le printemps fait A7sus4 naĂźtre les lettres d'a A6 mour A6 Et pour les connaĂźtre, on at Fm7 tend touj A7 ours A7 Mais par la fenĂȘtre, A7 un jour le facteur Vous remet une l Esus4 ettre Esus4 Zut, c'est l'percepteur quoi quoi quoi A7 quoi A7 Quand l'chien aboie A7 boie boie boie boie Tout le Bm6 monde se dit Em7 avec joie Tiens! A7 voilĂ  facteur A cheval sur son vĂ© A lo A cĂŽtĂ© quand ça monte A7sus4 trop Tiens! V Em oilĂ  l'facteur Et pour les plis trĂšs ur A gents En courant il prend son Dmaj7 temps Quand il roule rapide Dsus4 ment Dsus4 ce n'est pas pour un urgent Mais c'est tout simple Esus4 ment parce qu'il est poussĂ© par le Em6 vent Em6 Tiens! VoilĂ  l'facteur A Quand il Em roule un peu pen A chĂ©, c'est qu'il a une lettre char Dmaj7 gĂ©e parlĂ© Ah! SacrĂ© facteur Et lorsque vous res Dsus4 tez Dsus4 quelques jours sans courrier Chez vous quand mĂȘme il Esus4 vient pour vous dire aujourd'hui y'a Em6 rien rire Ah! Ah! .. Em6 Tiens! VoilĂ  l'facteur Dmaj7 Venez bo Em ire Ă  ma san A tĂ©, vous l'avez bien mĂ©ri D tĂ© parlĂ© Merci bien facteur et Ă  demain. .